CRITIQUES DE FAITS HISTORIQUES DE
L’ÉGLISE
CATHOLIQUE
Après
l’étude
des corps incorruptibles, des stigmatisés, des apparitions
mariales,
etc., on
peut dire sans se tromper que le catholicisme n’est pas biblique et par
conséquent, il n’est pas une religion chrétienne. On peut
aussi
parvenir à
cette conclusion par l’étude de l’histoire du christianisme. Il
s’agira
d’arborer la nature des fruits spirituels produits par l’église
papale.
Le
Seigneur Jésus-Christ disait en effet qu’on
reconnaît l’arbre
par ses fruits car un bon arbre produit toujours
de
bons fruits. Au
préambule, il est
indispensable de faire un rappel, un résumé succinct de
quelques faits
historiques notoires.
Les guerres
saintes
Les
croisades
En 627,
l’église catholique avait expulsé les Juifs de la Terre
Sainte. Mais
cela leur
apporta un grand malheur car dix ans plus tard, les musulmans
assiégèrent
Jérusalem et imposèrent l’Islam. L’objectif de
l’église était
d’expulser les
musulmans de Jérusalem. Pour ce faire, le pape Urbain inventa
une
nouvelle
stratégie qui sera la guerre sainte. Pour le salut des
âmes, pour le
pardon des
péchés, les catholiques devaient prendre
l’épée de guerre et combattre
les
musulmans jusqu’à ce qu’ils soient expulsés de
Jérusalem. La guerre
tarda à
commencer mais finit par éclater en 1099. Musulmans, Juifs,
Catholiques,
Turcs…périrent par millions au nom de Dieu et pour la
prépondérance de
l’église
catholique. L’église semblait avoir gagné la guerre
malgré les
nombreuses
pertes en vies humaines. Mais en 1169, Saladin prit le contrôle
des
forces de
l’Islam et récupéra pour l’Islam tous les lieux de
prière. C’est la
capture de
Jérusalem qui restera pour toujours dans les mains des
musulmans. Cette
guerre
sainte lancée par le pape fut alors un total échec… Une
troisième
croisade fut
lancée en vain en 1191. Puis une quatrième croisade dix
ans plus tard
par le
Pape Innocent II. Celle-ci fut catastrophique et tourna contre
l’église
byzantine : la majestueuse cité chrétienne de
Constantinople fut
ravagée par
les guerriers catholiques et d’autres croisades meurtrières se
sont
succédées
au cours des siècles.
Les
guerres saintes
L’inquisition
Après
les
guerres saintes, il y eut aussi les guerres contre ceux qui ne
croyaient pas à
la manière catholique. Il s’agissait de faire une enquête
sur la foi
d’un
individu afin de s’assurer qu’il croyait selon la doctrine catholique.
Ce fut
la période des dénonciations secrètes et les
suspects devaient se
repentir ou
mourir. On essayait d’abord de les convertir par des arguments, on les
faisant
porter des habits jaunes pour les différencier, et en cas de
récidive
ou de
refus, une mort ignoble dans le feu. C’est cela la Sainte Inquisition
dont le
but était d’exterminer les prétendus
hérétiques. Parmi les victimes des
inquisitions, on peut citer les Cathares qui payèrent un grand
prix.
Sous
l’ordre du Pape Innocent II, quatre à cinq mille personnes
furent
massacrées
dans l’église Sainte Marie-Madeleine le jour de la fête de
Sainte
Marie-Madeleine y compris de vrais catholiques venus participer
à la
messe. Une
tuerie aveugle. Il fallait tuer tout le monde sans exception et le bon
Dieu
choisirait ceux qui lui appartenaient ; tel était le cri de
cette
expédition
militaire. La croisade continua de cité en cité. Ceux qui
refusaient
d’embrasser la foi catholique périrent dans le feu. En 1202 en
France,
deux
cents personnes furent brûlées ensemble. Elles
chantèrent joyeusement
en
rentrant dans les flammes qui les dévorèrent tous. En
1244, le dernier
bastion
de Cathares se réfugia dans sa forteresse située sur une
colline. Après
un
siège de dix mois, deux cent cinq personnes furent
capturées et
exécutées sans
procès… Dans l’inquisition espagnole les juifs furent contraints
de se
convertir au catholicisme. Mais on retrouva chez certains d’entre eux
des
documents de la Pâques juive. Ils furent alors
considérés comme des
traîtres et
des blasphémateurs. En 1478, des milliers et des milliers de
juifs
furent
torturés et brûlés sur ordre de la papauté.
On estime que 40 millions
de
personnes furent torturées et massacrées par la sainte
Inquisition et
des
centaines de milliers lors des guerres saintes. Les croisades ont
été
toutes
des échecs et les conséquences sont énormes et
irréparables : des
millions de
pertes en vies humaines avec leurs conséquences sociales, la
haine
permanente
entre chrétiens et musulmans, entre catholiques et protestants,
l’écart
entre
chrétiens et juifs qui ont pourtant la même racine, etc.,
et l’église
catholique en est responsable. Il a fallu attendre plus de sept
siècles
(1978)
jusqu’à l’élection d’un grand pape au grand cœur : Jean
Paul II. Il
présenta au
monde entier des excuses pour les erreurs d’antan commises par
l’église
catholique, il fit un pas de réconciliation vers les juifs en
rentrant
dans les
synagogues, il voyagea à travers le monde pour prêcher la
réconciliation, la paix et la tolérance.
