Chapitre II
 
L’étrange Tradition du Saint-Siège :
 
le célibat, la pédophilie et l’homo sexualité des prêtres catholiques
 

 

Comme un séisme, le monde d’aujourd’hui est secoué par des scandales de pédophilie et d’homosexualité de prêtres catholiques. Toute la hiérarchie au niveau mondial est touchée, y compris des chefs d’État et des hommes politiques ayant été autrefois membres du clergé catholique. Ces pratiques qui, en général, débutent au séminaire (centre de formation des prêtres catholiques) atteignent des proportions alarmantes, lorsque ces personnes commencent à exercer le sacerdoce, à l’âge adulte. La question récurrente est de savoir pourquoi des serviteurs de Dieu, ces hommes saints, se sont-ils laissés entraîner dans cette spirale infernale ?

En réalité, beaucoup de documents historiques attestent que ces faits scandaleux font partie de la tradition de l’Église catholique, depuis sa création. Ces pratiques dériveraient des rites et des cérémonies de l’adoration de la déesse Cybèle, la déesse mère, la Reine du Ciel, qui est aussi la principale déesse du catholicisme.


                                                                                        Bref rappel historique


Les origines de cette tradition de Cybèle remontent au moins à l’an 1500 av. J.-C. Mais, c’est précisément dans les années 205-202 av. J.-C. que Cybèle fut amenée à  Rome, sur la colline du Vatican, pour protéger la ville. Le portrait de Cybèle est une femme montée sur un chariot qui, lui-même est tiré par deux lions. Mais ce fut une pierre noire tombée du ciel que les prêtres de Cybèle introduisirent au Vatican dans une grande cérémonie endiablée. La procession dans les rues de

    Rome était sanglante, car prêtres, prêtresses et fidèles incisaient leurs corps, exécutant des danses hystériques au rythme de cymbales et de tambours. Cybèle est connue sous les noms suivants : déesse mère, Inanna, Athéna, Marie, mère de Dieu. Elle était la déesse des cavernes, de la terre, et était adorée sur les hauteurs des montagnes. Elle était aussi la déesse des abeilles et régnait sur tous les animaux sauvages. Cybèle enseignait la doctrine de la vie après la mort, et promettait à ses fidèles, en union avec elle, l’immortalité dans l’au-delà. Elle était la déesse de toute circonstance ; et son habilité à prédire l’avenir lui attira une foule d’adorateurs.

 

Les premiers chrétiens révoquèrent ce culte mystérieux. Ils le qualifièrent de satanique, le condamnèrent et le combattirent avec fermeté. Au 4e siècle, l’empereur Valentinien II prit soin de bannir l’adoration de Cybèle, en mena une persécution cruelle contre tous ses adeptes. Durant le règne de Justinien, des propriétés furent saisies, des objets de culte brûlés, et des temples détruits. Les individus qui s’entêtaient à adorer cette déesse étaient torturés, poussés au suicide, ou étaient enterrés vifs. À partir du 6e siècle, le culte semblait éteint. Mais jusqu’en 1046 sous le pape Grégoire VI, un culte ouvert et officiel était encore rendu à Cybèle dans l’église Saint-Pierre de Rome. De nos jours, l’héritage de Cybèle est omniprésent dans l’Église catholique, faisant ainsi du catholicisme une religion non chrétienne.

 

Le culte de la déesse Cybèle était brutal et sanglant, procédant par des sacrifices d’enfants brûlés vifs sur ses autels, par l’adoration de démons. Ce culte était aussi caractérisé par le célibat total des prêtres de classes inférieures. Les prêtres de Cybèle étaient donc célibataires, et de surcroît homosexuels. L’origine de cette homosexualité émanait de la cérémonie du Galla (Galli). Au cours de la fête du Galla, les organes génitaux de certains prêtres de Cybèle étaient retranchés. Ils devenaient ainsi des eunuques, mais trouvaient d’autres moyens pour vivre leur sexualité. Cela ouvrait donc la porte à l’homosexualité, car ces prêtres étaient sodomisés pendant les rites et les différentes célébrations. Une telle homosexualité était considérée comme sacrée, et devrait être gardée secrète. L’homosexualité ouverte était un affront au caractère sacré et ancien de la pratique.

