LE
GOUVERNEMENT SECRET
L’origine, l’identité, et le but de MJ-12
écrit le 23 Mai 1989
révisé le 21 Novembre 1990
Les
signes sont de plus en plus nombreux.
Les
lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement.
Quelqu’un
vient de très loin et veut rencontrer
les gens de la Terre.
Les
rendez-vous ont déjà eu lieu.
Mais
ceux qui ont vraiment vu se sont tus.
Pape
Jean XXII, 1935
NDT :
Ce document est une traduction d’un des plus intéressants
chapitres du
livre Behold a pale horse, écrit par l’américain Milton William
Cooper
et publié aux éditions Light Tecnology aux U.S.A. .
Light
Tecnology Publishing
U.S.A.
Voici une présentation rapide de l’auteur, compilée de sa
propre petite
auto-biographie disponible dans son livre, et agrémentée des
commentaires du
traducteur :
Milton William Cooper, tout comme son père, a décidé de
travailler dans
l’armée. Après avoir débuté dans l’armée de l’air, William Cooper a
continué sa
carrière dans la Marine (la NAVY), dans un sous-marin d’abord, puis, il a été affecté sur un pétrolier, et
peu après, au Vietnam lors de la guerre. Après quoi, il a été affecté à
un
travail de côte aux quartiers généraux
du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.
Il avait obtenu une autorisation
au Secret lorsqu’il était dans l’armée de l’air, et il en avait eu
besoin d’une
pour les sous-marins. Il en a demandé une autre pour travailler dans
l’unité
administrative de la flotte et l’a obtenue. Il avait alors accès aux
données
militaires concernant la sécurité nucléaire, puis il lui a été accordé
une autorisation
Q d’accès aux documents Top Secret afin de travailler dans l’équipe de
briefing
des services de renseignement. C’est là qu’il a appris les informations
qui
l’ont conduit à une recherche de 18 ans, aboutissant à l’écriture d’un
livre
dont ce document représente un des chapitres les plus importants. Il
lui a été
plus tard donné une autre autorisation d’accès à la cryptographie pour
endosser
parfois la responsabilité de surveillance du centre de commande, en
tant
qu’opérateur SPECAT. C’est le jour où il a appris que le bureau des
renseignements de la Marine avait participé à l’assassinat de J.F.
Kennedy
qu’il a décidé de quitter l’armée définitivement.
Après avoir essayé de communiquer les informations qu’il
détenait (à
propos des OVNI, de l’assassinat de Kennedy, du gouvernement secret,
des
solutions 1,2, et 3, du nouvel ordre mondial,...) à un reporter en
1972, il a
été attaqué par deux hommes en limousine qui ont réussi à le pousser du
haut
d’une colline, où ils l’ont laissé pour mort. Mais il a réussi à
grimper la
colline et a été secouru. Puis, un mois plus tard, il a été accidenté
par la
même limousine, accident dans lequel il a perdu sa jambe gauche. Les
hommes de
la voiture lui rendirent une visite à l’hôpital, lui déclarant que si il continuait, ils le tueraient la prochaine
fois. Il
leur dit qu’il ne ferait plus rien, et changea sa stratégie. Cela lui a
pris 16
ans. Il a démissionné de l’armée en 1975 et dans sa vie civile, il a
travaillé
comme responsable dans des instituts de formation en photographie,
après avoir
obtenu un diplôme en photographie. En 1988, ayant lu un magasine qui
parlait
d’un document découvert par Moore, Shandera et Friedman, qui parlait
des
agissements cachés du gouvernement à propos des OVNI, Mr Cooper a
décidé de rentrer
dans l’arène, sachant que le document en question était un faux
désignant une
opération dont il avait lu, lorsqu’il était dans la Marine, qu’elle
servirait à
troubler le public, et sachant aussi que Moore et Friedman étaient des
agents
du gouvernement. Afin, cette fois-ci, d’assurer sa sécurité, il a
rédigé ce
document dans sa version originale du 23 mai 1989, qu’il a expédié à de
très
nombreuses personnes tout autour du monde, pour la somme de 27000$ de
frais
d’expédition (toutes ses économies).
Depuis, Mr Cooper a pu constater qu’il était sous
surveillance et
il n’est pas le seul à le constater. De plus, des agents du
gouvernement ont
très souvent essayé de faire pression sur ses employeurs. C’est
pourquoi Mr
Cooper déménage souvent. Tout ce qu’il a dit, il aurait pu ne jamais le
dire et
vivre en paix, mais sa conscience l’a poussé à nous révéler ce qu’il
savait
pour que d’autres sachent aussi. Depuis, d’autres ont fait comme lui et
la
vérité apparaît au grand jour peu à peu.
Aux U.S.A. ,
ces informations ont été l’objet de nombreux reportages, shows
télévisés,
radiodiffusés et d’articles dans de nombreux journaux et revues. Ce
phénomène
est aussi connu chez les américains qu’il est inconnu chez nous.
Pourtant nous
en avons parfois quelques aperçus à travers les films et téléfilm
télévisés de
“ fiction ” qui nous viennent des U.S.A. .
Quelques
précisions avant d’entamer le document :
Illuminati :
Les illuminati
constituent une société
secrète qui existe depuis le 18ème siècle et qui possède depuis bien
longtemps
des membres disséminés à travers le monde dans de nombreux cercles
d ‘influence. Cette société regroupe un ensemble de personnes qui,
à
travers le monde et depuis bien longtemps ont su et pu, grâce au
soutien de
quelques puissants, accéder à des postes importants, à partir desquels
ils
recrutent eux-mêmes des personnes dont les aspirations sont les mêmes.
Le but
de ces gens est l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial à travers
l’économie,
la politique et la manipulation mentale et psychologique des
populations.
Conseil des
Relations Etrangères (CFR en américain) :
C’est une organisation
privée composée
d’hommes d’affaires exécutifs et de leaders
politiques
qui étudient les problèmes globaux et jouent un rôle clef dans le
déroulement
de la politique étrangère des USA. Le CFR est un des
groupes semi-officiels les plus puissants
qui s’occupent du rôle de l’Amérique dans les affaires internationales.
Ce qui est moins connu,
c’est qu’il est
contrôle par un groupe élu de personnes recrutées parmi des sociétés
secrètes
des universités de Harvard et de Yale : le Skull & Bones et le
Scroll
& Key (ce sont des associations dans lesquelles sont admises
certaines
personnes de Harvard et de Yale, ayant passé à cette fin certains
rythes initiatiques
et certains cérémoniaux), qui sont elles-mêmes des branches de l’ordre
des
Illuminati. Ces personnes constituent le comité exécutif du CFR, après
avoir
été admis dans une société secrète du nom d’Ordre de la Quête, aussi
connue
sous le nom de société JASON (l’admission dans des sociétés secrètes
permet aux
Illuminati de s’assurer que leurs “ recrues ” sont en accord
avec
leurs objectifs).
Le CFR contrôle le
gouvernement des USA car
ses membres (dont certains sont ignorants des motivations du comité
exécutif
car tous ne sont pas des adeptes des Illuminati ou de leurs objectifs)
ont
infiltré à travers les années toute la branche exécutive du
gouvernement :
le département d’état, le département de la justice, la CIA, et les
militaires
les plus hauts gradés. Jusqu'à présent, tous les directeurs de la CIA
ont été
membres du CFR. La plupart des présidents en ont été membres depuis
Roosevelt.
Les membres du CFR contrôlent la grande presse et la plupart des grands
journalistes américains en sont membres. Le CFR est une société secrète
au sens
où elle interdit la prise de notes ou la divulgation d’une quelconque
information à propos de ce qui se dit lors de ses meetings, sous peine
d’exclusion. Son but est l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. George
Bush et
Bill Clinton sont des membres de la CFR, pour ne citer qu’eux.
Commision
Trilatérale :
La commission
trilatérale est un groupe
d’élite de quelques 300 hommes d’affaires, politiciens et
décideurs intellectuels les plus influents de
l’Europe Occidentale, de l’Amérique du Nord et du Japon. Cette
entreprise est
une agence privée qui travaille à la construction d’une coopération
politique
et économique entre les trois parties du monde précédemment citées. Son
grand
dessein, qui n’est plus caché depuis longtemps, est le Nouvel Ordre
Mondial.
La commission
trilatérale a été créée en 1972
par le magnat de la banque américain David Rockefeller. La raison de sa
création a été le déclin passager du pouvoir du CFR à cause de sa
politique vis
à vis de la guerre du Viet-Nam qui a mécontenté beaucoup d’américains.
La
raison de sa création est la même que celle qui pousserait quelqu’un à
faire
courir 2 chevaux dans une même course : c’est de doubler les
chances de
gagner. Le pouvoir réel est toujours resté solidement dans les mains du
CFR. La
famille Rockefeller était, est et restera toujours la bénéficiare de
ces 2
organismes.
Groupe
Bilderberg :
Le groupe Bilderberg (du
nom de l’hôtel où
s’est tenu sa réunion de constitution en
1954) a été
créé de manière à coordonner et contrôler les efforts internationaux
des
Illuminati en un gouvernement mondial dont il est le corps dirigeant.
Ses
membres dirigent les cercles intérieurs de la commission trilatérale
dont le
noyau dirigeant a été choisi lors d’un meeting du groupe Bilderberg en
1972, et
les cercles intérieurs du CFR, mais aussi des grands organismes
internationaux
tels l’ONU, le FMI, l’OMS,...
________________VOCABULAIRE
UTILISE POUR LA TRADUCTION________________
Extranéen :
Néologisme créé à partir
du latin “ extraneus ”
(étranger) et désignant tout être ou toute réalité qui n’appartient pas
à la
culture humaine
Alienigène :
Néologisme créé à partir
du latin
“ alienigenus ” (qui appartient à une autre race) et
désignant tout
être dont l’origine et le développement ne correspond pas à ceux des
races
évolutionnaires de l’humanité terrestre.
Début du
document :
Perspective
Plusieurs
sources d’information ont été utilisées pour la rédaction de ce
document.
J’avais tout d’abord écrit ce document comme résultat de recherche. Il
a été
pour la première fois rendu public au Symposium du M.U.F.O.N.
, le 2 Juillet 1989, à Las Vegas, dans le Nevada. La plupart de
ces
renseignements viennent directement, ou sont des résultats de ma
recherche
personnelle dans les documents TOP SECRET/MAJIC que j’ai vu et lu de
1970 à
1973 lorsque je faisais partie de l’équipe de briefing des services de
renseignement du Commandeur en Chef de la Flotte Pacifique. Puisque
quelques
unes de ces informations proviennent de sources que je ne peux pas
divulguer
pour des raisons évidentes, et quelques autres de sources publiées
desquelles
je ne peux répondre, ce document doit être formulé comme une hypothèse.
Je
crois sincèrement que si les aliénigènes sont réels, ceci est un
document
décrivant la véritable nature des choses. C’est le seul scénario qui a
pu
relier les différents éléments. C’est le seul scénario qui répond à
toutes les
questions et replace les divers mystères les plus importants dans un
contexte
qui leur donne un sens. C’est la seule explication qui montre les
chronologies
des événements et démontre que ces chronologies, lorsqu’elles sont
assemblées,
s’emboîtent parfaitement ensembles. Le plus gros de ce document est, je
le
crois, vrai, si les documents que j’ai vu dans la Marine sont
authentiques.
Quant au reste du document, je ne sais pas ce qu’il en est, et c’est
pourquoi
il doit être formulé en terme hypothétique. La plupart des preuves
disponibles
actuellement et des preuves historiques sont en accord avec cette
hypothèse.
Le gouvernement
secret
Au cours
des années qui suivirent la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement
des
Etats-Unis fut confronté à une série d'événements qui allaient, au-delà
de
toute prévision, changer son avenir et, avec lui, celui de l'humanité
entière. Ces
événements étaient si invraisemblables qu'ils défiaient toute
crédibilité. Le
président Truman et son cabinet furent si stupéfiés qu'ils se
trouvèrent
virtuellement impuissants à leur faire face, alors que le pays venait
tout
juste de traverser la guerre la plus dévastatrice et la plus coûteuse
de
l'Histoire.
Les
Etats-Unis avaient gagné la course à l'armement nucléaire. Depuis
qu'elle avait
mis au point et même utilisé la bombe atomique, cette nation se
retrouvait la
seule au monde à posséder une arme dont la puissance pouvait réduire à
néant
tous ses ennemis et la planète elle-même. C'était une époque de grande
prospérité pour les Américains. Leur avance technologique et leur
économie
florissante leur offrait un enviable standing de vie. Ils exerçaient
une
influence mondiale et déployaient la force militaire la plus vaste et
la plus
puissante de l'Histoire. On peut donc aisément imaginer la
consternation et
l'inquiétude de l'élite gouvernementale quand celle-ci fut informée de
l'écrasement, dans le désert du Nouveau Mexique, d'un astronef piloté
par des
êtres à l'apparence d'insectes et de provenance absolument inconnue.
De janvier
1947 à décembre 1952, pas moins de 16 astronefs s'écrasèrent ou furent
descendus, sans compter celui qui avait explosé dans les airs et dont
rien
n'avait pu être récupéré. On en retira 65 corps et un être vivant.
Hormis
l'appareil qui s'était désintégré dans l'atmosphère, treize de ces
incidents se
produisirent sur le territoire américain, dont l'un en Arizona, onze au
Nouveau-Mexique
et un au Névada. L'un des trois autres écrasements eut lieu en Norvège
et deux
au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu'il devint
impossible de
compter sur les services de renseignements existants pour effectuer une
enquête
sérieuse des témoignages probants ou démentir les
affabulation.
Un appareil
fut découvert le 13 février 1948 sur une mésa près d'Aztec au
Nouveau-Mexique
et un autre de 30 m de diamètre le 25 mars suivant au terrain d’essai
de White
Sands. Au total, 17 corps furent extraits des deux appareils. Mais
l'élément le
plus intrigant fut la découverte, à l'intérieur des deux astronefs,
d'une
importante banque d'organes, de toute évidence prélevés sur des êtres
humains.