Les
tortures de la sainte inquisition
Une
église qui
tue ses enfants
Girolamo
Savonarola
Cet homme
fut
un prêtre catholique et un grand réformateur qui apparut
en 1480 dans
la ville
de florence en Italie. Il était outragé par les critiques
acerbes
faites sur
l’église catholique de l’époque. La papauté
s’était enfoncée dans la
luxure et
était accusée de corruption. On parlait aussi de scandale
sexuel et
d’abus
financier. Alors Savonarola se mit à dénoncer ces
exactions de
l’église,
critiqua les peintures scandaleuses de la renaissance sur la
nudité. Il
trouva
aussi que la Vierge Marie était habillée de
manière grotesque comme une
prostituée à travers la peinture et les statues. Alors,
il alluma un
feu de
vanité dans la ville en 1497 et la population y jeta tout objet
de
vanité et de
luxure : les statues, les objets d’art, les jeux de cartes, les livres
hérétiques de grande valeur, etc., furent jetés
pour être brûlés en
signe de
repentance et de conversion. Il devint une force politique et un
symbole de
justice… La papauté et les hommes riches de la renaissance se
sentaient
visés
et ils réagirent en conséquence : Savonarola fut
excommunié, tué et
brûlé avec
ses deux compagnons en plein centre de Florence à l’endroit
même où il
alluma
naguère le feu de vanité. Ses cendres furent ensuite
récupérées et
éparpillées
dans un cours d’eau afin que plus rien de lui ne subsistât. Il
fut donc
discrédité par l’église catholique.
Martin Luther
Comme
toujours, la semence incorruptible semée dans le cœur des hommes
va
encore
germer : un autre prêtre catholique, un moine allemand rentra en
scène
et
réussit à défier cette puissante organisation
religieuse qui se disait
chrétienne. Il s’agit de Martin Luther. Le dilemme
commença en 1505 à
l’époque
où le Pape Julien II décida de terrasser la vieille
basilique de Rome
pour
bâtir un édifice majestueux qui deviendra la Basilique
Saint Pierre de
Rome que
nous avons aujourd’hui. Une telle entreprise nécessite beaucoup
de
finances et
ce pape inventa « les indulgences
» afin
de thésauriser l’argent nécessaire pour la
réalisation de cette
gigantesque
oeuvre de foi. Il s’agit du salut à prix d’argent pour ceux qui
peuvent
se
l’acheter : avez-vous commis un péché et voulez-vous le
pardon ? Alors,
vous
payez et vous êtes indulgencié. Voulez-vous aller au ciel,
alors, payez
de
l’argent et nous signons une indulgence en votre faveur. Le pape
détiendrait ce
pouvoir du Christ, étant le vicaire du Seigneur Jésus sur
terre. En
effet, Le
Christ Jésus, avait accordé une puissante autorité
spirituelle à ses
apôtres
lorsqu’il leur dit : « Je
vous le déclare, c’est la vérité : tout ce
que vous exclurez sur terre sera exclu dans le ciel ; tout ce que vous
accueillerez sur terre sera accueilli dans le ciel. » (Mathieu 18
:
18). De
même, après sa
résurrection, lorsqu’il apparut à ses disciples, il leur
dit :
« Ceux à qui vous
pardonnerez leurs péchés obtiendront le pardon ; ceux
à qui vous
refuserez le
pardon ne l’obtiendront pas. » (Jean 20 : 23)…
Alors, le pape, nanti de
ce pouvoir, délie les péchés et offre le ciel
à prix d’argent à celui
qui peut
se l’acheter. Ce sont des faits historiques irréfutables et
aucun
catholique
instruit ne peut les contester à moins de vouloir jouer à
l’avocat du
diable.
Je dois souligner que ces pouvoirs de pardonner et de délier,
pouvoirs
accordés
aux apôtres, auraient dû s’exercer suivant la
volonté de Dieu et selon
son plan
d’amour pour les hommes. Jésus-Christ n’a tué personne et
n’a escroqué
personne. À juste titre, Luther considéra les indulgences
comme une
insulte à
la grâce de Dieu car La Bible enseigne que le salut de
l’âme s’obtient
gratuitement par la foi en christ Jésus (Romains 3 : 21-24).
Alors, il
accusa
le pape d’être lui-même un hérétique et
publia plusieurs écrits dans
lesquels
il qualifia le pape de démon et démontra que
l’église catholique était
«
Babylone la grande », c’est-à-dire, la mère de
toutes les impudicités
et des
abominations de la terre. L’imprimerie de Jean Gutenberg venait de
naître et
contribua grandement à la publication et à une large
distribution des
œuvres de
Luther qui gagna une grande audience en Europe. La Bible fut alors
traduite en
français, en anglais et en allemand et fut accessible pour la
première
fois au
commun des mortels. Le jour de la Toussaint, le 31 octobre 1517, il
cloua à la
porte de son église une bulle relevant quatre-vingt-dix points
de
désaccords
avec l’église catholique et par cet acte symbolique de
protestation, il
marqua
le début de la réforme : la naissance du protestantisme.
Ce mouvement
déclenché
par Luther se répandit en Allemagne, en Suisse et attira
d’autres
libres penseurs
qui étaient tous décidés à défier
l’autorité pontificale : c’est ainsi
que
commença la réforme protestante qui gagnera toute
l’Europe. En Suisse,
à
Genève, Jean Calvin employa la méthode biblique
professée par Luther.