 

Lorsque les papes remplacèrent les empereurs romains, le culte de Cybèle était encore en vigueur. Les prêtres catholiques adoptèrent alors cette tradition de célibat et d’homosexualité. Le célibat des prêtres catholiques n’a aucun lien avec le christianisme primitif, car les apôtres et les premiers pères de l’Église étaient mariés. Il est plutôt une adaptation, un héritage du culte satanique de Cybèle. De nos jours, l’Église catholique est fortement opposée à l’homosexualité ouverte, alors que l’homosexualité sacrée et secrète au sein du clergé demeure aussi active comme du temps du Galla.


                                                                    Quelques faits viennent étayer ce constat

 

– Vers 1051, sous le règne du pape Léon IX (1049-1054), Pierre Damien composa « Le Livre de Gomorrhe », dans lequel il décrivit de façon explicite et détaillée les différents types de rapports homosexuels. Il accuse certains prêtres d’être homosexuels, et de se confesser entre eux, afin d’éviter d’être repérés, et pour aussi bénéficier de pénitences plus légères. Pierre Damien, ce pédagogue catholique de l’homosexualité fut béatifié.

– L’émission télévisée d’enquêtes et de reportages de Karl Zéro sur « 13éme Rue », en sa rubrique « la conspiration du silence du Vatican » témoigne : En 1962 le cardinal Ratzinger, devenu par la suite pape Benoît XVI (ou Benedict XVI), rédigea le « Crimen sollicitationis » (crime de sollicitations), une vaste conspiration du silence. Il s’agissait d’une directive ecclésiastique secrète, hautement confidentielle du Vatican, et qui fut envoyée dans toutes les paroisses du monde, pour être gardée dans les coffres-forts. C’est une politique mondiale du secret, absolument confidentielle, instruisant comment dissimuler les crimes sexuels des prêtres, tout en muselant les victimes. Ceux qui en parlaient devraient être excommuniés (52).

 

Ce même document confidentiel du Vatican datant de 1962, qui recommandait de garder le secret et le silence dans les cas de prêtres pédophiles ou auteurs d’agressions sexuelles, vient d’être découvert et publié par la chaîne de télévision américaine CBS. Des « affaires » commençaient à sortir, et il fallait à tout prix préserver l’image de l’Église, fut-ce au détriment d’enfants violés par milliers (voir L’investigateur sur l’épiscopat de Boston). Il s’agit d’un manuel d’instruction sur la façon de tromper et de protéger des pédophiles. Le document appartient aux archives secrètes du Vatican. Pendant des décennies, des prêtres ont abusé d’enfants, se sachant couverts par leurs supérieurs, lesquels prétendaient agir au nom du Vatican, c’est-à-dire du descendant de Pierre.

 

Ce document servait de référence dans l’Église catholique, aux États-Unis et ailleurs dans le monde, jusqu’à la rédaction récente d’un nouveau texte utilisé par l’épiscopat catholique. Le Vatican qui n’a pas nié les faits affirme aujourd’hui que ce texte « doit être considéré comme périmé. »

 

– Le 19 Avril 2011, sur la page Internet de la chaîne de télévision française (TF1 News avec agence), on pouvait lire : Dans un livre intitulé « Sex and the Vatican, voyage secret dans le règne des chastes », le journaliste Carmelo Abbate décrit des relations homosexuelles qui seraient fréquentes entre prêtres ou entre prêtes et laïcs. L’auteur affirme s’être introduit dans des lieux gays avec une caméra cachée. « Des prêtres de toutes nationalités, affirme l’éditeur italien


Piemme, partagent leur vie entre les salles de la Via della Conciliazione (l’avenue menant à la basilique Saint-Pierre) et la movida de Rome by night ». Le livre évoque aussi des relations amoureuses avec des femmes, l’existence de fils et de filles de prêtres, et parle même d’avortements clandestins. Carmelo Abbate entend dénoncer la culture du secret et le déni de réalité de l’Église vis-à-vis des désirs sexuels des prêtres, mais ne fournit que des témoignages anonymes. Interrogé sur le livre, le Vatican se refusa à tout commentaire.