Un sentiment de paranoïa s'empara rapidement de tous ceux qui étaient
“dans le
secret” quand ils comprirent qu'un démon venait de leur dévoiler sa
face
monstrueuse. Aussitôt, l'affaire fut classifiée “plus qu'ultra-secrète”
et
scellée dans un coffre de sûreté fermé à double tour. Même le projet
Manhattan
ne s'était pas vu imposer un tel silence pour sa sécurité. Ces
événements
allaient constituer par la suite le secret le mieux gardé de toute
l'Histoire
de l'humanité.
En décembre
1947 fut mis sur pied le projet SIGN [ NDT :
Signe ], lequel réunissait les hommes de sciences les plus éminents
d'Amérique
pour étudier cette sordide affaire dans le plus complet mystère. Il se
métamorphosa et, en décembre 1948, devint le projet GRUDGE [
NDT : Rancune ]. Une branche de celui-ci fut bientôt créée
sous le
nom de BLUE BOCK [ NDT : Livre Bleu
]dans le but
de diffuser des informations anodines et surtout biaisées. Seize
volumes
allaient sortir de ce projet. Les Equipes BLEUES furent formées pour
repérer
les astronefs écrasés et en récupérer les passagers, tant morts que
vivants.
Plus tard, sous le projet POUNCE [ NDT :
Ruée ],
celles-ci devinrent les Equipes ALPHA.
Durant ces
premières années, l'Armée de l'air des Etats-Unis et la CIA exerçaient
un
contrôle absolu sur le secret de cette affaire. En fait, la CIA avait
d'abord été
créée par décret présidentiel en tant que “Groupe central de
renseignements”
pour s'occuper expressément du problème de la présence extranéenne. Par
la
suite, l'Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce groupe au
titre
d'“Agence centrale de renseignements”.
Le “Conseil
de sécurité nationale” fut établi pour superviser les organes de
renseignements
et spécialement ceux qui étaient rattachés à la question extranéenne.
Une série
d'ordres et de mémos émanant de ce Conseil libéra peu à peu la CIA des
limites
de ce seul domaine et, lentement mais sûrement, finit par “légaliser”
son
action directe dans les affaires intérieures et extérieures sous le
couvert
d'activités quelconques.
Le 9
décembre 1947, à la demande pressante des secrétaires Marshall,
Forrestal et
Patterson, ainsi qu'à celle de Kennan, directeur du personnel des
politiques de
planification au Département d'État, le président Truman approuva le
rapport
NSC 4 concernant la “coordination des mesures d'information sur les
services de
renseignements étrangers”. A la page 49 du livre 1 du “Rapport final de
la
Commission d'enquête sur les opérations gouvernementales reliées aux
activités
de renseignements ” - Sénat américain, 94e conférence, 2e session,
rapport No
94755, 26 avril 1976 - le service des renseignements étrangers et
militaires
cite: “Cette directive a donné au secrétaire d'Etat le pouvoir de
coordonner
les activités de renseignements destinées à combattre le
communisme ”.
NSC 4A - une annexe
ultra-secrète de NSC 4 -
chargeait le directeur de la CIA d’entreprendre des opérations de
couverture
psychologique afin de poursuivre les buts avancés par NSC 4, mais cette
demande
initiale ne définissait aucune procédure formelle quant à la
coordination ou à
l'approbation de ces opérations. L'annexe ne faisait qu'indiquer au
directeur
qu'il pouvait “entreprendre des actions indirectes s'il s'assurait, en
liaison
avec l'État et la Défense, que ces opérations étaient conformes aux
politiques
américaines. ”
NSC 4 et
NSC 4A furent plus tard amendés sous NSC 10/1 et NSC 10/ 2 qui
accordaient des
possibilités de couverture encore plus étendues, ce que prévoyait aussi
la
charte du Bureau de coordination des politiques (OPC). Ces deux
articles
allaient jusqu'à valider des pratiques illégales et des procédés en
marge de la
loi, pour autant que les responsables de la sécurité nationale en
conviennent.
La réaction ne se fit pas attendre. Aux yeux du personnel des
renseignements,
“tous les coups étaient bons”. NSC 10/1 permit la création d'un comité
exécutif
de coordination ayant pour fonction de réviser les propositions des
projets
secrets mais n'ayant pas mandat de les approuver. Ce groupe avait aussi
pour
tâche secrète de coordonner les projets concernant les aliénigènes. Les
directives NSC 10/1 et NSC 10/2 donnèrent lieu à une interprétation
particulière du rôle des gouvernants. Elles semblaient sous entendre,
en effet,
que ceux-ci préféraient n'être mis au courant de rien avant que les
opérations
n'aient été accomplies avec succès.
Une zone
tampon s'installa donc entre le président et l'information. Si jamais
des
fuites venaient à divulguer le véritable état des choses, le président
serait
donc automatiquement couvert par sa méconnaissance des faits et se
trouverait
ainsi à l'abri de toute accusation. Mais, avec les années, ce tampon
servit à
tenir les présidents successifs dans l'ignorance la plus complète au
sujet de
la présence extranéenne ou, tout au moins, permit au gouvernement
secret et aux
agences de renseignements de filtrer les informations qu'ils voulaient
bien
leur transmettre. NSC 10/2 établit un comité d'étude formé de sommités
scientifiques qui se réunissaient en secret. Ce comité ne fut pas
appelé MJ-12.
Les grandes lignes de ses fonctions furent stipulées dans NSC 10/5, un
autre
mémo de la série NSC dont les ordres secrets préparèrent la venue en
scène de
MJ-12 quatre ans plus tard.
James
Forrestal, le secrétaire à la Défense, commença à s’opposer au maintien
du
secret. Son grand idéalisme et sa ferveur religieuse l'amenèrent à
pencher en
faveur d'une diffusion publique de l'information. James Forrestal était
aussi
l’un des premiers kidnappés connus. Dès qu'il eut parlé du problème
extranéen
aux leaders de l'Opposition et à ceux du Congrès, Truman exigea sa
démission.
Forrestal exprima à plusieurs personnes ses craintes à cet égard ainsi
que son
sentiment d'être surveillé. Il avait raison mais les autres ne
connaissaient
pas ces faits. Aussi interprétèrent-ils ses inquiétudes comme de la
paranoïa.
On prétendit plus tard qu'il souffrait de troubles mentaux. Il avait
été
interné au Centre médical de la Marine à Bethesda, bien que
l’administration
n’en avait pas le pouvoir. En réalité,
Forrestal avait
été interné pour être isolé et discrédité parce que l'on craignait
qu'il
n'ébruite la chose. Il n’était pas permis à sa famille et à ses amis de
le
voir. Finalement, le 21 mai 1949, le frère de Forrestal pris une
décision
fatidique. Il informa les autorités qu’il avait l’intention d’enlever
James de
Bethesda le 22 mai. C'est pourquoi, tôt le matin du 22 mai 1949, des
agents de
la CIA se rendirent à sa chambre au seizième étage, nouèrent le coin
d'un drap
autour de son cou, en attachèrent l'autre bout au plafonnier et le
jetèrent par
la fenêtre. Le drap se déchira et Forrestal plongea dans la mort,
devenant
l'une des premières victimes de la conspiration du silence. Les carnets
secrets
de James Forrestal ont été confisqués par la CIA et ont été conservés à
la
Maison Blanche durant plusieurs années. Sous la pression du public, les
carnets
ont été finalement réécrits et publiés dans une version aseptisée.
L’information des véritables carnets a été plus tard fournie par la CIA
sous la
forme d’un livre à un agent qui l’a publiée sous la forme d’une
fiction. Le nom
de l’agent est Whitley Strieber et le livre est Majestic.
Le passager
qui a été trouvé errant dans le désert et rescapé de l'écrasement d'un
astronef
à Roswell en 1949 fut nommé E.B.E., monogramme formé d'après la
désignation
proposée par le professeur Vannevar Bush et signifiant “Entité
Biologique Extra-terrestre”.
E.B.E. avait tendance à mentir ou à répondre à sa guise. On
l'interrogea en
vain pendant plus d'un an. Il préférât s'abstenir plutôt que de donner
une
réponse concluante. Il ne commença à s'ouvrir qu'à partir de sa
deuxième année
de captivité. L'information qu'il livra alors est pour le moins
saisissante.
Celle-ci fut compilée dans ce qui est devenu par la suite le YELLOW
BOCK [ NDT : Livre Jaune ]. Des
photographies d’E.B.E. ont
été prises que, parmi d’autres, j’ai vu des années plus tard dans le
projet
Grudge.
Vers la fin
de 1951, E.B.E, tomba malade. Le personnel médical fut impuissant à
établir un
diagnostic puisque, d'une part, il ne possédait pas d'antécédents sur
lesquels
se baser pour le traiter et que, d'autre part l'organisme d'E.B.E.
transformait
les éléments nutritifs en énergie par photosynthèse, à la manière des
plantes,
à partir de la chlorophylle, et rejetait aussi les déchets par la peau.
Plusieurs experts ont été appelés pour étudier sa maladie, incluant des
professeurs en médecine, des botanistes et des entomologistes. On fit
appel à
un botaniste, le professeur Guillermo Mendoza, pour le soigner et
l'aider à se
rétablir. Le professeur Mendoza s’efforça vainement de sauver E.B.E.
jusqu’au 2
Juin 1952, quand il mourut. Le professeur Mendoza devint l'unique
spécialiste
en matière de ce type de biologie extranéenne. Le film E.T. est
l’histoire à peine voilée d’E.B.E. .
Les
Etats-Unis avaient désespérément tenté de sauver E.B.E. pour gagner la
faveur
de ses congénères technologiquement supérieurs en commençant, au début
de 1952,
à émettre un appel de détresse vers les vastes espaces sidéraux. Ils ne
reçurent aucune réponse mais, étant néanmoins de bonne foi, ils
poursuivirent
ce projet, nommé SIGMA.
Par un
décret-loi secret du 4 novembre 1952, le président Truman créa la très
secrète
Agence de sécurité nationale (NSA). Celle-ci avait pour objectif
premier de
décoder le langage des aliénigènes en vue d'établir un dialogue avec
eux. Cette
tâche des plus urgentes s'inscrivait dans la suite des précédents
efforts.
L'objectif second de la NSA consistait à surveiller toute communication
émise
par n'importe quel appareil et provenant de n'importe où sur terre, et
ce dans
le but de recueillir tout renseignement, tant humain qu'aliénigène, et
de
préserver le secret de la présence extranéenne. Le projet Sigma fut
fructueux.
La NSA
maintient aussi, de nos jours, des communications avec la base LUNA et
d'autres
programmes spatiaux secrets. Par décret-loi, la NSA est au-dessus de
toute loi
qui ne spécifie pas nommément qu'elle est sujette aux prévisions de la
dite
loi. Cela signifie que, si le nom de cette agence n'est pas écrit dans
le texte
de l'une ou l'autre loi votée par le Congrès, la NSA n'est pas
concernée par
cette loi. De plus, la NSA remplit beaucoup d'autres fonctions qui, en
fait, la
situent en tête des agences de renseignements. De nos jours, la NSA se
voit
octroyer 75% des sommes allouées à l'ensemble des services de
renseignements.
Un vieux dicton dit avec raison: “Où va l'argent va le pouvoir”. Le
directeur
de la Centrale de renseignements, quant à lui, n'est plus aujourd'hui
qu'un
homme de paille maintenu en poste pour berner la population. La
fonction
première de la NSA vise encore les communications avec les aliénigènes,
mais
elle s'est maintenant accrue de d'autres projets en liaison avec eux.
Le
président Truman avait tenu nos alliés - y compris l'Union soviétique -
au
courant des développements du problème extranéen. Il avait agi ainsi de
peur
que les aliénigènes ne se révèlent menaçants pour l'espèce humaine. On
avait
même dressé des plans de défense unifiée en cas d'invasion planétaire,
mais il
s'avéra difficile de garder un projet d'envergure internationale à
l'abri de la
curiosité normale des journalistes à l'égard des gouvernements. On
jugea donc
nécessaire de confier à une section indépendante le soin de coordonner
et de
contrôler les efforts internationaux. Le résultat fut la création d’une
société
secrète qui devint connue sous le nom de groupe Bilderberg. Ce groupe a
été
constitué en 1952. Son nom vient de l’endroit du premier meeting
publiquement
connu, l’Hotel Bilderberg. Ce meeting public eu lieu en 1954. Ses
membres ont
été dès lors surnommés les Bilderbergers. Le quartier général de ce
groupe est
à Genève en Suisse. Les Bilderbergers se sont transformés en un
gouvernement
mondial secret qui contrôle maintenant absolument tout. Les Nations
unies
d'alors - comme de nos jours, d'ailleurs - ne sont qu'une farce
monumentale à
l'échelle internationale.
En 1953, la
Maison blanche accueillit un nouveau président, un chef militaire
entraîné au
commandement des hommes selon des structures hiérarchiques. Habitué à
déléguer
l'autorité, il préférait gouverner en s'entourant de comités et ne
prenait par
lui-même une décision majeure que si ses conseillers étaient incapables
d'en
arriver à un consensus. Sa méthode habituelle consistait à envisager
d'abord
toutes les alternatives en lisant tous les documents et en écoutant
tous les
avis concernant une affaire, puis à trancher la question en approuvant
l'une ou
l'autre des multiples propositions. Ses proches collaborateurs ont
relaté que
son mot d'ordre se résumait le plus souvent à donner carte blanche dans
des
termes qui revenaient à dire que “la fin justifie les moyens”. Il
passait le
plus clair de son temps sur les parcours de golf, ce qui n'a rien
d'inusité
pour un ex-officier de carrière qui s'était élevé durant la dernière
guerre au
grade ultime de Commandant suprême des forces alliées. Ce président
était le
généralissime à cinq étoiles de l’armée américaine Dwight David
Eisenhower.
Au cours de
l'année 1953 - sa première en poste -, au moins une dizaine
d'écrasements de
disques furent signalés, dont quatre en Arizona, deux au Texas, un au
Nouveau-Mexique, un en Louisiane, un au Montana et un en Afrique du
Sud, sans
compter des centaines d'apparitions- Des trente aliénigènes qui furent
récupérés, quatre étaient encore en vie.