Dans les
églises, la musique profane est bannie, le luxe est
écarté, les statues
sont
brûlées. Les peintures des saints sont effacées,
les icônes sont
détruites, les
bougies, les fresques, toute idole ou décoration distractive
sont
reléguées… La
France, l’Angleterre, la Scandinavie adoptent la réforme. Par
rapport à
cela,
la papauté réagit contre Martin Luther. Elle lui accorda
un délai pour
se
repentir et de renoncer à ses propos. Mais Martin demeura
inébranlable
et
refusa de coopérer à moins d’être convaincu par les
Saintes Écritures.
Par
bonheur, comme une grâce providentielle, un de ses amis le cacha
dans
un
château sauvant ainsi sa vie du bûcher.
Le
Saint-Siège
de Rome convoqua alors le concile de trente en Italie (1545-1563).
C’est le
concile de la contre-réforme qui rejeta en bloc la
réforme et condamna
les
réformateurs. L’église catholique invita d’abord les
réformateurs à se
repentir
et à rejoindre de nouveau le catholicisme. Ignace de Loyola et
ses
Jésuites
entrèrent en scène et par des écrits et des
enseignements, réussirent à
ramener
au catholicisme beaucoup de réformateurs. Mais en 1572, ceux qui
refusaient de
rejoindre l’église catholique devaient périr par la
guerre et les
premiers
martyrs protestants par milliers tombèrent sous
l’épée de la papauté.
Des
milliers et des milliers de protestants furent sauvagement
massacrés au
nom de
Dieu, au nom de l’unité de la foi catholique. Plus tard, aux
XVIIe et
XVIIIe
siècles, les réformateurs qui fuyaient la
persécution et la machine de
guerre
des papes finirent par trouver asile sur le nouveau continent
américain
qui
était hors de l’emprise de la papauté et où la
liberté religieuse était
tolérée…
William
Tendhall
L’esprit des
grands hommes ne meurt jamais. Après Martin Luther un autre
homme
apparut en
Angleterre et se donna aussi pour tâche de traduire la Bible en
anglais
simple
et accessible. La Bible était jusqu’alors la
propriété et le monopole
du clergé
catholique très instruit. Il réussit son œuvre de
traduction qui
donnera
naissance à cette Bible que nous avons aujourd’hui sous le nom
de « la
Bible du
professeur Thompson ». Il réussit ainsi à mettre
fin au monopole du
clergé
catholique sur l’accès aux Saintes Écritures et à
leurs
interprétations. Alors,
pour avoir divulgué les secrets bibliques, la papauté
réagit
impitoyablement,
l’arrêta, le tua par étranglement et le fit brûler
en public…
Girolamo
Savonarola Martin
Luther
Durant
des siècles, une partie des messes
catholiques était exclusivement réservée à
la malédiction des Juifs
parce que
l’Eglise les accusait d’avoir tué le fils de Dieu. Les Juifs en
ont
souffert et
ce programme ne fut retiré de la liturgie que récemment.
Ceci est une
grosse
erreur historique car les juifs ne sont pas du
tout responsables
de la mort du fils de Dieu. C’est Dieu lui-même qui a
sacrifié son fils
pour le
bénéfice de l’humanité et le fils en toute
liberté a consenti de se
livrer pour
notre bonheur éternel. Écoutons Jésus-Christ :
« Personne ne me
prend la
vie, mais je la donne volontairement. J’ai le pouvoir de la donner et
j’ai le
pouvoir de l’obtenir à nouveau. Cela correspond à l’ordre
que mon père
m’a
donné » (Jean 10 :18). Ce détail confirme
l’ignorance de nos
dirigeants
spirituels de La Bible et de son importance ; et également, leur
ignorance du
plan du salut de Dieu pour les hommes.
Quelques
questions et observations
Le
catholicisme défendu par les papes est celui-là
même dont nous avons
hérité.
Maintenant, nous savons que le catholicisme n’est pas biblique ni
même
chrétien. Si les papes défendaient la Bible, cela serait
compréhensible. Mais
ils n’ont défendu ni la Bible ni le christianisme mais
plutôt un credo
et une
foi catholique non biblique pour l’unité de l’empire romain dont
ils
étaient
les dirigeants. Selon Luther, les papes, en combattant
l’hérésie,
étaient
eux-mêmes des hérétiques qui ont cependant
massacré d’innocentes
personnes qui
cherchaient le vrai Dieu par les vraies méthodes bibliques. Je
partage
ce point
de vue de Luther et je prends la Bible comme mon témoin et mon
avocat
dans
cette étude critique du catholicisme qui est la suivante :
Le Christ et
ses apôtres ont-ils fait la guerre ?
Parlant des
croisades et des inquisitions, imaginez-vous un peu le Seigneur
Jésus-Christ prendre
un sabre et égorger tous ceux qui refusent de croire ou de prier
selon
son
enseignement. À quoi ressemblerait ce Christ ? Pourtant, c’est
exactement ce
que firent les papes du Moyen Âge, eux les «
représentants » de
Jésus-Christ
sur terre. Les apôtres du Christ n’ont pas fait la guerre.
Lorsque dans
le
jardin, Pierre brandit son épée et trancha l’oreille d’un
des soldats,
que lui
dit le Christ ? « Remets
ton épée à sa place car tous ceux qui prennent
l’épée périront par l’épée. »
(Mathieu 26 : 52).
Il est donc clair que la
guerre sainte n’est pas un principe du christianisme. Imaginez des
enfants de
Dieu qui tuent d’autres enfants de Dieu au nom de Dieu. Je me pose la
question
suivante : « Au nom de quel Dieu ? Au nom du doux Jésus ?
»
Pourquoi
avoir
attaqué les musulmans qui ont occupé Jérusalem ?