– Dans le langage ecclésiastique, « la Curie Romaine » est le gouvernement mondial de l’Église catholique. Son siège se trouve au Vatican et est composé des cardinaux les plus puissants de la planète. En un mot, la Curie Romaine est l’épine dorsale du Saint-Siège, le régisseur du catholicisme mondial. Le cœur, la quintessence de La Sainte Mère Église catholique. Depuis très longtemps, des rumeurs couraient sur l’homosexualité de certains de ces cardinaux, qui auraient eu de tels rapports, dans la plus grande discrétion, et à l’intérieur même du Vatican. Ces allégations ont été finalement confirmées par le nouveau pape, Sa Sainteté Pape François, qui a reconnu l’existence d’un « lobby gai », dans la Curie Romaine. En effet, selon le site catholique progressiste Reflexión y Liberación, et selon la rubrique lapresse.ça publiée le 11 Juin 2013, dans un compte rendu, le nouveau pape François a avoué « l’existence de cardinaux gays (homosexuels) dans la Curie Romaine ». Ahurissant pour un Saint-Siège ! N’est-ce pas ?

 

Le célibat et l’homosexualité clandestins étaient bel et bien des pratiques païennes de Cybèle et de son unique fils Attis. Ces vices se sont enracinés, de nos jours chez les sacrificateurs de l’Église catholique. Quand bien même le célibat des prêtres catholiques aurait été imposé au milieu du 12 siècle, il faut reconnaître qu’il ne concernait que les prêtres de rang inférieur (toujours à l’instar de Cybèle). Les prêtres élites, les évêques, les cardinaux et les papes avaient beaucoup d’enfants illégitimes, avec de nombreuses maîtresses, et ceci, jusqu’au 17e siècle. En effet, 39 papes eurent des enfants et beaucoup de prêtres aussi eurent des enfants légitimes et illégitimes : Pape Boniface 1er (418-422), Pape Félix III (483-492), Pape Anastase II (496-498), Pape Martin 1er (882-884), Pape Jean XV (985-  996), etc., étaient, chacun, fils d’un prêtre catholique. Pape Formose (891-896), né en Corse était fils de l’évêque Adrien. Pape Damasus I (366-384) était fils du pape Liberius (352-366). Pape Ciricius (384-399) était le fils du Pape Damasus I. Pape Anastase 1er (399-401) fut le père du Pape Innocent 1er (401-417), Pape Siverius (536-537) était fils du Pape Hormisdas. Pape Jean XI (931-935) était fils du Pape Serge III (904-911). Pape Jean XII (955-963) était fils du Pape Alberic II, Pape Urbain II (1088-1099) était fils d’un Pape, Pape Grégory IX (1227-1241) était le fils du Pape Innocent III (1198-1216), Pape Callistus III (1455-1458) était le père « oncle » de Pape Alexandre VI (1492-1503), etc.

 