Eisenhower
comprit qu'il lui faudrait s'attaquer au problème extranéen et arriver
à le
résoudre seul, sans devoir le révéler au Congrès. C'est pourquoi, au
début de
1953, le nouveau président se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami
et
collègue au Conseil des relations étrangères, et lui confia la tâche
d'ébaucher
la structure d'une section secrète qui aurait pour mission de
superviser
l'ensemble des intervenants reliés au phénomène extranéen. C'est ainsi
que fut
conçue l'idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus tard.
C’était
Winthrop Aldrich, l’oncle de Nelson Rockefeller, qui avait joué le rôle
le plus
important en réussissant à convaincre Eisenhower de briguer les
suffrages à la
présidence des Etats-Unis. Toute le famille
Rockefeller, et avec elle l’empire Rockefeller, avait très fortement
soutenu
Ike. Eisenhower appartenait corps et âme au Conseil des relations
étrangères et
à la famille Rockefeller. En requérant les services de Rockefeller pour
s'occuper de la question extranéenne, Eisenhower commit la plus grande
bévue de
sa carrière, une erreur capitale pour l'avenir des Etats-Unis et, fort
probablement, du monde entier.
Moins d'une
semaine après son élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller
président d'un
comité consultatif présidentiel sur l'organisation du gouvernement. Ce
dernier
était donc responsable de planifier la réorganisation de
l’administration,
chose dont il rêvait depuis des années. Les programmes de réforme
furent
cumulés en un seul portefeuille et représentés au Cabinet sous le nom
de
ministère de la Santé, de l'Education et du Bien-être. Quand cette
nouvelle fonction
fut approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se vit assigner
le
poste de sous-secrétaire d'Orveta Culp Hobby.
Ce fut au
cours de cette même année que des astronomes repérèrent dans l'espace
des
objets de grande dimension se déplaçant en direction de la Terre. Ils
les
avaient d'abord pris pour des astéroïdes mais l'évidence s'imposa
bientôt qu'il
ne pouvait s'agir que de vaisseaux spatiaux. Les radios du projet Sigma
réussirent à intercepter les communications transmises entre les
astronefs, mais
nul ne put décoder les intentions réelles des équipages de ces immenses
et
nombreux vaisseaux qui, en arrivant à proximité de la Terre, se
placèrent sur
orbite géosynchrone à très haute altitude autour de l'équateur.
Toutefois, les
responsables du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet
Platon -
lequel avait mission d'établir des relations diplomatiques avec les
étrangers
d'outre-espace -, mirent au point un système de signaux basé sur le
langage
binaire des ordinateurs et purent ainsi établir un dialogue avec ces
voyageurs
de l'espace en provenance d'une autre planète. Leur atterrissage fut
convenu et
donna lieu à une première rencontre dans le désert. Le film rencontre
du 3ème
type est une version fictive d’événements qui eurent réellement
lieu. Un
otage a été laissé chez nous en gage de leur retour pour signer un
traité.
Entre-temps,
des extranéens d'une autre race - d'apparence humaine, celle-là -
atterrirent à
la base aérienne de Homestead en Floride et purent communiquer
fructueusement avec
le gouvernement américain. Ce groupe nous mit en garde contre les
initiatives
de la race en orbite autour de l’équateur. Quant à eux, ils lui avaient
plutôt
offert d'aider l'humanité dans son développement spirituel mais, pour
ce faire,
ils avaient exigé du gouvernement qu'il commençât par démanteler son
arsenal
nucléaire. Ils avaient en outre refusé tout marchandage technologique
avec lui
en raison de l'immaturité morale dont nous faisions manifestement
preuve à
l'égard des inventions que nous possédions déjà. Ces ouvertures de
conciliation
furent rejetées sur les fondements que ce serait une folie que de nous
désarmer
face à un futur aussi incertain. D'un autre côté, leur décision avait
été
d'autant plus difficile à prendre qu'ils ne pouvaient s'appuyer sur
aucun
précédent historique.
Un
troisième atterrissage eu lieu en 1954 à Muroc, dénommé maintenant base
aérienne d’Edwards. La base a été fermée pendant 3 jours et personne
n’était
autorisé à y entrer ou en sortir durant cette période. Les aliénigènes
s'entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger un traité
dont les
détails seraient discutés lors d'une rencontre ultérieure. L'événement
historique fut soigneusement planifié et, Eisenhower s'arrangea pour
être en
vacances au même moment à Palm Springs. Au jour convenu, le président
prétexta
une visite chez le dentiste pour esquiver les journalistes et se rendre
en
catimini à un rendez-vous plus insolite. Les témoins de l’événement
avaient pu
voir trois O.V.N.I. voler au-dessus de la base et atterrir. Les
batteries
antiaériennes suivaient un exercice d’entraînement et le personnel
stupéfié a
tiré sur les astronefs qui passaient au-dessus d’eux. Bien
heureusement, les
tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été blessé.
Le
président Eisenhower a donc rencontré les aliénigènes le 20 février
1954, et un
traité formel entre la nation extranéenne et les U.S.A. a été signé. Le
premier
ambassadeur aliénigène à avoir jamais été reçu par notre Etat fut
présenté
comme étant “Son Altesse toute-puissante Krlll” (prononcer Krill). Un
titre
aussi pompeux ne pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains
qui,
fidèles à leur tradition anti-royaliste, eurent tôt fait de lui
substituer
secrètement un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en anglais
et
signifiant “le tout-premier otage Krlll”, car il était l’otage qui
avait été
laissé lors du premier atterrissage dans le désert. Peu après cette
rencontre,
le président Eisenhower eu une crise cardiaque.
Quatre
autres personnes étaient également présentes lors de cette
rencontre :
Franklin Allen des journaux Hearst, Edwin Nourse de l’institut
Brookings,
Gerald Light, du célèbre institut de recherche métaphysique, et
l’évêque
catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été estimée comme
un microcosme
représentatif de la réaction que le public pourrait avoir. En se basant
sur
leur réaction, il a été décidé que le public ne devrait pas être mis au
courant. Plus tard, des études ont confirmé cette décision.
Une lettre
chargée d’émotion et écrite par Gerald Light reflète bien sa réaction
en ces
détails froids : “ Mon cher ami : je reviens tout juste
de
Muroc. Le rapport est vrai - terriblement vrai ! J’ai fait le
voyage en
compagnie de Franklin Allen du journal Hearst, d’Edwin Nourse de
l’institut
Brookings (ancien conseiller financier de Truman) et de l’évêque
MacIntyre de
Los Angeles (noms d’emprunt pour la présente, veuillez m’en excuser).
Quand
nous avons été autorisé à entrer dans la section à accès restreint
(après
environ six heures pendant lesquelles nous avons été vérifiés sous
toutes les
coutures possibles à propos de tous les événements, incidents et
aspects de nos
vies privées et publiques), j’ai eu le sentiment précis que le monde
touchait à
sa fin, avec un fantastique réalisme ; parce que je n’avais jamais
vu
autant d’êtres humains dans un état de confusion et d’effondrement
aussi total
parce qu’ils se rendaient compte que leur conception du monde avait
vraiment
pris fin avec une telle irrévocabilité qu’elle en était indescriptible.
L’existence de formes aériennes “ autre-avions ” est
maintenant et
pour toujours révoquée du domaine de la spéculation et fait
douloureusement
partie de la conscience de chaque responsable scientifique et de chaque
groupe
politique. Durant mes deux jours là-bas, j’ai vu cinq types distincts
d’astronefs en train d’être étudiée et manipulée par nos officiels de
l’armée
de l’air - avec l’assistance et la permission des
“ Ethériens ” !
Je n’ai pas
de mots pour exprimer mes réactions. C’est finalement arrivé. C’est
maintenant
une question d’histoire. Le président Eisenhower, comme vous pouvez
déjà le
savoir, est arrivé en catimini à Muroc une nuit, pendant sa visite à
Palm
Springs récemment. Et c’est ma conviction qu’il passera outre le
terrible
conflit entre les différentes “ autorités ”
et qu’il ira directement vers le peuple grâce
à la radio et à la télévision - si l’impasse continue plus longtemps.
D’après
ce que j’ai pu comprendre, une déclaration officielle au pays est en
cours de
préparation pour être délivrée vers la mi-mai ”.
Nous savons
qu’une telle déclaration n’a jamais été faite. Le groupe du contrôle du
silence
a gagné la partie. Nous savons aussi que deux vaisseaux de plus, pour
lesquels
nous n’avons aucun témoin, ont soit atterri peu après les 3 autres,
soit
étaient déjà en possession de la base avant l’atterrissage des 3
autres. Gerald
Light a mis le mot “ Ethériens ” entre guillemets pour
attirer
l’attention sur le fait que ces êtres pourraient avoir été perçus comme
des
dieux par lui.
Il est bon de préciser que
l'emblème de ces
aliénigènes est connu sous le nom d'insigne trilatéral. C'est celui
qu'ils
affichent sur leurs vaisseaux et leurs uniformes. A noter aussi que ces
atterrissages et la seconde rencontre ont été filmés et que ces films
existent
toujours.
Le
président Eisenhower rencontra donc personnellement les aliénigènes et un pacte officiel fut signé par les deux
chefs d'Etat au nom de leurs nations respectives. L'entente stipulait
qu'aucune
des deux parties ne devait s'immiscer dans les affaires de l'autre. En
échange
de notre engagement à préserver le secret de leur présence, ils étaient
prêts à
nous fournir de la technologie de pointe et à aider à l'avancement de
notre
science. Ils ne signeraient de traités avec aucune autre nation
terrestre. Sur
une base périodique et limitée, ils pourraient enlever des êtres
humains pour
des raisons de recherche médicale et d'étude de notre développement, à
la
condition expresse que ces sujets ne souffrent d'aucun préjudice et
soient
ramenés à leur point d'enlèvement sans garder le moindre souvenir de
ces
incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables
extranéens
devraient fournir à Majesty douze une liste de toutes les personnes
contactées
ou kidnappées.
Il fut
convenu que chacune des deux races désignerait un ambassadeur pour
résider à
demeure dans l'autre nation aussi longtemps que le traité serait en
vigueur. En
outre, on se mit d'accord pour procéder à des échanges culturels par le
biais
de stages d'études. Ainsi, pendant que seize “stagiaires étrangers”
feraient
leur apprentissage sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite
sur leur
planète avant d'être relayés par un nouveau groupe au bout d'un certain
temps.
Une reconstitution de cet événement a été adapté dans le film rencontre
du 3ème
type, un “ tuyau ” qui s’explique par le fait que le
professeur
J. Allen Hynek était le conseiller technique du film. J’ai remarqué que
le
rapport Top Secret contenant la version officielle de la vérité à
propos de la
question extranéenne, intitulé projet Grudge, que j’ai lu pendant que
j’étais à
la Marine, avait pour coauteurs le Lieutenant Colonel Friend et le
professeur
J. Allen Hynek, qui était cité comme étant un homme de la CIA attaché
au projet
Grudge - le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé plusieurs
incidents
O.V.N.I. légitimes quand il travaillait comme membre scientifique du
très
public projet Blue Book. Le professeur Hynek est l’homme responsable de
l’abominable phrase : “C’était seulement du gaz des
marais ”.
On accepta
aussi de construire, à l'usage des aliénigènes, des bases souterraines
dont
deux serviraient à des recherches conjointes et à des échanges de
technologie.
Ces bases extranéennes seraient construites sur des réserves indiennes
aux
quatre coins de l'Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de
l'Arizona, et une
autre serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été
construite dans le désert Mojave près ou dans un endroit appelé Yucca.
Je ne me
souviens plus si c’était Yucca Valley, Yucca Flat, ou Yucca Proving
Ground,
mais Yucca Valley est ce que j’ai toujours semblé vouloir dire. Plus
d’observations d’O.V.N.I. et d’incidents ont lieu dans le désert Mojave
de la
Californie que dans n’importe quel autre lieu dans le monde ;
tellement en
fait, que personne ne s’est dérangé pour en faire des rapports.
Quiconque
s’aventure dans le désert pour parler aux résidents sera abasourdi par
la
fréquence de l’activité et par le degré d’acceptation démontré par ceux
qui ont
fini par considérer les O.V.N.I. comme un phénomène normal.
Toutes ces
zones sont entièrement contrôlées par le Département naval, selon les
documents
que j’ai lu. C'est en effet la Marine qui émet la solde de chaque
membre du
personnel assigné à ces installations à travers un sous-traitant. Les
chèques
ne font jamais référence au gouvernement ou à la Marine. Les chantiers
ont
immédiatement démarré mais n'ont progressé qu'au ralenti jusqu'à ce que
d'importants subsides, en 1957, viennent relancer les activités
conformément au
projet YELLOW BOCK.
Le projet
REDLIGHT [ NDT : Feu Rouge ]fut mis
sur pied en
vue d'entreprendre au plus tôt les premiers vols expérimentaux à bord
d'astronefs. Des installations ultra-secrètes furent construites au lac
Groom,
dans le Névada, à l'intérieur du rayon d'action des tirs d'essai, dans
une zone
qui porte pour nom de code zone 51. Nul n'est autorisé à y pénétrer,
pas même
le personnel, sans un sauf-conduit “Q” de la Marine et un
laissez-passer
approuvé par l’administration (présidentielle, appelée Majestic), ce
qui ne
manque pas d'ironie si l'on songe que même le président des Etats-Unis
n'est
pas autorisé à visiter le site. Quant aux échanges technologiques, ils
se
déroulaient à la base extranéenne ayant pour nom de code Dreamland,
sous terre,
dans une portion souterraine dont le nom de code était “The Dark Side
of the
Moon” [ NDT : La face obscure de la
Lune ]. Selon
la documentation que j’ai lue, au moins 600 êtres aliénigènes résident
finalement à plein temps dans ce lieu avec un nombre inconnu de
scientifiques
et de personnel de la CIA . En raison de la
peur des
implants, seulement certaines personnes étaient autorisées à avoir des
relations avec les aliénigènes, et ce personnel était et continue à
être
surveillé et contrôlé continuellement.