Si Dieu a jugé bon de
livrer
la Ville Sainte aux mains des musulmans, que peut faire un homme contre
la
volonté du Tout-Puissant ? Si vous lisez les écrits
accablants du livre
de
Jérémie, vous verrez que c’est Dieu qui a livré
son peuple à la
déportation et
à l’esclavage. C’est encore lui qui a permis de brûler
plusieurs fois
le temple
qui lui était consacré ainsi que la ville sainte qui
portait son nom et
personne ne peut évaluer l’immensité de la destruction
causée par Dieu
lorsque
sa colère s’enflamme.
Le Christ
est-il bien mort ?
Une des
raisons qui justifierait le christianisme militarisé serait que
beaucoup de
prêtres catholiques ont trouvé la mort dans l’exercice de
leurs
fonctions. L’exemple
le plus choquant est celui de Saint Boniface qui réussit sa
mission
sacerdotale
en convertissant une multitude au catholicisme mais fut tué par
un
pirate. À
partir de là, on trouva la nécessité d’introduire
l’armée dans le
travail des
missionnaires. Finalement, ce christianisme militarisé a
donné autre
chose. Je
pense que l’introduction des armes dans l’évangélisation
pour la
protection des
missionnaires est une fausse excuse car si vous ne forcez pas les gens
à
adhérer à votre religion, vous n’avez rien à
craindre d’eux. Le
christianisme
se veut une religion de paix et d’amour selon les principes de base
posés par
Jésus-Christ. Et même si vous mourez pour
l’évangile, vous avez répondu
à un
principe chrétien. En effet, le Seigneur Jésus disait :
« Un
élève n’est pas
plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté,
ils vous
persécuteront aussi
». Plus
loin, il dira : « Si
quelqu’un veut venir avec moi, qu’il cesse de penser à
lui-même, qu’il porte sa croix et me suive. En effet, celui qui
veut
sauver sa
vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie pour moi et pour la bonne
nouvelle
la sauvera » (Marc 8 : 34-35).
Le
Maître, Jésus de
Nazareth, est-il bien mort ? Non. Il est mort d’une manière
ignominieuse afin
de nous racheter. Les apôtres et les premiers martyrs
chrétiens,
comment
sont-ils morts ? À l’exception de Jean qui mourut naturellement,
tous
les
apôtres du Christ sont morts d’une manière abjecte
à l’instar de leur
Maître.
Ainsi donc, on peut dire que Saint Boniface est mort d’une bonne mort
car ayant
quitté ce monde à la manière de son maître
et sa mort ne saurait en
aucun cas
justifier un christianisme militarisé.
Crucifiement
St Boniface
Christ
Jésus a-t-il tué
tous les païens de son époque ?
Au nom de
l’unité de l’empire romain et du catholicisme, pour combattre le
fractionnisme
qui menaçait les fondements de l’église, les papes ont
brandi le sabre
de
guerre. Pourtant, il y a des territoires sur cette terre qui ont
refusé
de
recevoir le Christ. Il fut rejeté dans sa propre patrie (Luc 4 :
16-30)
et plus
tard, un village de Samarie refusa de le recevoir de sorte que ses
disciples
proposèrent de faire tomber le feu du ciel sur ce village. Sur
ce fait,
le
Seigneur leur fit des reproches (Luc 9 : 51-54). Ont-ils fait violence
? Non.
Voici l’enseignement du Prince de la Paix : « Partout
où des gens
refuseront de vous accueillir, quittez leur ville et secouez la
poussière de
vos pieds : ce sera un avertissement pour eux. » (Luc 9 : 5). De
même, lorsque le Christ
chassa la légion, les habitants de cette ville vinrent le
supplier de
quitter
leurs territoires (Mathieu 8 : 34). Le Maître a-t-il
refusé et a-t-il
brandi un
sabre de guerre contre ces gens qui le rejetèrent ? Non. Il a
enseigné
la
vérité et l’amour du prochain en tout temps malgré
les oppositions
jusqu’à en
mourir sans jamais tuer. Il n’y a donc aucune raison biblique pour les
papes de
tuer ceux qui refusaient d’embrasser le catholicisme. La guerre sainte
n’est
pas biblique. Elle n’est pas chrétienne. La guerre sainte est un
art du
diable
car il est un meurtrier dès le commencement (Jean 8 : 44) et
ceux qui
pratiquent l’art des armes pour leur religion sont des sectateurs du
meurtrier
original.
Les papes
affirment qu’ils sont les vicaires de Jésus-Christ sur terre.
Mais
lorsque vous
étudiez les caractéristiques qui identifient le Christ,
vous constatez
que nos
papes du Moyen Âge étaient bien loin de remplir les
conditions d’âme du
vrai
Jésus. Le prophète Isaïe nous décrit
l’identité du Sauveur : « Voici
mon serviteur
que j’ai choisi, dit Dieu, celui que j’aime et en qui je mets toute ma
joie. Je
placerai mon esprit sur lui et il annoncera aux nations le droit que
j’instaure. Il ne disputera avec personne et ne criera pas, on ne
l’entendra
pas faire des discours dans les rues. Il
ne cassera pas
le roseau déjà plié et n’éteindra pas la
lampe dont la lumière faiblit.
Il agira ainsi
jusqu’à ce qu’il ait fait triompher le droit ; et toutes les
nations
mettront
leur espoir en lui. » (Mathieu 12 : 18-21). Les
vicaires du doux Jésus
sur terre qui sont nos papes, remplissaient-ils ces critères
lorsqu’ils
tuèrent
tous ceux qui étaient faibles dans la foi ? Tout le Moyen
Âge est
baptisé de «
sombre période » surtout à cause des actes barbares
posés par les
papes. Cela
révèle l’identité réelle de cette
église papale qui porte un manteau
chrétien.