Suivant la tradition catholique héritée du culte de Cybèle, des papes homosexuels furent légion tout au long de l’histoire. Le Pape Paul II (1464-1471) était autoritaire, fêtard et ouvertement homosexuel. Il est mort en se faisant sodomiser par une page. Le Pape Sixte IV (1471-1484) était un proxénète. Les prostituées de Rome lui versaient annuellement 20.000 ducats. Bisexuel, il s’amusait aussi avec des adolescents, et en fit nommer deux comme cardinaux. Au XVIe siècle, le théologien Balaeus révéla que le Pape Sixte IV aurait donné aux cardinaux « l’autorisation de pratiquer la sodomie pendant les périodes de grandes chaleurs ». Pape Innocent VIII (1484-1492) eut plusieurs enfants illégitimes et était bisexuel. Pape Alexandre VI (Rodrigo Borgia 1492-1503), neveu de Calixte III, fut évêque à l’âge de 24 ans (sans avoir jamais été prêtre) et cardinal à   35 ans. Il était père de six enfants, dont quatre enfants de sa maîtresse Vanozza de Cattanei : Jean, duc de Gandie, César, Lucrèce et Joffré. Il était également bisexuel et incestueux. Pape Jules II (1503-1513) eut trois filles illégitimes. Autoritaire, belliqueux et intrigant, il fit construire en 1510 un bordel strictement réservé aux chrétiens. Il fut le dernier pape barbu et mourut à 70 ans d’une mauvaise fièvre. Pape Paul II (1534-1549), avant d’être pape, livra ses sœurs à Borgia pour qu’on le nommât cardinal. Il le sera à 25 ans. Il eut trois fils et une fille illégitime, avec laquelle il eut des rapports incestueux. Pape Jules III (1550-1555) fut ouvertement homosexuel. Pape Léon X (1513-1551 Jean de Médicis) fut protonotaire apostolique à l’âge de huit ans, cardinal à quatorze ans, pape à trente-huit ans, et ouvertement homosexuel. Il célébra son couronnement en privé avec son amant, et le nomma par la suite cardinal. Ce dernier tentera de l’assassiner, en demandant au médecin chargé de soigner les hémorroïdes du pape, de lui appliquer du poison dans l’anus. Le courrier fut intercepté, et le médecin écartelé. L’amant réussit à s’enfuir, mais il fut retrouvé, et fut torturé puis tué par la suite.

 

Que dit La Bible à propos de l’homosexualité ? « Ils échangent la vérité concernant Dieu contre le mensonge ; ils adorent et servent ce que Dieu a créé au lieu du Créateur lui-même, qui doit être loué pour toujours ! Amen. C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions honteuses. Les femmes elles-mêmes changent les relations naturelles en relations contre nature. De même, les hommes abandonnent les relations naturelles avec la femme et brûlent de désir les uns pour les autres. Les hommes commettent des actions honteuses les uns avec les autres et reçoivent ainsi en eux-mêmes la punition que mérite leur égarement (Romain 1 :25-27) ».


                                                                                     La pédophilie

 

L’homosexualité est souvent accompagnée d’abus sexuels sur les enfants (mâles et femelles). Connu sous le nom de pédophilie, l’abus sexuel sur mineurs constitue aussi un des principaux éléments de la tradition de l’Église catholique. Cette pratique était aussi une spécialité des élites sadducéennes qui ont fondé le Vatican, au 3e siècle. Depuis lors, des millions d’enfants furent abusés, et quelquefois assassinés par leurs bourreaux, les religieux catholiques. Jusqu’à nos jours, le Vatican est la seule organisation mondiale à battre le record d’abus sur enfants. Cette vieille tradition de pédophilie des sacrificateurs de l’Église catholique a laissé des traces indélébiles au cours de l’histoire. Nous pouvons citer quelques exemples illustratifs.

 

– Fidèle à la tradition de son Église, le Pape Sergius III (904-911 Pontifex Maximus) était un grand prêtre du culte de Cybèle au Vatican. L’histoire nous enseigne qu’il pratiquait l’inceste avec ses enfants mâles et femelles, et qu’il eut des enfants incestueux avec sa fille Marozia, qui devint sa maîtresse. De ces relations incestueuses naquit un fils qui sera plus tard couronné pape John X. Il est aussi connu sous le nom de pape John XI ou pape John XII. Il pratiquait ouvertement et régulièrement des rites satanistes, de même que des orgies sexuelles, le meurtre d’enfants offerts en sacrifice sur l’autel de Saint-Pierre. Il déshabillait les religieuses qui se voulaient saintes, et les envoyait se prostituer avec le clergé, car disait-il « ce fut le but de la création de votre congrégation, il y a 500 ans ». Il avait interdit d’ordonner prêtre toute personne ayant une infirmité quelconque (les bossus, les borgnes, les boiteux, les bègues). C’est la règle des B.