L'armée fut
chargée de former une organisation ultra-secrète qui assurerait la
pleine
sécurité de tous les projets liés à la technologie extranéenne. Cette
section
spéciale fut baptisée l'Organisation de reconnaissance nationale.
Etablies à
Fort Carson au Colorado, les équipes spécialement entraînées à
sécuriser le
projet furent appelées Delta. Le lieutenant Colonel James
“ Bo ”
Gritz était un commandant de la force Delta.
De façon à
étouffer les soupçons que les habitants de la région risqueraient
d'avoir en
apercevant des ovnis Redlight, on créa un projet parallèle, celui des
avions à
réaction SNOWBIRD, fabriqués selon des procédés conventionnels et
exhibés à
maintes reprises aux journalistes. Le projet Snowbird avait également
l'avantage de discréditer, aux yeux de la population, les témoins
d'authentiques appareils extranéens (O.V.N.I. pour le public, V.A.I.
pour ceux
qui sont dans le secret [NDT: Vaisseau Aliénigène Identifié]). À cet
égard, il
s'avéra une véritable réussite puisque les témoignages de la part du
public se
sont faits plutôt rares jusqu'à ces toutes dernières années.
Un fond
secret de plusieurs millions de dollars fut constitué et gardé par le
Cabinet
militaire de la Maison blanche. Ce capital servit à la construction de
75
installations profondément enfouies sous terre. Aux présidents qui
demandèrent
à quel usage étaient destinées ces mises de fonds, on répondit qu'elles
serviraient à leur creuser de profonds abris souterrains en cas de
guerre
nucléaire. En fait, une très petite quantité était conçue à leur
intention. Par
contre, des millions de dollars étaient écoulés vers Majesty douze qui
les
redistribuait à des entrepreneurs pour l'excavation de bases
ultra-secrètes,
tant extranéennes que militaires, et les installations de la “Solution
2” à
travers la nation. Le président Johnson se servit à même ce fond pour
faire
ériger une salle de cinéma et paver la route de son ranch, sans avoir
la
moindre idée de l'objectif réel de ce trésor.
C'est le
président Eisenhower qui obtint du Congrès, en 1957, la création de ce
fond
secret en alléguant qu'il fallait “aménager et entretenir des abris
secrets
dans lesquels le président pourrait s'enfuir en cas d'attaque armée”.
Ces
“refuges présidentiels sécuritaires” consistent en de véritables
cavernes
creusées à une profondeur suffisante pour résister à une déflagration
nucléaire
et sont équipées des appareils de communications les plus avancés. Mais
la
majeure partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75
installations qui
sont aujourd'hui disséminées sous le territoire américain. D'autre
part, la
Commission de l'énergie atomique a ordonné la construction d'au moins
22 autres
abris.
Leur
emplacement et toute question connexe sont traités sous le sceau du
secret le
plus absolu. Le Cabinet militaire de la Maison blanche administre à lui
seul la
totalité des fonds impartis à ce programme et en distribue les parts
suivant un
réseau si complexe que même l'espion le plus habile ou le comptable le
plus
compétent ne sauraient jamais reconstituer leur parcours pour en
retracer la
provenance ou en découvrir la destination. En 1980, seuls les quelques
individus placés au départ ou à l'arrivée de ce labyrinthe savaient à
quel
usage étaient consacrées ces sommes. A la position de départ, il y
avait le
représentant du Texas George Mahon, président du Comité de crédit
budgétaire et
du sous-comité de la Défense à la Chambre, ainsi que le représentant de
la
Floride Robert Sikes, président du sous-comité au Crédit de la
construction
militaire à la Chambre. De nos jours, des rumeurs laissent entendre que
Jim
Wright, speaker de la Chambre, contrôlerait le budget du Congrès et
qu'on se
préparerait à le limoger par un coup de force.
En bout de ligne, on retrouvait le président, Majesty douze, le
chef du
Cabinet militaire et un commandant au chantier naval de la Marine à
Washington.
Les fonds
étaient libérés par le Comité de crédit qui les allouait au ministère
de la
Défense à titre de poste ultra-secret concernant la subvention du
programme de
construction militaire. L’armée ne pouvait cependant pas dépenser cet
argent
puisque, en définitive, elle ne savait même pas à quoi il servait.
C'est à la
Marine, en fait, que revenait l'autorisation de le gérer. Elle
commençait par
le remettre à ses ingénieurs maritimes de la division de Chesapeake,
qui n'en
connaissaient pas davantage le but, ni eux ni même le commandant en
chef, qui
arborait pourtant le grade d'amiral. Un seul homme connaissait la
raison
d'être, le montant réel et la destination finale de ce fond
ultra-secret.
C'était un commandant de la Marine assigné à la division de Chesapeake
mais
qui, en réalité, était aux ordres du Cabinet militaire de la Maison
blanche. En
vertu du secret absolu qui entourait ce capital, un très petit nombre
d'individus en avait le contrôle. Il leur était donc d'autant plus
facile de
faire disparaître jusqu'à la moindre trace de son passage. Ce fond
ultra-secret
n'a été soumis à aucune vérification comptable et ne le sera sans doute
jamais.
De fortes
sommes furent transférées de ce fond à un autre à Palm Beach en
Floride, dans
une localité appartenant à la Garde côtière et appelée Peanut Island.
Or, cette
“île aux Cacahuètes” est précisément adjacente à un domaine qui
appartenait à
Joseph Kennedy. Lors d'un documentaire présenté à la télévision il y a
déjà
quelque temps sur l'assassinat de Kennedy, il avait été justement
question d'un
certain officier de la Garde côtière qui aurait remis une mallette
remplie
d'argent, de la main à la main à la lisière des deux propriétés, à un
employé
des Kennedy. S'agirait-il d'une indemnité versée aux parents pour la
perte de
leur fils? Toujours est-il que ces versements ont continué sans
interruption
jusqu'à ce qu'ils cessent en 1967. Ils auraient prétendument servi à
des
travaux d'embellissement et d'aménagement paysager, mais le véritable
usage de
cet argent demeure encore inconnu, tout comme, d'ailleurs, le montant
des fonds
transférés.
Entre-temps,
Nelson Rockefeller fut encore muté. Il prit alors la place de C.D.
Jackson qui
avait occupé la fonction d'Adjoint spécial pour la stratégie
psychologique.
Sous Rockefeller, ce titre fut changé en celui d'Adjoint spécial pour
la
stratégie de la guerre froide. Ce poste évolua avec les années pour
finalement
comporter les attributions qui étaient celles d'Henry Kissinger sous la
présidence de Nixon. Le rôle officiel de Rockefeller consistait à
“fournir
conseil et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension et une
plus
grande coopération entre tous les peuples”. Cette description de tâche
n'était
toutefois qu'un écran de fumée pour dissimuler ses activités secrètes
en tant
que coordonnateur présidentiel des services de renseignements. Il en
faisait
rapport directement au président, et uniquement à lui. Il assistait aux
réunions du Cabinet, prenait part au Conseil sur la politique
économique étrangère
et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la plus haute instance
gouvernementale en matière d'élaboration des politiques.
En vertu du
décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller se vit en
outre
attribuer un autre poste clé, celui de chef du Groupe planificateur de
la
coordination. Cette unité secrète se prévalait des services de
personnes
désignées selon les différents besoins à l'ordre du jour. Hormis
Rockefeller,
ce comité ad hoc comptait à l'origine un représentant du ministère de
la
Défense, un autre du Département d'Etat et le directeur de la Centrale
de
renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le “Comité 5412” ou le
“Groupe
spécial”. Le décret NSC 5412/1 établit une nouvelle règle concernant
les
opérations clandestines. Jusque-là, le directeur de la Centrale de
renseignements avait pleine autorité sur leur exécution. Dorénavant,
ces
opérations seraient soumises à l'approbation d'un comité exécutif.
Déjà en
1954, par son décret-loi secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le
décret
NSC 5412/1 en constituant un comité permanent - et non ad hoc - qui
allait être
connu sous le nom de Majesty douze - MJ-12 - et dont le rôle
consisterait à
superviser et à diriger les activités secrètes ayant rapport à la
question
extranéenne. Le NSC 5412/1 ne fut promulgué, en définitive, que pour
détourner
la curiosité du Congrès et de la presse.
Majesty
douze était composé par Nelson Rockefeller, Allen Welsh Dulles,
directeur de la
Centrale de renseignements, John Foster Dulles, secrétaire d'Etat,
Charles E.
Wilson, secrétaire à la Défense, l'amiral Arthur W. Radford, président
du
Comité interarmes des chefs d'état-major, J. Edgar Hoover, directeur du
FBI [ NDT : Bureau fédéral
d'investigation], six membres clés du comité exécutif du Conseil des
relations
étrangères, surnommés “les Mages”., six hommes du comité exécutif du
groupe
JASON, et le professeur Edward Teller [NDT: “ Père ” de la
bombe H et
directeur du laboratoire de Livermore, aux USA (spécialisé dans l’étude
des
radiations)].
Le groupe
JASON est un groupe scientifique secret créé au moment du projet
Manhattan et
administré par la Miltre Corporation. Le cœur du Conseil de relations
étrangères recrute ses membres parmi les anciens de Harvard et de Yale
qui
étaient sensés avoir passé l’initiation des “ Skull and
Bones ” et
“ Scroll and Key ” du temps où ils fréquentaient ces
universités. Les
“ mages ” sont des membres clés du Conseil des relations
étrangères
et sont aussi membres d’un “ Ordre secret de la Quête ” connu
sous le
nom de société JASON.
Majesty
douze est composé de 19 membres. La première règle de Majesty douze
était
qu’aucun ordre ne pouvait être donné et qu’aucune décision ne pouvait
être
prise sans un vote majoritaire de ses douze plus hauts personnages,
donc
Majorité douze. Les ordres édictés par Majesty douze sont devenus
connus en
tant que directives de Majorité douze.
Le groupe
se composa donc, au fil des années, d’officiers haut
gradés, de directeurs et hauts fonctionnaires du Conseil des relations
étrangères et s'accrut plus tard de membres de la commission
trilatérale. Parmi
eux se trouvaient George Dean, George Bush et Zbigniew Brzezinski. Au
nombre
des “Mages” les plus important et les plus influents, on comptait John
McCloy,
Robert Lovett, Averell Harriman, Charles Bohlen, George Kennan et Dean
Acheson,
dont les politiques allaient se poursuivre jusque vers la fin des
années 70. Il
est intéressant de noter que le président Eisenhower de même que les
six
premiers membres de Majesty douze issus du gouvernement, étaient aussi
membres
du Conseil des relations étrangères. Ceci a donné le contrôle de l’un
des
groupes les plus secrets et les plus puissants dans le gouvernement à
un club
d’intérêt spécial qui était lui-même contrôle
par les
Illuminati.
Des
recherches approfondies permettront bientôt de découvrir que tous les
“ mages ” n’étaient pas à Harvard ou à Yale, et que tous
n’étaient
pas choisis pour avoir été membre du Skull and Bones ou du Scroll and
key
durant leurs années à l’université. Vous pourrez effacer rapidement ce
mystère
en obtenant le livre intitulé The Wise Men écrit par Isaac et
Evan
Thomas, chez Simon et Schuster, New York. Sous l’illustration #9 au centre du livre, vous trouverez la
légende : “Lovett, avec l’unité de Yale, en haut à droite, et sur
la plage :
son initiation au Skull and Bones s’est faite sur une base aérienne
près de
Dunkerke ”. J’ai découvert que les membres étaient choisis sur une
base
actuelle par invitation basée sur le mérite postuniversitaire et
n’étaient pas
exclusivement des membres de Harvard ou de Yale. A cause de cela, une
liste
complète des membres du Skull and Bones ne pourra jamais être obtenue
des
catalogues d’adresse du quartier universitaire de Russel Trust, aussi
connu
sous le nom de Confrérie de la mort, ou du Skull and Bones. Maintenant
vous
savez pourquoi il a été impossible de répertorier les membres, que ce
soit par
nombre ou par nom. Je crois que la réponse gît, cachée dans les
fichiers du
Conseil des relations étrangères, si ces fichiers existent.
Quelques
personnes choisies furent plus tard initiées dans la branche secrète de
l’Ordre
de la Quête, connue comme Société JASON. Ces personnes sont membres du
Conseil
des relations étrangères et à l’époque étaient connues sous le nom
d’Establishment de la côte Est. Ceci devrait vous donner une bonne idée
de la
sérieuse influence que peuvent avoir les associations universitaires
occultes.
La Société Jason se porte encore très bien de nos jours, mais elle
compte
aujourd'hui des membres de la Commission trilatérale. Cette commission
existait
bien avant d'être rendue publique en 1973. Le nom de cette commission
vient de
l’insigne extranéen connu comme étant l’insigne trilatéral. Majesty
douze a
aussi survécu jusqu'à aujourd'hui. Sous Eisenhower et Kennedy, cette
section
fut appelée à tort le Comité 5412 ou, plus exactement, le Groupe
spécial. Sous
l'administration Johnson, elle devint le Comité 303 pour échapper aux
allusions
compromettantes dont la dénomination 5412 avait été la cible dans un
livre
intitulé Le Gouvernement secret. L'auteur de ce livre avait
effectivement été mis au courant du décret NSC 5412/1, mais cette fuite
n'était
qu'une habile manoeuvre de diversion pour encore mieux dissimuler
l'existence
du décret 5410. Sous les gouvernements Nixon, Ford et Carter, le comité
porta
le numéro 40 et, sous celui de Reagan, le numéro PI-40. Durant toutes
ces
années, seule l'appellation de cette section a changé.