Le Seigneur Jésus disait : « Gardez-vous
des faux prophètes. Ils viennent à
vous déguisés en brebis, mais au-dedans ce sont des loups
féroces. Vous
les
reconnaîtrez à leur conduite… un bon arbre produit de bons
fruits et un
arbre
malade de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut pas produire de mauvais
fruits
ni un arbre malade de bons fruits. » (Mathieu 7 : 15-18).
Le monopole
de
la Bible
La Bible est
la Parole de Dieu et la Parole de Dieu, c’est Jésus-Christ.
Pourquoi le
clergé
catholique a-t-il tenté pendant des siècles de cacher la
Parole de Dieu
au
peuple chrétien ? Cacher la Bible c’est retirer aux hommes la
clef du
savoir
devant conduire au salut de leurs âmes. À juste titre,
l’Éternel Dieu
disait : «
Mon peuple périt
parce qu’il manque de connaissances. » (Osée 4 : 6). Pourquoi
alors tuer ceux qui
ont dévoilé les secrets de la Bible en la traduisant en
langues
vernaculaires,
simples et accessibles ? Ceux qui ont perpétré ces
atrocités démontrent
clairement à travers leurs œuvres qu’ils n’étaient pas
des saints
serviteurs de
Jésus-Christ. Ils ont leurs raisons et ils
révèlent par leurs actes
qu’ils
étaient des ennemis du salut des âmes. Par
conséquent, il n’est pas
exagéré de
conclure qu’ils étaient eux aussi sous la mouvance des
démons religieux.
Rapport sur
la
vie de quelques papes
Les papes se
sont octroyés le titre honorifique
de «
Saint-père ».
Curieusement, Jésus Christ utilise ce même titre divin
lorsqu’il
s’adresse à
son divin Père (Voir Jean 17 :11). De même, les
évêques sont conférés
du titre
de « Mon Seigneur », un titre biblique exclusivement
réservé à Dieu et
à son Messie
que les chrétiens utilisent tous les jours dans leurs
prières. Nos
dirigeants
spirituels, ont-ils manifesté du respect à la
sainteté de Dieu en
s’attribuant
ces titres divins ? La Bible enseigne clairement que tout
chrétien qui
croit à
la manière d’Abraham et qui accepte Jésus-Christ comme
sauveur est
rendu juste
devant Dieu. Un tel chrétien est un saint aux yeux de Dieu
grâce au
substitut
du sacrifice sanglant de Jésus à la croix. Il n’y a donc
pas d’autres
critères
à la sainteté. Et seul Dieu qui sonde les cœurs est
habilité à désigner
les
saints. Malheureusement, nos papes qui sont des humains, donc des
pécheurs par
nature, canonisent des saints selon des critères qui leur sont
propres.
Ils ont
ainsi usurpé à tors le pouvoir et le droit divins en
portant une
atteinte grave
à l’autorité de Dieu. De telles dérogations
spirituelles ne peuvent
manquer de
conséquences alarmantes et voici quelque unes :
–
L’histoire cite l’exemple d’un Pape, Jean XII (955-963)
qui avait un goût raffiné pour les femmes. Des veuves, des
filles
vierges et
des femmes qui venaient en pèlerinage à Saint Pierre de
Rome furent
conduites
de force sur le lit de ce Pape qui mourut finalement dans les bras
d’une de ses
concubines. Il donna le trésor de l’église à ses
enfants illégitimes.
–
Un autre Pape, Urbain VI fut élu en 1378 par un concile
de Rome. Il était remarquablement intelligent mais pour des
raisons
inconnues
il devint comme paranoïaque, emprisonna six de ses cardinaux et
prit le
malsain
plaisir de les tuer par noyade. Pourtant tous les papes sont
appelés du
titre
de « Sa Sainteté le Pape X ». Sont-ce là des
œuvres de sainteté ?
–
Au Xe siècle, il y eut vingt-cinq papes. Onze furent
déposés avec violence, un le fut deux fois. Cinq furent
tués, deux
furent
mutilés, un le fut à titre posthume. En effet, en 896,
Pape Étienne VI
exhuma
les ossements de son rival le Pape Formose neuf mois après son
inhumation. Les
ossements de ce pape devaient alors faire l’objet d’un procès
macabre
car il
était accusé d’hérésie. Il sortit coupable
de cette parodie de procès
et ses
trois doigts qui servaient à la bénédiction papale
furent découpés et
le reste
de son corps jeté dans l’eau du Tibre. Quelques mois plus tard,
Étienne
lui-même fut mis en prison et tué. Son successeur Romain
(897-897) fut
déposé
violemment et son successeur Théodore II (897-897) fut
tué… En 904, le
Pape
Christophe tua le pape Léon 5 (903-903) et fut tué
à son tour, etc.,
etc.
–
Le temps me manque pour parler du pape Julius III qui
avait une passion pour les singes à tel point qu’il promût
son gardien
de
singes au rang de Cardinal. Je ne m’attarderai pas non plus sur le cas
du pape
Alexandre VI (1492-1503) dont le règne fut dominé par la
luxure,
l’avarice et
le népotisme. Il mourut empoisonné en buvant par erreur
dans un verre
empoisonné
qu’il avait préparé pour son hôte, etc., etc. (17).
Ces faits ont été
enregistrés sur les documents de l’histoire du christianisme et
le
Vatican ne
peut les démentir.