 

– Pape Alexandre VI aurait eu des rapports incestueux avec sa fille Lucrèce Borgia. Il a poursuivi la pratique traditionnelle et institutionnelle papale sur la sodomie des enfants, surtout les jeunes garçons, sous prétexte que cette tradition relevait de l’homosexualité de la Grèce Antique. Ce pape pratiqua de manière répétitive l’inceste avec ses enfants mâles et femelles. De ses relations incestueuses sur ses filles, naquirent d’autres enfants illégitimes.

 

Les papes qui vécurent comme eux valent un effectif de trente, parce qu’ils étaient, soit des satanistes invétérés soit de grands prêtres de la déesse Cybèle, sur la base du même culte satanique.

Cette immoralité sexuelle des sacrificateurs de l’Église catholique, avec ses conséquences meurtrières, avait laissé des indices précoces. Déjà en 836, le concile d’Aix-la-Chapelle sous le règne du Pape Grégoire IV admettait ouvertement que des avortements et des infanticides se pratiquaient dans les couvents et les monastères, dans le but de dissimuler « les actes des clercs qui ne vivaient pas le célibat ».

 

Dans ce siècle qui est le nôtre, de telles pratiques demeurent et s’empirent. Le journal Le Monde rapportait que le prêtre M. M., décédé en janvier 2008 (fondateur de la Légion du Christ, une congrégation mexicaine, autrefois très influente auprès du Vatican, du temps de Jean-Paul II), avait eu au moins trois enfants avec deux femmes différentes, et avait eu une relation de vie quasi conjugale avec l’une d’entre elles. On lui reproche sa pédophilie, mais aussi sa morphinomanie. On apprenait au Mexique qu’il eut aussi des rapports incestueux avec deux de ses fils.

 

L’inimaginable est que certains prêtres catholiques, à la manière de leurs collègues des siècles précédents s’accouplent aux animaux. Les preuves, crierez-vous ! Dans un livre intitulé, Je n’avais plus le droit d’être prêtre, un ancien prêtre catholique témoigne :

 

– « Puis est venu le jour où j’ai découvert une détresse encore plus indescriptible chez certains prêtres. Il s’agit du péché de la zoophilie (fornication contre nature avec des animaux). Lorsque j’ai entendu une telle détresse au confessionnal, exprimée par des cœurs désespérés, c’est tout un monde religieux qui s’est écroulé pour moi. Horrifié et bouleversé, j’ai eu des nausées et des insomnies… » (41 ; vigi-sectes.org)…

 

– Déjà, sous le règne du pape Léon X (1513-1521), cette zoophilie des prêtres catholiques était courante, de sorte qu’il décréta que pour être absout d’un tel péché, une amande de 131 livres était requise (article 2 camera taxae).

 

De nos jours, les médias fournissent d’autres preuves indéniables, qui démontrent que cette pratique de Cybèle est toujours active chez les prêtres catholiques. Un peu partout dans le monde, et surtout en Europe, de pauvres orphelins sans défense, confiés aux soins des prêtres, ont été longtemps abusés par eux, dans leurs orphelinats. Dans des écoles pour personnes sourdes, des enfants qui furent victimes d’agressions sexuelles, de pédophilie et de sévices corporels (entre 1950 et 1980) se rassemblent dans la ville de Vérone pour protester. En Allemagne, au moins, 205 enfants furent victimes d’agressions sexuelles dans des institutions dirigées par des jésuites, etc. Aux USA, pour l’année 2006-2007, le Cardinal de Washington DC a débloqué un million et demi de dollars, pour indemniser les victimes de ses prêtres. Femmes (veuves ou mariées), jeunes filles, jeunes hommes et enfants furent dédommagés pour avoir été sexuellement abusés par des prêtres catholiques. Les jésuites américains, quant à eux, acceptèrent de verser 166 millions de dollars à leurs victimes pour 2011. 660 millions de dollars, c’est la somme que l’archidiocèse de Los Angeles, toujours aux USA, a accepté de verser pour dédommager les 500 victimes de sévices sexuels commis par des prêtres (47). Plus de 4.000 prêtres américains ont fait l’objet d’une dénonciation. En 2003, une Cour européenne stipulait que Les Christian Brothers devaient verser 15,5 millions de dollars que se répartiront 81 victimes (46). Le diocèse d’Antigonish, en Nouvelle-Écosse, a récolté environ 6 millions de dollars de ses paroisses, une partie des 18 millions dont il a besoin pour compenser les victimes d’agressions sexuelles. Au Canada, la Congrégation de Sainte-Croix reconnaît l’importance de réparer les torts. Une somme de 18 millions de dollars, représentant plus que toutes les économies accumulées au cours des 140 ans de son existence, sera versée aux victimes et à leurs familles, selon une charte établie en accord avec leurs procureurs (49), etc.