Dès 1955,
il devint évident que les aliénigènes avaient abusé de la confiance
d'Eisenhower et ne respectaient pas leur traité. On fit la
macabre découverte, à travers tout le territoire américain, de
cadavres
mutilés non seulement d'animaux mais aussi d'êtres humains. On se mit
alors à
fomenter de sérieux doutes sur l'intégralité des listes que les
aliénigènes
s'étaient engagés à soumettre à Majesty douze, et on suspecta le fait
que tous
les kidnappés n’étaient pas libérés. L’U.R.S.S. fut soupçonnée d’avoir
engagé
des relations avec les aliénigènes, et cela s’est révélé être vrai. Les
aliénigènes ont déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaient à
exercer
un contrôle sur les masses par le biais de sociétés secrètes ainsi que
par le
truchement de la sorcellerie, de la magie, de l'occultisme et de la
religion.
Vous devez comprendre que ces déclarations pourraient aussi être une
manipulation. En guise de représailles, l'aviation militaire s'engagea
dans de
nombreux combats aériens, mais elle dut baisser pavillon devant la
supériorité
des extranéennes.
En novembre
1955, le décret NSC 5412/2 établit un comité d'étude ayant pour tâche
d'“explorer tous les facteurs pouvant contribuer à l'élaboration et à
la
réalisation des politiques étrangères à l'ère nucléaire”. C’était
seulement un
nuage de fumée destiné à couvrir le réel sujet d’étude, la question
extranéenne. Par un autre décret-loi secret - le NSC 5511
il - promulgué en 1954, le président
Eisenhower avait ordonné à ce groupe d'“examiner tous les faits, les
évidences,
les mensonges et les tromperies relativement aux aliénigènes afin d'en
dégager
la vérité”. Le NSC 5412/2 n'était qu'une façade devenue nécessaire pour
dévier
l'attention des journalistes qui commençaient à s'enquérir du but de
ces
réunions où se regroupaient tant de personnalités politiques aussi
importantes.
Les premières rencontres eurent lieu en 1954 et furent appelées les
rencontres
Quantico car elles furent tenues à la base navale de Quantico, en
Virginie. Le
groupe d'étude réunissait 35 membres du Conseil des relations
étrangères, tous
du groupe d’étude secret. Le professeur Edward Teller fut invité à y
participer. Durant les dix huit premiers mois, le professeur Zbigniew
Brzezinski tint le rôle de président d'étude et fut remplacé par le
professeur
Henry Kissinger, pendant une égale durée à partir de novembre 1955.
Nelson
Rockefeller y fit de fréquentes visites pendant les sessions d'étude.
Les membres
du groupe d’étude
Gordon
Dean, Président
Professeur
Henry Kissinger, Directeur d’étude
Professeur
Zbigniew Brzezinski, Directeur d’étude
Professeur
Edward Teller
Frank
Altschul
Maj. Gen.
Richard C. Lindsay
Hamilton
Fish Armstrong
Hanson W.
Baldwin
Maj.
Gen. James McCormack, Jr.
Lloyd V. Berkner
Robert
R. Bowie
Frank C. Nash
McGeorge
Bundy
Paul H. Nitze
William
A. M. Burden
Charles
P. Noyes
John
C. Campbell
Frank
Pace, Jr.
Thomas
K. Finletter
James A. Perkins
George
S. Franklin, Jr.
Don
K. Price
I.I.
Rabi
David
Rockefeller
Oscar M. Ruebhausen
N.E.
Halaby
Lt. Gen. James M. Gavin
Gen.
Walter Bedell Smith
Caryl
P. Haskins
Henry
DeWolf Smyth
James
T. Hill, Jr.
Shields
Joseph
E. Johnson
Carroll
L.
Mervin J.
Kelly
Arnold
Wolfers
Les rencontres de la
seconde phase eurent
aussi lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le groupe
d’étude
devint connu sous le nom de Quantico II. Nelson Rockefeller s'était
fait bâtir
une retraite, quelque part dans le Maryland, dans un endroit accessible
uniquement par avion, de sorte que Majesty douze et le comité d’étude
n'y soit
pas importuné par les regards inquisiteurs de la presse et du public.
Ce
pavillon de campagne, de son nom de code “Country Club”, en plus
d'offrir le
gîte et le couvert, était doté d'une bibliothèque, de salles de réunion
et
d'installations récréatives (l’institut Aspen n’est pas le
“ Country
Club ”).
Le groupe
d'étude fut “publiquement” dissous vers la fin de 1956 et Henry
Kissinger
publia, l'année suivante, un compte rendu “officiel” des sessions sous
le titre
“Armes nucléaires et Politiques étrangères”, édité par Harper à
New-York pour
le compte du Conseil des relations étrangères, en 1957. En vérité,
Kissinger en
avait déjà rédigé 80% à l'époque où il étudiait à Harvard. Ainsi le
comité
d'étude pouvait poursuivre ses réunions en secret. Les commentaires de
l'épouse
et des amis de Kissinger sont révélateurs du caractère sérieux qu'il
attachait
à ces rencontres. Ceux-ci relatent qu'il quittait la maison très tôt le
matin
et n'y revenait qu'à la nuit tombée. Devenu anormalement taciturne, il
ne
répondait plus à personne, comme s'il vivait dans un monde à part dont
les
autres étaient inconditionnellement exclus.
Les
révélations faites au cours des sessions d'étude sur la présence des
aliénigènes et leurs agissements avaient dû l'ébranler sérieusement
pour qu'il
manifestât subitement un tel revirement d'attitude, autrement
inexplicable
puisqu'il ne sera jamais plus affecté de cette manière durant le reste
de sa
carrière, et ce peu importe la gravité des événements auxquels il sera
confronté. Il lui arrivait souvent, en outre, malgré une journée de
travail
déjà bien remplie, de prolonger ses activités très tard dans la nuit.
Inévitablement, ce mode de vie le conduisit au divorce.
Un des
résultats majeurs des travaux du comité fut de conclure à l'absolue
nécessité
de ne pas mettre la population au courant de la présence extranéenne,
car le
groupe estima qu'il en résulterait à coup sûr un effondrement de
l'économie
autant que des structures religieuses, ainsi qu'un déferlement de
panique tel
que la nation risquerait de tomber dans l'anarchie. Aussi fallait-il
absolument
en préserver le secret, et ce non seulement à l'égard du public en
général mais
aussi face au Congrès. On allait donc devoir trouver des fonds ailleurs
que
dans le gouvernement pour subventionner les projets de recherche. Or,
on avait
déjà obtenu la garantie qu'ils seraient assurés, d'une part, par le
biais des
crédits de l’armée et, d'autre part, au moyen de fonds confidentiels de
la CIA
non affectés à son budget.
La décision
du groupe d'étude d'occulter le problème avait été motivée par la
découverte
effarante que les aliénigènes utilisaient des êtres humains et des
animaux pour
en extraire les sécrétions glandulaires et hormonales, les enzymes et
le sang
et qu’il les utilisaient probablement pour
des
expériences génétiques. Les aliénigènes expliquaient que ces actions
étaient
nécessaires pour leur survie. Ils disaient que leur structure génétique
s’était
détériorée et qu’ils n’avaient plus la faculté de se reproduire. Ils
disaient
que s’ils s’avéraient incapables d’améliorer leur structure génétique,
leur
race cesserait bientôt littéralement d’exister. Leurs explications ont
été
écoutées avec une suspicion extrême, mais, comme nos armes s'étaient
montrées
inutiles contre les aliénigènes, Majesty douze jugea néanmoins
préférable de
continuer à entretenir des relations diplomatiques amicales avec ces
imposteurs, du moins jusqu'au temps où nous serions technologiquement
de taille
à leur imposer le respect. En outre, il vaudrait mieux, pour la survie
de
l'humanité, joindre nos forces à celles d'aunes nations, à commencer
par
l'URSS. Par ailleurs, on avait déjà entrepris un double programme
d'armement, à
la fois conventionnel et nucléaire, dans l'espoir de pouvoir un jour
traiter
sur un pied d'égalité avec les aliénigènes.
Ces
recherches constituèrent les projets JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier
concernait
une arme capturée chez les Allemands et capable, à cette époque, de
faire
éclater un blindage de 20 cm d'épaisseur à une distance de 3 km. Ce
dispositif
émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma
qu'il
pourrait se montrer efficace contre les astronefs extranéens et leurs
armes à
faisceaux. Excalibur, de son côté, consistait en une ogive de une
mégatonne
transportée par un missile téléguidé pouvant s'élever à près de 10 000
m
d'altitude relative, atteindre une cible définie sans dévier de plus de
50 m et
s'enfoncer à 1000 m dans un sol tassé et dur comme le tuf calcaire que
l'on
retrouve au Nouveau Mexique, là où sont enfouies les bases
extranéennes. Joshua
fut développé avec succès mais, à ma connaissance, jamais utilisé.
Excalibur,
pour sa part, a été négligé jusqu'à tout récemment, alors que des
efforts sans
précédent lui sont maintenant consacrés. On dirait au public
qu’Excalibur
serait nécessaire pour prendre les postes de commandements souterrains
d’U.R.S.S. . Nous savons que cela n’est pas
vrai car
une règle de guerre est qu’on n’essaie jamais de détruire les
dirigeants. Ils
sont utiles, soit pour une reddition inconditionnelle, soit pour
négocier les
traités. Ils sont aussi nécessaires pour assurer une transition
pacifique du
pouvoir et l’acquiescement de la population aux termes des traités
négociés ou
édictés. A partir des doutes qu'avaient suscités les activités
illicites des
aliénigènes, et redoutant une manipulation de leur part, une minutieuse
investigation fut ordonnée à l'égard du secret qui entourait les
événements
survenus au début du siècle à Fatima. Les Etats-Unis ont utilisé leurs
espions
au Vatican et obtinrent assez vite toute l’étude du Vatican qui
incluait la
prophétie. Cette prophétie affirmait que, si l'humanité ne se
détournait pas du
péché pour se placer sous l'égide du Christ, elle finirait par se
détruire
après avoir provoqué les événements apocalyptiques décrits par Jean
dans son
Livre des Révélations. La prophétie demandait à ce que la Russie soit
consacrée
au Sacré Cœur. La prophétie annonçait aussi la naissance d'un enfant
qui
rallierait tous les peuples à l'idée d'une paix mondiale mais jetterait
les
fondements d'une fausse religion. La plupart des gens discerneraient
toutefois
le mal dans les intentions de cet homme et reconnaîtraient bientôt dans
sa
personne l'identité de l'Antéchrist. La Troisième Guerre mondiale
éclaterait au
Moyen-Orient avec l'invasion de l'Etat d'Israël par une nation des
Etats arabes
unis. Celle ci utiliserait d'abord des armes conventionnelles mais
déclencherait finalement un holocauste nucléaire. Toute vie sur terre
serait
condamnée à d'horribles souffrances qui ne sauraient se terminer que
dans la
mort. La prophétie s'achève néanmoins sur une note optimiste en
annonçant le
retour du Christ.
Lorsqu'on
eut soumis ces prédictions aux aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent la
véracité. Les aliénigènes prétendirent, en outre, avoir créé l'espèce
humaine par
croisements génétiques et l'avoir manipulée par le biais de la
religion, du
satanisme, de la sorcellerie, de la magie et du spiritisme. Ils
expliquèrent
plus tard qu’ils étaient capables de voyager dans le temps, et que ces
événements auraient vraiment lieu si les conditions [NDT: de la
prophétie]
n’étaient pas remplies. Plus tard, en utilisant la technologie
extranéenne, les
U.S.A. et l’U.R.S.S. ont pratiqué le voyage dans le temps, dans un
projet
appelé RAINBOW, ce qui leur a permis de voir la prophétie se confirmer.
Les
aliénigènes montrèrent un hologramme censé représenter la véritable
scène de la
crucifixion de Jésus. Le gouvernement a filmé l’hologramme. Nous ne
savions pas
si nous pouvions les croire. Cherchaient-ils simplement à nous
manipuler à travers
nos religions, alors même que notre foi était authentique, ou bien
avaient-ils
vraiment inventé nos religions comme moyen de nous manipuler depuis
toujours
par le biais de nos croyances? D'autre part,_serions-nous
réellement sur le point de vivre les événements de la fin des temps et
du
retour du Christ qui sont annoncés dans l'Evangile? Nul n'en avait la
moindre
idée.
En 1957 fut
tenu un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du
moment.
Ceux-ci arrivèrent à la conclusion que, vers l'an 2000, en raison de
l'accroissement de la population et à cause de l'exploitation de
l'environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans
une
intervention divine ou extranéenne.
Le
président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société
Jason
d'étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations. Ses
recherches
ne purent que confirmer la conclusion des hommes de sciences. En guise
de
recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions
alternatives appelées
solutions 1,2, et 3.
Solution 1:
Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions
nucléaires,
d'immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution
pourraient
s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins
exploiter
l'environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions,
c'était la
moins susceptible de réussir, d'une part, en raison des tendances
inhérentes de
la nature humaine et, d'autre part, à cause des dommages
supplémentaires que
des explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement. L’existence
d’un trou
dans la couche d’ozone pourrait indiquer le fait que la solution 1
pourrait
avoir été essayée. Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture.
Solution 2:
Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans
lequel une
élite de toutes les cultures et de toutes les sphères d'activités
serait
appelée à survivre pour perpétuer l'espèce humaine.
Quant au
reste de l'humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du
globe. Nous
savons que ces installations ont été construites et sont prêtes et en
attente
des quelques personnes à choisir.
Solution 3:
Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu'un petit
nombre
d'élus puissent quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs
dans le
cosmos. Je ne saurais confirmer ou infirmer la possibilité que des
contingents
d'esclaves [ NDT : appelés
marchandise] aient
déjà été expédiés, dans le cadre de ce projet, en qualité de
main-d'oeuvre. La
destination première est la Lune - de son nom de code Adam - et la
seconde est
Mars - de son nom de code Eve. J’ai maintenant en ma possession des
photographies officielles de la NASA de l’une des bases lunaires. Je
pense que
la colonie sur Mars est aussi une réalité.
Dans le but
d'en retarder l'exécution, les trois solutions furent accrues d'un
programme de
contrôle des naissances - incluant la stérilisation - et de propagation
de
microbes mortels en vue de ralentir l'accroissement de la population.