–
Le
Pape Grégoire VII imposa le célibat aux
prêtres catholiques et ces derniers, alors mariés, furent
contraints de
répudier leurs femmes. De nos jours, le résultat d’une
telle
imposition, le
poids de ce fardeau a pour conséquences le scandale sexuel des
prêtres
catholiques qui fait la une des journaux. Chaque ville ou chaque
quartier
possède sa propre histoire sur le scandale des prêtres.
Ici aux USA,
pour
l’année 2006-2007, le Cardinal de Washington DC a
déboursé un million
de
dollars et demi pour compenser les victimes de ses prêtres.
Femmes,
jeunes
filles, jeunes hommes et enfants furent dédommagés pour
avoir été
sexuellement
abusés par les prêtres catholiques. À ceci s’ajoute
l’exemple des papes
qui ont
organisé les guerres saintes, les croisades et qui ont
tué des millions
d’âmes
au nom du Seigneur Jésus alors que le Christ a choisi un message
d’amour au
point de mourir pour ceux qu’il aime.
Tous les
exemples ci-dessus cités parmi tant d’autres démontrent
sans ambages
que les
papes du Moyen Âge et l’église catholique étaient
très loin du
christianisme
biblique. Aujourd’hui, l’église catholique tente de s’adapter et
réclame le
titre « d’une église sainte, catholique et apostolique
». Pourtant, je
viens de
démontrer à travers les démons religieux, les
stigmatisés, les corps
incorruptibles, les apparitions mariales et l’histoire du christianisme
que
cette église n’a toujours pas les conditions spirituelles
bibliques
requises
pour être qualifiée de chrétienne. Mais
l’église catholique néanmoins
tente de
s’adapter. Quoi qu’il en soit, c’est toujours les mêmes
démons
religieux avec
leur institution religieuse qui changent constamment de manteaux en
fonction
des civilisations.
Le
procès des ossements du
Pape Formose
Pensez-vous
que ces papes ont fait la rencontre de Jésus-Christ ?
À mon
avis,
ces papes sanguinaires n’ont pas fait la rencontre du Seigneur
Jésus.
Paul
aussi ravageait l’église, torturait les chrétiens et les
jetait en
prison
(actes 8 : 1-3). Il était rempli de zèle pour le
judaïsme. Mais
lorsqu’il
rencontra le Seigneur Jésus sur la route de Damas, il
déposa son sabre
et
retourna son manteau pour mourir décapité au nom de son
Dieu. L’apôtre
Pierre a
aussi brandi l’épée dans le jardin des oliviers lors de
l’arrestation
de son
Maître et le sang a jailli. Mais le Seigneur Jésus lui fit
déposer son
arme
(Jean 18 : 11). Pierre obéit pour finir aussi par une mort
douloureuse
sur la
croix. C’est ainsi le comportement de ceux qui ont fait la rencontre du
Seigneur Jésus. La conversion profonde, une nouvelle naissance
soutenue
par
l’amour du prochain. Ceux qui ont massacré les musulmans, les
juifs,
les
protestants, les Cathares, les gnostiques au nom de Dieu ne semblent
pas avoir
fait la rencontre de Jésus-Christ. Ils ont agi peut-être
par ignorance
des
Saintes Écritures et de ce fait, ils ont agi pour le compte du
malin
même s’ils
pensaient rendre un service à Dieu.
À
travers les
guerres religieuses, des millions de personnes furent massacrées
au nom
de la
foi catholique par les vicaires de Jésus-Christ. Alors, trois
grandes
questions
se posent :
–
Sont-ils de vrais représentants du Doux Jésus, ou se
sont-ils imposé ce titre parce qu’ils en avaient le pouvoir ?
–
Ont-ils représenté avec honneur le christianisme
d’amour pour lequel
Christ
est mort ou l’ont-ils discrédité aux yeux du monde
?
–
Ont-ils
agi sous l’inspiration du Saint-Esprit
ou est-ce là l’œuvre parfaite
des
démons religieux ? C’est à vous de juger.
L’empereur
Constantin a-t-il sauvé le christianisme ?
Lorsque Rome
gouvernait le monde, il y eut des moments où le christianisme
était une
religion interdite. Les empereurs qui se prenaient pour des
divinités
ne
supportaient pas l’idée compétitive d’un autre dieu. Par
conséquent,
tous ceux
qui pratiquaient le christianisme étaient
considérés comme des ennemis
de
l’empire et devaient payer de leur vie. La sentence était une
mort
affreuse. La
mort sur le bûcher, la mort par crucifixion, la mort en
combattant
contre les
gladiateurs ou les animaux sauvages dans les amphithéâtres
de la cité
éternelle,
etc. Curieusement, plus il était persécuté, plus
le christianisme
s’organisait
dans la clandestinité. La persécution était donc
un échec et le sang
des
chrétiens semblait constituer une nouvelle semence pour la
floraison de
cette
religion censurée. Échec pour les empereurs sanguinaires
et surtout
pour le
malin qui utilise les empereurs et leurs armées barbares pour
gommer le
christianisme. Les persécutions prirent fin lorsque Constantin
devint
empereur
de Rome. C’est lui qui rendit le christianisme officiel. Étant
une
religion
persécutée, le christianisme devint alors une religion
prédominante
sous son
instigation. Cet empereur réorganisa le christianisme et
grâce à ses
efforts,
le credo chrétien et la première Bible apparurent. Il fut
un politicien
rusé
qui réussit à concilier politique et christianisme pour
consolider son
règne
impérial : un seul royaume sous la mouvance d’une seule
religion. Il
est
considéré comme un grand saint et une des grandes figures
du
christianisme.