 

La liste des forfaitures est assez longue. Et partout, sauf en Afrique, le monde se réveille pour dénoncer et réprimer ces abus, si bien que les prisons abritent de plus en plus de prêtres catholiques. Les diocèses en Europe vendent leurs immeubles pour faire face aux frais de justice. Le problème frôle la démesure et s’annonce hors de contrôle. Ainsi, en avril 2010, à l’adresse du monde entier, le Pape Benoît VI, désemparé devant les abus de ses prêtres sur les mineurs, avait déclaré sa honte.

 

Le site Internet « lespapes.net », au travers de sa transcription intitulée « Les bordels du Vatican », nous informe que l’Afrique serait devenue le grand bordel du Vatican. Je cite : « Un grand nombre de jeunes filles du Tiers-monde, et en particulier de jeunes filles africaines, sont utilisées comme esclaves sexuelles par le corps ecclésiastique. » Hé oui, c’est la stricte vérité ! C’est aussi une bien triste réalité !

Certaines sources historiques disent même que cette pratique hypocrite, qu’est l’esclavagisme sexuel de filles mises au service des ecclésiastiques, serait vieille de dix-huit siècles déjà, et aurait jeté les bases de la prostitution moderne.

Il y a quelques années, un rapport était soumis au cardinal Martinez Solamo, préfet de la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique. Ce rapport fut rédigé par une religieuse américaine, en la personne du médecin, Maura O’Donohue. Son rapport recense des cas d’abus dans 23 pays distincts. Oui, vous lisez bien, 23 pays… rien que ça ! Parmi ceux-là figurent les USA, l’Italie, l’Irlande… Ce même rapport du Dr Maura O’Donohue signale le cas d’une communauté religieuse catholique où, 29 sœurs religieuses Bendash sont tombées enceintes presque à la même période (toutes victimes des prêtres catholiques).


Au cours du synode des évêques d’Océanie, qui s’était tenu à Rome en novembre 1998, Mgr Geoffroy Robinson, évêque de Sydney, avait également affirmé que « les abus sexuels, de la part des prêtres et des religieuses, sont devenus le principal obstacle à la prédication de l’Évangile en Océanie. » Des abus sexuels sur qui ? Principalement sur de bonnes sœurs, des enfants, et des femmes. Toutes, des personnes d’origine aborigène !

 

Face à l’ampleur du fléau, la riposte onusienne ne s’est pas faite attendre. En effet, le 10 juillet 2013, l’on pouvait lire sur les pages de l’Agence France Presse Genève : Le Vatican est, pour la première fois, sommé de donner des explications détaillées aux Nations unies sur les sévices sexuels et les violences contre les enfants au sein de l’Église… Les experts de l’ONU ont publié une liste de questions auxquelles le Vatican devra répondre… Le Saint-Siège sera ensuite entendu par l’ONU en Janvier 2014 à Genève… L’ONU souhaite connaître les mesures prises par l’Église pour punir les coupables de sévices sexuels sur des enfants. Les experts veulent de même savoir ce que le Vatican a fait pour qu’aucun membre du clergé, accusé de pédophilie, ne puisse être en contact avec des enfants et les mesures prises pour soutenir les victimes… Les experts entendent faire la lumière sur la situation de certains enfants, abusés sexuellement, et que l’Église aurait contraints au silence… Ils désirent connaître les mesures prises pour condamner et prévenir les châtiments corporels infligés aux élèves dans certains établissements scolaires catholiques, ainsi que les avancées réalisées pour éviter une éducation discriminatoire entre sexes dans les écoles religieuses…