Le SIDA
ne représente qu'un des résultats de ce plan. Il a été décidé par
l’élite que
puisque la population devait être réduite et contrôlée, il serait du
plus grand
intérêt de la race humaine de se débarrasser des éléments indésirables
de la
société. Les cibles spécifiques de population étaient les noirs, les
hispaniques et les homosexuels. Les gouvernements américain et
soviétique ont
rejeté la première solution mais ont conjointement ordonné
d'entreprendre la
réalisation des solutions 2 et 3 à peu près en même temps.
En 1959, la
société commerciale Rand organisa un symposium sur les “constructions
souterraines à grande profondeur”. Le prospectus contenait des
photographies et
des descriptions de machines pouvant creuser des tunnels de 8 m de
diamètre à
raison de 1,5 m par heure. Ces immenses corridors conduisaient à de
gigantesques voûtes souterraines qui semblaient abriter des
installations
domestiques et vraisemblablement des villes. De toute évidence,
l'industrie de
la construction souterraine avait accompli des progrès significatifs
depuis ses
débuts cinq ans auparavant.
Les
dirigeants comprirent qu'un des meilleurs moyens de financer les
projets
clandestins reliés aux aliénigènes consistait à accaparer le marché
noir des
stupéfiants. Les anglais et les français avaient établis un précédent
historique lorsqu’ils avaient exploité le marché de l’opium en Extrême
Orient
et qu’ils l’avaient utilisé pour remplir leurs coffres et gagner un
solide
pied-à-terre en Chine et au Vietnam respectivement.
A cet
effet, on approcha un jeune et ambitieux membre du Conseil des
relations
étrangères nommé George Bush, qui était alors président-directeur
général de la
société pétrolière texane Zapata, laquelle procédait à des
expérimentations
techniques en haute mer. Or, les plates-formes de forage pourraient
très bien
servir, estimèrent-ils avec raison, à opérer le trafic de la drogue. Il
suffisait, en effet, de charger la contrebande à bord de chalutiers qui
la
transporteraient depuis l'Amérique du Sud jusqu'aux plates-formes de
forage. De
là, il ne restait plus qu'à l'acheminer vers le continent en empruntant
la
navette de ravitaillement du personnel régulier dont la cargaison n'est
pas
soumise à l'inspection des douanes ni à la surveillance de la garde
côtière.
George Bush
accepta de collaborer à l'opération avec la CIA. Ce stratagème dépassa
si bien
les prévisions qu'il est ensuite devenu pratique courante dans le monde
entier,
quoiqu'il existe maintenant beaucoup d'autres méthodes pour introduire
des
drogues illégales dans un pays. Il faudra donc toujours se souvenir de
George
Bush comme ayant fait partie des promoteurs de la vente de stupéfiants
à nos
enfants. De nos jours, la CIA contrôle mondialement le marché noir de
la
drogue.
C'est le
président Kennedy qui a lancé le programme spatial “officiel” quand,
dans son
discours inaugural, il a confié aux Etats-Unis le mandat d'envoyer un
homme sur
la Lune avant la fin de la décennie. Malgré l'honnêteté de ses
intentions, ce
mandat permit néanmoins aux responsables de couler des sommes
gigantesques vers
les projets clandestins tout en détournant le peuple américain du
véritable
programme spatial. L'Union soviétique élabora un plan similaire qui
visait le
même objectif, car, en réalité, au moment même où Kennedy s'adressait à
la
nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes,
avaient déjà
installé une base conjointe sur la Lune.
Le 22 mai
1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que
l'environnement y
était propice à la vie. Il n'en fallait pas davantage pour qu'on s'y
rendît aussitôt
fonder une colonie. Je pense qu’il s'y trouve aujourd'hui des villes
peuplées
d'individus spécialement sélectionnés pour leurs compétences
particulières et
provenant de toutes les cultures de la Terre. Si l'Union soviétique et
les
Etats-Unis ont, durant toutes ces années, affiché publiquement des
politiques
soi-disant antagonistes, c'était simplement pour avoir le loisir de
financer
des projets de ce genre au nom de la Défense nationale, puisque, au
fond, ce
sont les plus grands alliés du monde.
Dans une
certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au
sujet
des drogues et des aliénigènes. C'est pourquoi, en 1963, il posa un
ultimatum à
Majesty douze, leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se
chargerait
lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il
informa
Majesty douze de son intention de révéler l'existence des aliénigènes à
toute
la nation l'année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan de
divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas
partie du
Conseil des relations étrangères. Aussi ne savait-il rien des solutions
2 et 3 ( bien que quelques personnes aient
clamé que JFK était un
membre du Conseil des relations étrangères, je n’ai pu trouver aucune
liste légitime
où son nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes
étaient
gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de “Comité
des
politiques”. Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par le comité
exécutif
du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une
organisation
homologue.
La décision
du président Kennedy fit l'effet d'une pierre jetée dans un nid de
frelons. Son
assassinat fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis
l'ordre en
fut transmis aux agents postés à Dallas. Le président John F. Kennedy a
été
assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture
dans le
cortège et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder.
Regardez le
conducteur et non pas Kennedy quand vous voyez le film. Tous les
témoins
oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture
présidentielle ont
très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux
qui ont
cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort que Kennedy dans
les deux
années qui suivirent son meurtre. Rien d'étonnant, du reste, à ce que
la
commission Warren n'ait abouti à aucun résultat concluant puisque la
majorité
de ses sièges était occupée par des membres du Conseil des relations
étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le peuple
américain.
Quant aux
citoyens qui ont osé, entre-temps, lever le voile sur le mystère
extranéen, ils
ont connu la même fin tragique. A l’heure actuelle, plus de 200 témoins
matériels ou personnes impliquées dans l’assassinat sont mortes. La
probabilité
que toute ces personnes soient mortes au
hasard est si
faible que personne n’a été capable de la calculer. La probabilité pour
que les
18 premiers témoins soient morts dans les 2 ans suivant l’assassinat a
été calculée à une chance contre cent mille
milliers de
milliard. Vous pouvez commander une copie du film en envoyant
$30+ $4 de
frais d’envoi à William Cooper, 19744 Beach Blvd, suite 301, Huntington
Beach,
California 92648.
En décembre 1988 j’ai eu
une conversation
téléphonique pendant laquelle, j’ai dit à John Lear ce que j’avais vu
dans la
Marine concernant l’assassinat de Kennedy. Je lui ai dit que les
documents Top
Secret disaient que l’acte était pleinement visible dans un film pris
dans le
public. J’ai dit que j’avais vu un film qui montrait Greer tirer sur
JFK, il y
a 16 ans de cela, mais que je n’en avais trouvé aucune copie depuis.
J’ai été
choqué et très plaisamment surpris lorsque John m’a
demandé : “ Voudrais-tu le voir ? ”.
Moi ? Bien
sûr, ai-je répondu par l’affirmative. Alors John nous a invités, Annie
et moi,
à venir chez lui à Las Vegas. Nous sommes restés 4 jours chez John . Non seulement il m’a montré le film,
mais il
m’en a donné une copie vidéo. J’ai montré cette vidéo à chaque fois que
j’ai
parlé à un groupe de personne. Ce film est intitulé Dallas revisité.
John m’a
dit qu’il l’avait obtenu par une connaissance à la CIA dont il ne
devait pas
livrer le nom. J’ai plus tard découvert que l’auteur de cette version
du film
Zapruder est Lars Hansson .
John Lear montrait ce film à chaque meeting qu’il dirigeait.
Peu après
que Lear m’ai donné une copie du film, Lars Hansson m’a appelé et
demandé si il
pouvait faire un saut chez moi à Fullerton en Californie. Je lui ai dit
qu’il
le pouvait et lui ai demandé de m’apporter une meilleure copie du film si il en avait une. Lars m’a dit qu’il le ferait.
Il m’a
aussi dit qu’il m’apporterait un film à propos d’un homme appelé Bo
Gritz, dont
je n’avais jamais entendu parler. Mr Hansson m’a informé qu’il avait
copié ce
document en vidéo pour Bo Gritz et John Lear et que tous deux
l’utilisaient
dans leurs conférences. J’ai plus tard découvert que Bo Gritz vendait
la bande
à 10$ [ NDT : environ 50f ] la copie.
Lars vint chez moi,
apporta les films sur
bande vidéo et nous avons discuté pendant une heure environ. Son
objectif
principal était de me dire qu’il voulait que je montre le film aux gens
mais
qu’il ne voulait pas que je le mette en relation avec le film de
quelque
manière que ce soit. J’ai accepté de ne pas divulguer ma source et je
me suis
tu. J’ai commencé à utiliser la bande lors de mes conférences. Quand
j’ai
découvert que Bo Gritz la faisait circuler librement, j’ai cédé à la
pression
du public et je l’ai aussi fait librement circuler.
Plus tard,
j’ai lu dans un des journaux de Los Angeles (dont j’ai oublié le nom),
que Lars
Hansson disait qu’il ne savait pas que je possédais le film et qu’il ne
savait
pas que je le diffusais lors de mes conférences. Hansson disait dans
cet
article, qu’il était présent à ma grande conférence d’Hollywood, le 5
novembre
1989, et qu’il avait essayé de contester mes propos lors de cette
conférence,
au moment de la partie question/réponse, mais qu’on ne lui avait
accordé aucun
droit de parole. Nous avions enregistré l’événement sur bande vidéo et
à la fin
j’ai demandé aux gens ayant des questions ou des commentaires d’aller
vers le
micro que nous avions placé dans l’allée. J’ai bien examiné chaque
recoin de
cet enregistrement et Lars Hansson ne s’est jamais levé de son siège,
ni même
jamais redressé, ni essayé d’une quelque autre manière de se manifester.
Lars m’a
rappelé plus tard et m’a demandé de ne plus utiliser sa voix sur la
bande, sa
voix qui disait sans hésitation et sans réserve aucune, pendant qu’il
narrait
la bande vidéo, “ le conducteur de la voiture tourne avec son bras
gauche
au dessus de son épaule et fait feu avec un pistolet. Vous voyez le 45
automatique, arme automatique plate recouverte de nickel de calibre 45
qu’il
tient dans sa main gauche. Il faisait feu par dessus son épaule droite,
vous le
voyez clairement. Vous voyez sa tête s’orienter à l’arrière vers le
Président.
Dans ce gros plan vous voyez que l’impact le repousse violemment vers
l’arrière
contre le dos de son siège. Vous voyez Mme Kennedy envahie par un
sentiment de
terreur ”. Puis, plus loin dans le film, Lars Hansson
dit : “ vous pouvez clairement voir sa (au conducteur)
tête
tourner et son bras, et l’arme qu’il tient au bout, viser par dessus
son épaule
droite ”. J’ai accepté de ne plus utiliser sa voix. Dans mes
conférences
suivantes, j’ai montré l’enregistrement sans bande audio. Il s’est
avéré que
les gens le voyaient beaucoup mieux sans narration.
Il est
important que vous compreniez bien ce qui précède, car vers la fin de
l’été
1990, après que j’aie montré le film pendant plus d’un an et demi, Lars
Hansson
a commencé à se montrer à la radio, proclamant que Greer, le
conducteur,
n’avait pas tiré sur le Président. Lars Hansson s’est montré à ma
conférence,
en raillant de forte voix et en se faisant passer pour un âne. Quand la
conférence s’est terminée, il a abordé les gens dans la foule et, de
concert
avec David Lifton, a essayé de les convaincre qu’ils n’avaient pas
vraiment vu
Greer tirer sur Kennedy. Pour leur déconfiture, la plupart des gens
dirent à
Hansson et Lifton “ d’aller se faire voir ailleurs ”. Une
fois que
les gens l’on vu de leurs propres yeux, ils ne peuvent plus être dupés.
Hansson, Lifton, Grodin, et les autres agents du gouvernement secret
n’en ont
plus pour longtemps. Les américains ont compris l’arnaque. J’ai des
frissons
rien qu’à penser à ce qui arrivera à ces gens lorsque les américains
finiront
par se mettre en colère. N’oubliez pas que Lear m’a informé que sa
source pour
le film était un agent de la CIA qui s’était révélé être plus tard,
Lars
Hansson.
Hansson a plus tard clamé que
j’avais violé son copyright. Il
n’avait aucun copyright. Hansson lui-même avait violé le copyright de
quelqu’un
en faisant cette vidéo et en la donnant à Lear, Gritz et moi: je
n’avais et
n’ai toujours aucune considération à propos du copyright de CE film en
particulier. Si je l’avais fait, personne ne saurait jamais qui a
réellement
tué notre président.
Bo Gritz a déclaré à la
radio, qu’il avait
exactement le même sentiment. Hansson n’a jamais attaqué Lear ou Gritz,
qui
montrent toujours la bande, et Gritz continue à la faire circuler. Je
me
demande pourquoi ? Est-ce que Lear, Hansson et Gritz travaillent
ensemble ?
Robert Grodin est alors
entré en scène. Il
m’a publiquement mis au défi de débattre avec lui. Il a proclamé avoir
une
copie du film Zapruder montrant que Greer n’avait jamais enlevé ses
mains du
volant de la voiture. Grodin est un agent actif du gouvernement secret
dont le
travail est de noyer le public dans la confusion et de perpétuer le
nuage de
brouillard.
J’ai appelé Bob Grodin
et accepté son défi.
Je l’ai invité à se montrer avec moi en public au collège de Beverly
Hills et
de projeter son film. Il projetterait son film et l’audience
déciderait. Il a
refusé. Il a refusé parce qu’il savait que je savais que l’audience le
huerait.
Grodin sait que Greer a tiré sur Kennedy parce qu’il fait partie du
système de
couverture de la vérité.
Bob Grodin est ce même
Bob Grodin qui prétend
être le premier expert indépendant en interprétation photographique.
Bob Grodin
n’a AUCUNE éducation photographique quelle qu’elle soit. Il n’a jamais
travaillé dans la photographie. Bob Grodin n’a jamais, de sa vie, été
un
interpréteur photographique. Il a menti au public à propos de ses
références
pendant toutes ces années et personne ne les a même jamais vérifiées,
même le
congrès lorsqu’il l’a engagé. Pensez-vous vraiment que cela soit
accidentel ? PAR CONTRE, J’AI UN DIPLOME DE PHOTOGRAPHIE.