Mais c’est ici que se cache toute la ruse du diable et je vais vous
démontrer
que ce présumé sauveur du christianisme est plutôt
un instrument du
malin qui a
décapité le christianisme. Il n’a point ôté
la vie d’un chrétien mais
il a fait
pire que les autres empereurs sanguinaires. Par une intelligente
manœuvre, il a
tué l’âme du christianisme en échange de
liberté. Je citerai quelques
exemples.
Le repos
sabbatique et le repos au jour de la résurrection
Lorsque
Constantin prit le risque de se faire empereur par un coup
d’état
militaire, il
obtint miraculeusement le soutient du ciel. Oui, avant l’attaque, il
eut une
vision du Seigneur Jésus qui lui aurait apparu dans le soleil et
lui
aurait
recommandé de combattre sous le signe de la croix. Il
obéit aux
instructions de
cette apparition et réussit son coup d’état et devint
empereur de Rome.
Ayant
obtenu la victoire sous le signe de la croix, il rendit le
christianisme
officiel et à partir de ce moment, la persécution des
chrétiens prit
fin pour
de bon. Mais c’est ici que se joue le grand jeu des démons
religieux,
ces
experts des religions, ces experts en sabotage et patrons de la
déception. Ma
tentative est d’attirer votre attention sur un fait bienheureux
d’apparence
mais qui en réalité est une abomination emballée
dans un joli papier de
sainteté.
Depuis quand
un empereur romain a-t-il plié les genoux devant le Dieu des
chrétiens
?
Eux-mêmes prétendaient être des dieux et exigeaient
d’être adorés par
le
peuple. Voici un acte apparemment insignifiant, perpétré
par cet
empereur qui
trahit néanmoins son secret : le sabbat est un jour du Dieu
Jéhovah, un
jour
qui lui est strictement réservé. Il est
célébré le samedi (précisément
dans la
période située entre le vendredi soir au coucher du
soleil et le samedi
soir au
coucher du soleil). Un jour sacré et très spécial
qui possède sa
spécificité et
des lois intransigeantes. Mais que fit l’empereur Constantin ? Il
changea le
jour du repos sabbatique. Au lieu de se reposer le samedi, sous son
instigation, les chrétiens se reposent désormais le
dimanche. Ceci est
une
haute trahison pour le christianisme car le dimanche est le jour
spécial du
dieu soleil, le dieu païen de l’empereur Constantin. Comme
confirmation, durant
le règne de cet empereur, les pièces de monnaie ne
portaient pas
l’effigie de
Jésus-Christ. Elles portaient plutôt l’effigie du dieu
soleil. Ainsi
donc, par
une manœuvre adroite, il a fait du christianisme une religion
païenne.
Comprenez-vous maintenant pourquoi les prêtres catholiques du
monde
entier
portent toujours des habits jaunes pour célébrer la messe
du dimanche ?
La
couleur jaune est celle du dieu soleil.
Comme
toujours, les hommes trouveront des excuses pour se justifier
lorsqu’ils
sabotent les préceptes de Dieu et voici un autre gros mensonge :
les
chrétiens
prétendent adorer le dimanche parce que c’est le jour de la
résurrection du
Christ. Mais vous devez accepter l’amère vérité
que ce choix ne fut pas
ordonné
par le Dieu de la Bible. Ce sont les hommes forts du catholicisme qui
l’ont
imposé à partir de la Phrygie en 364 AD lors du concile
de Laodicée
(Canon
XXIX). Le Dieu des Hébreux depuis toujours veut être
honoré au sabbat
et c’est
que font les juifs depuis des siècles. Même si le Dieu de
la Bible est
maître
du temps, le dimanche depuis la nuit des temps est néanmoins
réservé
pour
l’adoration du dieu soleil et ceux qui adorent ou se reposent le
dimanche,
qu’ils veuillent ou non ne se conforment pas à la volonté
du Dieu des
Hébreux.
Quand bien
même il réorganisa le christianisme, l’empereur Constantin
n’accepta le
baptême
chrétien que sur son lit de mort. Je ne considère pas ce
baptême comme
le signe
d’une véritable conversion car les actes qui
précèdent la mort sont
souvent
minés par la peur bleue de l’inconnu qui se cache après
la mort. À mon
avis,
cet homme fut utilisé par le malin pour réorganiser le
christianisme en
lui
donnant une base fausse pour sa destruction spirituelle.
Rome
était la
capitale de l’empire depuis sa naissance. Mais l’empereur Constantin
décida de
transférer la capitale jusqu’en Turquie et cette nouvelle
capitale
romaine
portera désormais son nom : Constantinople. Quelles que soient
les
raisons
évoquées, cet acte causera plus tard une scission
irréparable dans le
catholicisme : la naissance du catholicisme orthodoxe avec son culte
idolâtrique. De mon point de vue, lui aussi était sous
l’onction des
démons
religieux. Ce n’est pas le Christ Jésus qui lui est apparu dans
le
soleil avant
la bataille lors de son coup d’état militaire mais plutôt
le malin, le
dieu
soleil en personne. De tout temps, Jésus-Christ a rejeté
la guerre et
toute
forme de violence. Il ne peut donc pas se contredire, apparaître
dans
le soleil
et inviter les Romains à se massacrer pour des raisons
politiques. Tout
s’explique par l’infiltration des démons religieux dans le
catholicisme. À
juste titre, la nouvelle structure papale qui émergea plus tard
sous
son
instigation régnera aussi par la terreur, la barbarie et des
guerres
effroyables au Moyen Âge. Voici comment un homme rusé,
l’empereur
Constantin,
par une manœuvre satanique a ôté au christianisme son
âme et fait du
catholicisme un instrument efficace pour la perte des âmes.