 

Par ailleurs, l’ONU demande au Vatican s’il a mené une enquête sur les allégations de torture et d’autres traitements dégradants infligés à des milliers de jeunes filles et de femmes, en Irlande, entre 1922 et 1996, alors qu’elles étaient exploitées dans des blanchisseries gérées par des religieuses catholiques. Les pensionnaires, surnommées « Magdalene Sisters », étaient des filles qui avaient eu une grossesse survenue hors mariage, ou qui avaient un comportement jugé immoral, dans ce pays à forte tradition catholique. Après l’accouchement, elles étaient ainsi dépossédées de leurs bébés… (lapresse.ca).

 

En ce début du 21e siècle, l’Église catholique tente de mettre fin à ces abus. Toutefois, il s’avère impossible d’arrêter, comme d’un coup de baguette magique, cette tradition de pédophilie, d’homosexualité et d’abus sexuels, s’illustrant de diverses manières, et vieille d’à peu près deux millénaires. Les quelques exemples évoqués sont des indices palpables et incontestables, qui certifient que la tradition de Cybèle sur la pédophilie, l’inceste et l’homosexualité est fidèlement respectée dans le catholicisme.


                                                                                        Le célibat

 

Le mot célibat proviendrait de deux mots latins « cælibatus et cælebs ». C’est un mot latin du 17e siècle, dont le sens fut corrompu au cours des siècles. D’autres versions soutiennent que le mot célibat dériverait plutôt de la combinaison de deux mots issus d’un latin beaucoup plus ancien. Il s’agit de « cello » qui signifie cacher, garder secret et de « liber » qui signifie enfant. Donc cello liber (célibataire) signifie « cacher ses enfants ». Lorsque les Romains adoptèrent le culte de Cybèle dans leur pays, caractérisé aussi par le célibat sacré de ses prêtres, ils n’obligeaient pas leurs prêtres de rang inférieur à s’émasculer, mais simplement

à   cacher leurs enfants en tant que célibataires permanents. Peut-être de manière inconsciente (comme une inconscience primitive et collective), cette pratique de Cybèle, de nos jours, est fidèlement respectée par les prêtres catholiques. Vous pouvez faire cet amer constat autour de vous. Une enquête statistique du XVe siècle faite uniquement pour la Bourgogne (France) montrait déjà que la moitié des enfants naturels étaient fils de prêtres.

 

                                                         Description:
http://mv.vatican.va/1_CommonFiles/media/photographs/MGE/040_MGE_09937_BS_go.jpg              Description:
http://2.bp.blogspot.com/-w-2nAlezqUg/UYyXhLA7WNI/AAAAAAAAFcI/W-bbCwLuWB0/s1600/Cybele.jpg

                                                                                Musée du Vatican, salle XVI.                                                                                   Fontaine dédiée à Cybèle   Madrid (Espagne)                            

                                                                                                             Autel dédié à Cybèle en 374 après J.C.

                                                                         place saint-pierre de Rome.

   
                                                                                                                        

                                                                                                    Le bûcher


Brûler vif des êtres humains comme sacrifices offerts aux dieux païens, est aussi une tradition dans les cultes rendus à Satan, à Cybèle, à Dagon, à Bal Moloch etc. Ce fut une spécialité des Phéniciens ou des Amorites qui se sont installés à divers endroits du monde. Ces sacrifices humains avaient pour but de solliciter l’aide du démon, dans les batailles, afin de vaincre un ennemi, et surtout pour acquérir plus de pouvoir et de la fortune. Cette pratique du bûcher est aussi une vieille tradition secrète de l’Église catholique. Sous le couvert de la sainte Inquisition, plus de 20 millions de personnes furent ainsi brûlées vives sur le bûcher, officiellement pour hérésie. En fait, c’étaient des sacrifices humains offerts aux dieux du Vatican. En quelque cinq ans (1940-1945), plus de 18 millions de Polonais furent brûlés vifs par l’Église catholique. Aussi, pendant la Seconde Guerre mondiale, des millions de Juifs périrent de la même manière.