Bob Grodin est ce même
Bob Grodin qui a été
engagé par le comité sur les assassinats
de House Select en 1976. C’est le même Bob Grodin qui a menti de
manière
flagrante au comité et lui a dit que le conducteur, William Greer, n’a
jamais
enlevé ses mains du volant. Son métier est d’écrire des livres et de
vous
plonger dans la confusion. Son métier est de maintenir la position
selon
laquelle le gouvernement a menti et qu’il y avait une conspiration. Son
métier
est aussi de vous empêcher de connaître la vérité à propos de CELUI QUI
a tué
le président. Vous ne pouvez pas accepter le Nouvel Ordre Mondial si
vous avez
foi en votre gouvernement, et vous AUREZ confiance en votre
gouvernement si
vous apprenez que Greer a tué Kennedy sur les ordres des Illuminati et
que cela
n’a rien à voir avec le gouvernement constitutionnel légal. Saviez-vous
que
l’homme qui était responsable du service secret à l’époque de
l’assassinat est
devenu l’homme responsable de la sécurité de la famille Rockefeller
jusqu’à sa
retraite ? Eh bien, maintenant vous le savez. Vous devriez aussi
savoir
que Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins, et c’est le nom de Bob
Grodin que
Watkins utilise comme pseudonyme de l’Astronaute cité dans Solution
3.
Saviez-vous que lorsque Ricky White a fait son apparition dans les
débats
radiophoniques à travers le pays pour dire que son père avait tué
Kennedy, Bob
Grodin l’accompagnait. Saviez-vous qu’à chaque fois qu’un auditeur
appelait
Ricky White pour lui poser une question, c’est Grodin qui répondait à
sa
place ? Pensez-vous vraiment que cela soit une coïncidence ?
Le père
de Ricky White n’a pas tué Kennedy.
Pendant des années, j’ai
parlé aux gens et
lors des audiences des divergences entre les rapports des docteurs de
Dallas et
du rapport d’autopsie fait à l’hôpital de la Marine de Bethesda. J’ai
montré
que les blessures avaient été falsifiées et modifiées. J’ai dit au
monde entier
que le corps avait été enlevé de son cercueil à bord de l’avion et
avait été
enlevé hors du placard et dans un hélicoptère de la marine, et qu’il
était
arrivé à l’hôpital de la marine de Bethesda une bonne trentaine de
minutes
avant le cercueil officiel vide. J’ai constaté que le cerveau du
président
avait disparu et j’ai expliqué pourquoi il avait disparu.
Très soudainement, David
Lifton fit son
apparition à la radio et à la télévision en 1990, en disant au monde
qu’il
avait de NOUVELLES preuves qu’il avait découverte lui-même. Sa nouvelle
preuve
était exactement dans les moindres détails, ce que j’avais dit aux gens
pendant
des années. C’était la même information que celle que j’avais donné à
Bob Swan
en 1972. Lifton était venu à ma conférence au collège de Beverly Hills.
Après
avoir fait un scandale au bureau d’accueil parce qu’il fallait payer
l’entrée,
Lifton a abordé quiconque s’aventurerait dans le couloir, et avec Lars
Hansson,
a essayé de convaincre les gens qu’ils n’avaient pas vu Greer tirer sur
Kennedy. Des personnes légitimes n’auraient jamais agit d’une manière
aussi
disgracieuse et discréditante. Mon témoignage et l’outrage du public
après
avoir vu le meurtre du président Kennedy de ses propres yeux, a
sérieusement
endommagé la couverture. Le comportement de Grodin, Lifton, et aussi
Hansson en
révèle le degré de détérioration. Le public peut maintenant voir sans
l’ombre
d’un doute que soit ils font partie de la
couverture
ou bien qu’ils sont des chercheurs totalement incompétents, et dans le
cas de
Grodin, un menteur éhonté qui pouvait avoir trahi.
Au milieu de tout ceci,
le TV magazine
“ Hard copy ” m’a appelé et voulait voir le film. Je leur ai
montré
le film et ils ont été choqués et passionnés et en voulaient
l’exclusivité. Je
le leur ai donné mais je leur ai dit que je doutais fort que cela
soit jamais mis à l’antenne. Une date fut convenue
pour la diffusion à l’écran, mais juste avant que nous ne passions le
film, un
attaché exécutif de NBC a appelé les studios de “ Hard copy ”
de Los
Angeles et leur a dit de ne pas diffuser le film. J’ai essayé de
trouver le nom
de cet attaché, mais je n’y suis pas arrivé. C’était la fin de
l’affaire. Le
producteur qui avait essayé de porter mon histoire à l’écran et le film
sur
Kennedy ne travaille plus chez “ Hard copy ”. Son nom est
Bubs
Hopper.
Un autre producteur
(dont je ne me souviens
plus le nom) de “ inside Edition ”, un autre TV magazine, m’a
contacté, me disant que les américains avaient besoin de voir le film.
J’ai
accepté d’aller au show mais je lui ai répété la même chose, à savoir
que je ne
pensais pas que cela soit jamais porté à l’écran. Une semaine plus
tard,
j’écoutais David Lifton à un show parlé radiodiffusé. Quelqu’un l’a
appelé et
lui a demandé si il savait qui j’étais et David Lifton a répondu :
“ Je sais qui il est et nous avons une surprise pour Mr Cooper.
Nous
allons le démasquer pour de bon dans un show d’une télévision
nationale. Nous
allons régler tous nos comptes avec cette personne ”.
J’ai fait appeler le
producteur par quelqu’un
pour annuler parce qu’il m’avait menti. Il a dit qu’il parlait en mon
nom. J’ai
demandé à travers cet intermédiaire à n’apparaître que si je pouvais
avoir un
contrôle éditorial, pour m’assurer qu’il ne ferait pas un montage de
morceaux
pour ridiculiser le film. Il a refusé, et j’ai alors su que son
intention avait
été dès le début de me discréditer. Quand le morceau a été diffusé,
Lars
Hansson a été convié comme remplaçant, à ma place. Hansson, l’homme qui
m’avait
attaqué, et affirmant que Greer n’avait pas tiré sur Kennedy ! La
raison
en devenait évidente, puisqu’ils ont diffusé Bob Grodin à la séquence
suivante.
Grodin a ridiculisé et déboulonné Hansson et le film. Ils avaient eu
l’intention de me hacher menu, mais lorsque j’ai annulé, ils ne
pouvaient plus
attaquer le film qu’avec Hansson à ma place. Cela avait tout à fait
l’apparence
d’une opération de service de renseignement. Cela n’a pas marché.
J’ai découvert l’étape
suivante lorsque
Grodin a dit à la radio, qu’il allait bientôt (enfin) diffuser une
vidéo de sa
soi-disante excellente copie du film Zapruder surexposé pour
mettre les
détails en lumière. La surexposition mettrait complètement en évidence
le bras
et l’arme de Greer, qui seraient tous deux en plein soleil, ce qui
aurait pour
effet de les rendre tous deux invisibles. J’espère que les gens ne sont
pas
aussi stupides que Grodin pense qu’ils le sont .
Je discuterai avec quiconque et n’importe quand tant que c’est en face
d’une
audience directe et que rien n’est passé au montage. J’ai vu ce qu’un
monteur
de film peut faire pour faire paraître quelqu’un, dire et faire ce
qu’il n’a
jamais dit ni fait.
Au début de
l'ère spatiale et à l'époque des expéditions lunaires, les satellites
habités
étaient toujours escortés d'un astronef extranéen. Le 20 Novembre 1990,
la
chaîne de télévision n°2, a annoncé qu’un objet de forme ronde, de
couleur
rouge rayonnante et séparé de la navette spatiale Atlantis accompagnait
cette
dernière le long de sa dernière mission classifiée militaire. C’était le première reconnaissance publique de la chose.
Les
cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même filmé la base lunaire
surnommée
LUNA. Leurs photographies officielles par la NASA nous révèlent des
structures
en forme de dômes, de spirales, de larges structures circulaires qui
ressemblent à des silos, de même que d'immenses véhicules miniers en
forme de T
qui traçaient sur la surface de la Lune des marques semblables aux
cicatrices
que des points de suture laissent sur la peau. On y voit aussi divers
types
d'astronefs, les uns absolument gigantesques, d'autres beaucoup plus
petits. Il
s'agit de cette base américano-soviéto-aliénigène dont nous avons
parlé. Le
programme spatial n'est donc qu'une blague excessivement coûteuse, et
la
solution 3 n'est pas de la science-fiction.
Les
astronautes des missions Apollo l'ont appris à leur corps défendant. Le
choc
qu'ils en ont éprouvé n'a pas été sans affecter leur vie, comme en
témoigne
leur comportement par la suite, sans compter qu'ils ont dû se soumettre
à la
dure réalité de la conspiration du silence quand on leur ordonna de
taire ce
qu'ils avaient vu, sans quoi ils s'exposaient à “la procédure
expéditive”. Un
des astronautes osa tout de même collaborer avec les producteurs
britanniques
de chez TV expos de l'émission “Solution 3” en corroborant plusieurs de
leurs
allégations lors d’un documentaire non fictif diffusé dans un programme
intitulé
“ Rapport scientifique ”.
Les auteurs
du livre intitulé Solution 003
parlent de cet astronaute en ayant soin de lui donner un pseudonyme,
celui de
“Bob Grodin” (le véritable Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins et
fait
partie de la couverture de l’assassinat de Kennedy). Ils relatent aussi
que cet
astronaute se serait suicidé en 1978. Or, je n'ai trouvé aucune source
pour
confirmer cette information. Je suis porté à croire que certains faits
de ce
livre sont de la véritable désinformation ,
suite à
des pressions exercées sur les auteurs en vue d'empêcher l'impact
qu'aurait pu
susciter dans la population l'émission britannique. Les quartiers
généraux de
la conspiration internationale, sont à Genève, en Suisse. Le corps
dirigeant
est constitué de 3 comités constitués de 13 membres chacun, et les 3
comités
ensembles réunissent donc un total de 39 membres du comité exécutif du
corps
connu sous le nom de groupe Bilderberg. Le plus important et puissant
des 3
comités est le comité des politiques. (Il est des plus intéressants de
remarquer que les Etats-Unis avaient originellement 13 colonies et que
39
délégués de ces colonies ont signé la constitution après qu’elle ait
été écrite
et adoptée lors de la première convention constitutionnelle.
Pensez-vous que cela
soit un hasard ?). Les rencontres du comité des politiques ont
lieu dans
un sous-marin nucléaire sous la calotte glaciaire polaire. Un
sous-marin
soviétique et un sous-marin américain se rejoignent par un sas et la
rencontre
se déroule. Le secret est tel que c’était le seul moyen qui pourrait
permettre
à ces rencontres de ne pas être clandestinement surveillées.
Quoi qu'il
en soit, à ma connaissance et selon mes sources, le contenu de ce livre
est
fondé à 70%. Je pense que cette désinformation était un essai pour
discréditer
la télévision britannique TV expos avec de l’information qui pourrait
être
prouvée comme étant fausse, tout comme on l'avait fait aux Etats-Unis
quand
Eisenhower avait émis tout un “document de directives” pour mousser le
plan d'urgence
MAJESTIC-12, alors que celui-ci n'était en définitive qu'un simulacre
pour
couvrir le vrai MJ-12, et que là aussi la chose pouvait être prouvée
comme
étant fausse.
Depuis que
nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes gènes, nous avons
acquis
une technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous
possédons
et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravité
alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages
interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et
d’autres
planètes. On nous ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des
planètes
Mars et Venus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons
aujourd’hui, à ce moment même.
Il existe
des régions sur la Lune où se développe une vie végétale. Les plantes y
changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur
la Lune
puisque la Lune ne nous présente pas toujours exactement la même face,
comme on
le pense généralement [NDT: c’est le mouvement de précession de la
Lune, qui la
fait légèrement osciller sur elle-même, nous découvrant un peu plus des
bords
de sa face visible]. Il y a aussi des lacs artificiels ainsi que des
étangs sur
sa surface, et des nuages ont été observés et filmés dans son
atmosphère. La
pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la
Terre, les
cosmonautes doivent s'y adapter selon une technique de dépressurisation
analogue à celle des plongeurs de profondeur. Cette pression est
néanmoins
suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une
combinaison
spatiale. Grâce au champ gravitationnel de la Lune, ils peuvent se
maintenir à
sa surface, munis simplement d'une bouteille d'oxygène comme des
hommes-grenouilles.
J'ai
personnellement des photographies officielles de la NASA à ce sujet.
Quelque
unes sont publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We
discovered
Alien Bases on the Moon et dans Someone
Else is on the Moon. En 1969, un
confrontation eu
lieu entre les soviétiques et les américains sur la base lunaire. Les
soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris
les
scientifiques américains et le personnel en otage. Nous avons pu
restaurer
l’ordre après pas moins de 66 morts. Les soviétiques ont suspendu leur
programme
pendant une période de 2 ans. Il y eu finalement réconciliation et nous
avons
recommencé à agir ensemble.
Aujourd’hui l’alliance
continue. Le scénario
de confrontation dans la base souterraine de la mésa Archuleta est une
pure
désinformation élaborée pour rendre la situation encore plus confuse.
Je savais
qu’une confrontation avait eu lieu mais je ne m’en rappelais plus les
détails.
John Lear avait fini par me convaincre que les aliénigènes et les
forces delta
s’étaient battus à la base d’Archuleta. (Le Nouvel Ordre Mondial doit
avoir un
ennemi provenant d’outre-espace). Plus tard, j’ai pratiqué la
régression
hypnotique pour améliorer ma mémoire et les véritables faits ont
émergé. A ma
connaissance, la seule hostilité qu’il y ait eu entre aliénigènes et
humain a
été provoqué par les militaires américains lorsqu’ils ont ordonné que
l’on tire
sur les O.V.N.I pour capturer leur technologie.