Le
Vatican Empereur
Constantin Hagia
Sophia Constantinople
La
Noël, une fête
païenne
Jésus-Christ
de son vivant n’a jamais célébré l’anniversaire de
sa naissance. Mais
il a
toujours fait mention de sa mort et il a vivement recommandé aux
chrétiens de
toujours s’en souvenir. La Pâques devrait alors constituer la
plus
grande fête
chrétienne selon l’enseignement du Seigneur. Malheureusement,
jusqu’à
aujourd’hui, la fête de Pâques passe presque
inaperçue. Par contre, on
passe
des mois à préparer la Noël et on s’en souvient des
mois après.
Observez
partout ce qui se passe à Noël et vous verrez que
Jésus-Christ n’est
pas
pleinement célébré en ce jour. Les magasins sont
remplis des statues du
père
Noël (Saint Nicolas de Turquie), les grottes exposent les statues
de
Marie, du
petit Jésus, de Saint Joseph, des Rois mages, des bergers, des
animaux,
etc.,
la musique et les films sont loin d’être chrétiens… Mais
savez-vous que
le 25
décembre depuis l’antiquité est spécifiquement
réservé au dieu soleil ?
Oui,
partout dans l’empire romain, dans toute l’Europe, longtemps avant la
naissance
du christianisme, on célébrait toujours le 25
décembre la grande fête
du dieu
soleil avec les mêmes rites que nous avons à Noël.
À savoir : l’arbre
de Noël,
les feux ou luminaires qui décorent nos maisons, les cadeaux,
les
réjouissances… L’église catholique, sous prétexte
de combattre cette
fête
païenne aura imposé de célébrer en ce jour la
naissance du Christ et
ainsi elle
a réussi à orienter les chrétiens vers une
fête païenne jamais
mentionnée par
le sauveur. Elle a réussi à conditionner leur
volonté de sorte qu’ils
adorent
Dieu le jour où le dieu soleil reçoit ses honneurs.
Apparemment cela
semble
positif mais au vu de ce qui se passe à Noël vous pouvez
conclure que
les
esprits méchants sont très adroits et savent
réclamer leurs droits.
Maintenant
vous constatez que le Christ n’est pas pleinement honoré en ce
jour de
Noël. À
Noël, les cœurs ne sont pas tournés vers
Jésus-Christ mais plutôt vers
les
réjouissances sarcastiques. C’est encore une manœuvre
réussie des
démons
religieux qui agissent au compte du dieu soleil.
Si vous
étudiez l’histoire de la Rome antique, vous y verrez une
multitude de
faits
émanant du paganisme et qui furent introduits dans le
catholicisme sous
le
couvert d’un manteau chrétien. C’est le cas des images du bon
berger où
Jésus-Christ porte un mouton aux épaules, le cas de la
Vierge Marie
avec le
petit enfant Jésus à ses pieds, le cas où les
reliques sont vénérées de
la
manière la plus dangereuse, etc. Même le chant
grégorien dans toute sa
beauté
est d’origine païenne.
Observations
L’histoire
nous apprend que le christianisme véritable a été
étouffé dès sa
naissance par
les empereurs romains. Le feu, les animaux sauvages
dévorèrent les
chrétiens
sur ordre des empereurs. Mais la nouvelle structure papale qui
remplaça
les
empereurs romains n’agit pas mieux car elle s’est efforcée de
cacher la
Bible
et imposa par la violence un christianisme non biblique. Mais lorsque
la Bible
réapparut à l’ère de l’imprimerie, un nouveau
christianisme biblique
surgit et
les papes, à la manière des empereurs romains
s’opposèrent de nouveau à
ce
christianisme biblique en excommuniant, en brûlant, ceux qui
tentèrent
de
traduire cette bible, provoquant ainsi la séparation de
l’église par la
naissance du protestantisme. De sorte que l’on peut dire sans se
tromper que
les deux mille ans de l’histoire chrétienne déjà
écoulés ne sont rien
d’autre
que « deux mille ans de l’histoire du catholicisme ».
De nos
jours, seules les églises
évangéliques sont restées fidèles à
la doctrine chrétienne contenue
dans la
Sainte Bible. Au vu de l’histoire du christianisme et
particulièrement
celle de
l’église catholique, j’en viens à la conclusion que : ma
très chère et
bien-aimée église catholique n’est pas une église
biblique. Par
conséquent,
elle n’est pas une église chrétienne même si elle
utilise la Bible et
le nom de
Jésus-Christ.
Je n’accuse personne dans ce procès. Du Saint-Père aux fidèles catholiques dont je fais partie en passant par les cardinaux, évêques et prêtres, personne ne porte la responsabilité. Ce sont nos ancêtres dans la foi catholique qui se sont laissé tromper par le malin et par conséquent, ils nous ont transmis ces erreurs. Nous avons donc hérité et développé inconsciemment un christianisme satanique. Nous sommes tous nés dans l’erreur religieuse et nous sommes tous nés trompés. Notre grand péché est que nous avons fermé les yeux sur ces vérités bibliques et à travers une parodie de réforme, nous maintenons les fidèles catholiques dans l’erreur sans égard pour le salut des âmes. Nous nous sommes laissé prendre dans un engrenage spirituel d’apparitions et de miracles et nous nous érigeons maintenant en avocats du diable lorsque nous défendons ces hérésies et lorsque nous formons des intellectuels qui défendent cette religion sans égard aux vérités écriées par la Bible.