Quant aux chambres à gaz, elles n’avaient pas pour but de tuer les Juifs. Elles étaient plutôt destinées à les affaiblir, et à les jeter bien vifs dans les fours, devant des prêtres jésuites convertis en SS allemands, tout cela dans un concert de chansons. Ce cérémonial de sacrifices, exécuté en masse, est l’héritage des Saducéens et du Vatican, depuis deux millénaires. En effet, on estime que depuis 2000 ans, les nobles familles des Saducéens, qui contrôlent le Vatican, ont brûlé vives, environ 20 millions de personnes, dont 18 millions en Europe.

 

Tous ces prêtres satanistes (Anciens Phéniciens, Samaritains, Sadducéens, Punique, Cybèle, Moloch, Bal, Dagon, Jésuites, etc.), constituent une lignée familiale de nobles dont la tradition considère les autres êtres humains comme des Goyim (bétail humain préparé pour le massacre), des moutons ou des bœufs, bons à être offerts en sacrifice à leurs dieux. En ce temps dit moderne, les apprentis sorciers (illuminâtes, francs-maçons, rosicruciens, etc.), toujours sous le contrôle des Jésuites et des Sadducéens qui contrôlent le Vatican, sont prêts à déclencher une guerre d’unification du monde (Le nouvel Ordre Mondial). Cette fois, ce sont des bombes atomiques qui brûleront vifs, toujours dans l’optique d’un sacrifice humain de masse, dédié à leurs dieux.

 

À  partir des actes magiques des prêtres de l’Égypte pharaonique, nous savons que les esprits des personnes qui meurent dans ces conditions atroces ne se reposent pas. Ils dégagent des énergies négatives que les sorciers et les magiciens exploitent afin de parvenir à leurs fins. Le Vatican dont les papes furent des satanistes et des prêtres de Cybèle embouchera certainement la même trompette.

 

                                                                                            Les décrets papaux

 

Les décrets papaux (papal Bull) étaient des documents légaux, rédigés par le souverain pontife pour réclamer, légiférer, maudire, ou pour contrôler et dominer des nations, des peuples, et des religions. À l’origine, ces fameux décrets papaux étaient transcrits sur une peau humaine (Bibliopégie Anthropodermique). Pour ce faire, les papes utilisaient la peau d’un enfant sodomisé, maudit et brutalement sacrifié. Il était coutume d’utiliser aussi la peau d’un hérétique de renom, tué dans les mêmes conditions. C’était un rite satanique qui avait beaucoup d’efficacité. Le premier décret papal de ce type fut rédigé par le pape Innocent II en 1136, et portait le nom de Ex commisso nobis. Son but était d’excommunier le pape saxon à Magdeburg. Cet affreux rituel qui consistait à tuer des enfants et à utiliser leur peau pour maudire et excommunier, fut transcrit dans les grimoires de pape Honoré III, au début du 13ème siècle. Il existe aussi quelques mentions historiques d’un recueil de Lettres Décrétales (le droit canon catholique) écrites sur de la peau humaine (65 ; 66). Mais suite aux unifications, aux schismes, aux révolutions, aux indépendances, à l’apparition du monde moderne et à l’émergence d’un état de droit, ces fameuses peaux humaines ont mystérieusement disparu. Elles furent remplacées par des peaux d’animaux, et plus tard, par du parchemin et du papier.

                                                                                         Description: Livre en peau humaine                                                  

                                                                                                                                                                         Reliure d’un livre en peau humaine