John Lear
dit aussi que nous avons inventé le SIDA pour tuer les aliénigènes
“ suceurs de sang ” et que nous ne sommes que des containers
pour
âme. Ceci est foutaise ! C’est clairement une prise de position
pour la
théorie selon laquelle “ les aliénigènes n’existent pas ”.
Quand le
scandale du Watergate éclata, le président Nixon demeura confiant de
s'en tirer
sans accusation, car il ne s'estimait coupable d'aucune malversation.
Or, tel
n'était pas le cas de Majesty douze. Dans les milieux du renseignement,
on
conjectura avec raison que, s'il devait y avoir procès, les enquêteurs
commenceraient par fouiller dans leurs dossiers compromettants et
finiraient
par en étaler les terribles secrets sur la place publique. Ils
ordonnèrent donc
à Nixon de résigner son mandat. Son refus donna lieu au premier coup
d'Etat à
jamais avoir été mené par des militaires américains contre leur propre
président. L'état major de la Défense nationale émit un message
ultra-secret à
tous les officiers supérieurs des Forces armées américaines dans le
monde
entier, disant ceci: “Dès réception du présent message, vous ne devrez
plus
exécuter aucun ordre émanant de la Maison blanche. Veuillez accuser
réception.”. Ce message a été transmis 5 bons jours avant que Nixon ne
cède et
n’annonce publiquement sa résignation.
J'ai
moi-même tenu en main ce message et, quand j'ai demandé à mon
commandant ce
qu'il comptait faire, sachant très bien que cet ordre violait la
Constitution,
il m'a répondu laconiquement: “ Je pense bien que le mieux à faire
est
d'attendre de voir si la Maison blanche émettra des ordres, auquel cas
j'aviserai”. Je n'ai vu aucun communiqué de la Maison blanche, mais
cela ne
signifie pas pour autant qu'elle n'en ait pas envoyé. J’en ai eu
confirmation
par 3 autres sources, toutes ex-militaires, qui ont écrit ou appelé
pour
déclarer qu’ils avaient vu exactement le même ordre. Ces gens sont
Randall Terpstra,
ex de la Marine, David Race, ex de l’armée de l’air ; et Donald
Campbell,
ex de la Marine. La transcription d’une conversation téléphonique entre
l’auteur et Mr Terpstra est présentée à la fin de ce livret et les
déclarations
signées des autres aussi.
On dirait
que, durant toutes les années où ces événements ont eu lieu, le Congrès
et la
nation américaine savaient d'instinct que quelque chose ne tournait pas
rond
dans les affaires de l'Etat. Aussi, quand le scandale du Watergate a
fait
irruption, tout le monde a emboîté le pas au mouvement de nettoyage qui
semblait s'annoncer à l'égard des agences de renseignement. Le
président Ford
commanda une commission à Rockefeller pour faire enquête sur les
activités des
agences de renseignements. Voilà, du moins, ce à quoi les gens s'attendaient . Son but véritable était de barrer
la route
au congrès et de garder les activités bien cachées.
Le président de cette commission était ce
même Nelson Rockefeller, membre du Conseil des relations étrangères,
qui avait
aidé Eisenhower à répartir les pouvoirs de Majesty douze. Il divulgua
juste
assez d'éléments pour garder la meute aux abois. Il lança quelques os
aux
membres du Congrès en prenant soin d'éliminer les plus gênants parmi
ces
derniers, et les conjurés en sortirent intacts comme ils l'avaient
toujours
fait.
Plus tard,
ce fut au tour du sénateur Church de diriger les célèbres audiences qui
portent
son nom. Lui aussi membre éminent du Conseil des relations étrangères,
il ne
fit que poursuivre la tactique de Rockefeller au profit de la
conspiration.
Quand l’affaire des contrebandiers de l’Iran a émergé, on crut bien,
cette
fois, que le chat sortirait du sac. Hélas! on
nous fit
encore mordre la poussière. En dépit des montagnes de documents qui
dénonçaient
le trafic des stupéfiants et autres horreurs du même genre, les
conspirateurs
réussirent à se faufiler allègrement. Comme mentionné auparavant, un
des faits
les plus sérieux qui ont été découverts, est que le Nord préparait un
plan pour
suspendre la constitution des U.S.A. . Quand
le
sénateur au congrès Jack Brooks du Texas a essayé de sonder la
situation, il a
été ordonné au silence par le président du Comité. Se pourrait-il que
le
congrès connaisse toute la situation et ne veuille rien faire ?
Sont-ils
de ceux qui sont sélectionnés pour aller dans la colonie sur Mars quand
la
Terre commencera sa destruction, SI la Terre est en train de se
détruire ?
La CIA, la
NSA et le Conseil des relations étrangères contrôlent des monopoles
financiers
qui dépassent tout ce qu'on peut imaginer. Ils ont érigé leur empire à
même les
cartels de la drogue et leurs entreprises de spéculation. Ils ont
accumulé une
fortune démesurée à partir de leurs activités illicites, et ils
profitent
maintenant, sous la protection même de la loi, de leurs placements dans
d'immenses réseaux de sociétés de gestion et d'institutions bancaires.
Je ne
les connais évidemment pas toutes, mais j'aimerais attirer votre
attention sur
l’entreprise bancaire J. Henry Schroder, la compagnie Schroder Trust,
la Schroders
Ltd. (à Londres), la société de gestion Helbert Wagg Ltd., la J. Henry
Schroder
Wagg & Co. Ltd., la Schroder Gerbruder et compagnie (en Allemagne),
la
Schroder Munchmeyer Gengst et compagnie, la banque Castle et ses
compagnies de
gestion, la banque de développement Asiatique, et les pieuvres de
compagnies de
gestion et de compagnies bancaires de Nugan Hand.
Un plan
d'urgence a été élaboré par Majesty douze à seule fin d'induire en
erreur tous
ceux qui tentaient de cerner la vérité. C'est ce plan qui porte le nom
de
MAJESTIC TWELVE. Sa première opération consista à mandater Moore,
Shandera et
Friedman de divulguer le soi-disant authentique “document de
directives”
d'Eisenhower! Mais ce document n'est qu'une fraude, et les grossières
bavures
dont il est rempli ne font que nous le confirmer. Par exemple, le
décret
présidentiel auquel il fait allusion porterait le numéro 092447. Or, ce
numéro
n'est pas près de figurer sur la véritable liste puisque tous les
décrets de
l’administration sont numérotés à la suite, sans égard aux divers
présidents
qui les promulguent. Ainsi, les décrets signés par Truman figurent,
pour la
plupart, dans la série 9000, par Eisenhower dans la 10 000, par Ford
dans la 11
000 et, quant à Reagan, il n'a guère dépassé le numéro 12 000. Depuis
des
années, ce plan a vraiment réussi à leurrer les chercheurs en les
orientant sur
de fausses pistes et à leur faire dépenser temps et argent à prendre
des
vessies pour des lanternes.
Le Fond de
recherche en ovniologie basé à Washington D.C. et dirigé par Bruce
Maccabee a
commis ce que je crois être une fraude criminelle en relation avec le
document
de directives d’Eisenhower, Stanton Friedman, et l’équipe de recherche
de Moore
Shandera et Friedman. Maccabee a sollicité des finances de la part du
public,
en promettant de les utiliser pour enquêter sur les déclarations de
Moore,
Shandera et Friedman et prouver que le “ document de
directive ”
d’Eisenhower est vrai ou faux. Au lieu de cela, il a donné les 16000$
récoltés
en entier à Stanton Friedman et lui a confié à LUI la tache de
confirmer ou
d’infirmer ses propres dires. Quel travail difficile ! La
communauté
ovniologique a senti l’arnaque et attendu les découvertes de Stanton
Friedman
avec empressement. Bien sûr, Friedman a trouvé que ces documents
étaient
authentiques. C’est juste ce que les gens pensaient qu’il trouverait,
non ? Il lui a été donné 16000$ pour enquêter lui-même. C’est en
dehors de
toute éthique. C’est là un clair conflit d’intérêt. Je pense
sincèrement que
cela a été une fraude criminelle, parce que de l’argent a été mis en
jeu. Ceux
qui ont donné leur argent en toute bonne foi devraient immédiatement
engager
des poursuites contre Stanton Friedman, Bruce Maccabee, et le
financement pour
la recherche O.V.N.I. . Cette farce a eu
pour résultat
le gaspillage total de 16000$. Plusieurs centaines d’heures ont été
gaspillées
à poursuivre un fantôme. Croyez-moi, si vous doutez de la capacité qu’a
le
gouvernement à vous illusionner, vous feriez mieux d’y repenser.
Un autre
plan d'urgence est actuellement en cours, et c'est vous qui en êtes la
cible.
On vous prépare, en effet, à une éventuelle confrontation avec les
aliénigènes.
Cela pourrait aussi avoir pour but de vous faire croire en l’existence
d’une
race extranéenne qui n’existe pas. On vous bombarde de livres, de
films,
d'émissions qui vous dépeignent à peu près tous les aspects de leur
nature,
bons ou mauvais, et la véritable raison pour laquelle ils sont ici.
Observez
bien et vous allez remarquer de quelle manière votre gouvernement vous
y
prépare peu à peu, de façon à éviter que vous ne soyez pris de panique
lorsque
les aliénigènes se manifesteront enfin au grand jour. Le nombre sans
précédent
d’observations d’O.V.N.I. à travers le monde indique que cette
révélation
publique n’est pas trop loin. Jamais dans l’histoire il n’y a eu autant
d’incidents impliquant les O.V.N.I. et jamais dans l’histoire il n’y a
eu
autant de reconnaissance publique de la chose. La population fait aussi
l'objet
de nombreuses autres manigances, beaucoup plus scandaleuses, dont celle
qui
consiste, depuis des années, à importer des stupéfiants pour les lui
revendre
au prix fort, et ce, surtout aux citoyens qui n'en ont pas les moyens.
Les
programmes d'aide sociale ont été mis en place pour que, dans un
premier temps,
le désoeuvrement crée chez une certaine catégorie d'individus une
totale
dépendance vis-à-vis de l'Etat. Puis, dans un second temps, les
allocations
leur sont peu à peu retirées de façon à donner naissance à une classe
criminelle, qui n'existait pas comme telle dans les années 50 et au
début des
années 60.
Ce plan
d'urgence encourage la fabrication et l'importation d'armes
automatiques pour
que cette classe soit portée à s'en servir, et tout cela dans le but de
provoquer un sentiment d'insécurité tel que les américains appuient
volontiers
les projets de loi qui s'opposent au port d'arme à feu. Des
spécialistes de la
CIA ont recours à un procédé qu'ils appellent ORION selon lequel ils
administrent des stupéfiants à un sujet affecté de troubles mentaux,
puis lui
suggèrent, sous hypnose, l'obsession de tirer des coups de feu, par
exemple
dans une cour d'école bondée d'étudiants. Ce plan contribue à faire
avancer la
cause des adversaires du port d'arme, laquelle, au demeurant,
enregistre
actuellement certains progrès. Ce plan est en très bon chemin et jusque
là a
parfaitement fonctionné. La classe moyenne demande au gouvernement
l’abolition
du 2nd amendement [NDT: c’est, aux U.S.A.
,
le droit qu’a chaque citoyen de posséder une arme].
Remarque de
l’auteur : j’ai trouvé que ces événements avaient effectivement eu
lieu
dans tout le pays. Dans chaque cas pour lequel j’ai enquêté -
l’incident à
l’école pour femme du Canada, l’incident du centre commercial au
Canada, le
Stockto, en Californie, où eu lieu un massacre, et le meurtre du Rabbi
Meir
Kahane - les tueurs étaient tous d’ex-patients mentalement dérangés ou
étaient
actuellement des patients mentalement dérangés qui étaient TOUS SOUS
TRAITEMENT
DU MEDICAMENT PROZAC ! Ce médicament, lorsqu’il est pris à
certaines
doses, accroît le taux de sérotonine du patient, engendrant une
violence
extrême. Couplez avec cela une suggestion posthypnotique ou un contrôle
à
travers un implant électronique dans le cerveau ou des micro-ondes ou
une
intrusion E.L.F. et vous obtenez un meurtre de masse, se terminant à
chaque
fois par le suicide du tireur fou. Exhumez les corps des meurtriers et
vérifiez
si ils n’ont pas d’implants dans le cerveau.
Je pense
que vous allez être surpris. A chaque fois, il a nous été refusé de
connaître
le nom du médecin du meurtrier ou de son
centre de traitement psychiatrique. Je crois que nous serons
capable
d’établir des connections avec des ensembles de service de
renseignements et/ou
des connections avec des expériences connues de programmes
d’expérimentation de
contrôle de l’esprit de la CIA , lorsque
nous
découvrirons à la fin qui sont vraiment
ces docteurs de la mort.
Ces gens
vont prétexter de la vague de criminalité qui déferle sur le continent
pour
convaincre la population que l'anarchie règne dans les grandes villes.
Ils nous
harcèlent à ce sujet presque quotidiennement, le jour dans les journaux
et le
soir à la télévision. Lorsque l'opinion publique sera complètement
gagnée à
cette idée, ils vont annoncer qu'un groupe terroriste, armé d'un
dispositif
nucléaire, s'est infiltré au pays avec l'intention de faire sauter
l'une de ces
villes (ceci est en train de se mettre en place avec la crise du
Moyent-Orient). Le gouvernement, envers et contre la Constitution, en
profitera
alors pour imposer la loi martiale et s'emparer de tous les dissidents,
autrement dit les gêneurs, ainsi que de tous les individus à qui les
aliénigènes ont déjà greffé un implant. Ces personnes seront ensuite
internées
dans des camps de concentration qui existent déjà, lesquels occupent
des
terrains d'environ trois kilomètres carrés. Qui sait si ces opprimés ne
constituent pas le corps des réservistes [NDT: marchandise] que les
agresseurs
destinent à l'esclavage dans leurs colonies spatiales?
Après avoir
saisi les médias d'information et les banques de données informatiques,
les
gouvernants les nationaliseront, et toute personne qui tentera de leur
résister
sera séquestrée ou abattue. Le gouvernement et l'armée ont déjà
procédé, en
1984, à des manoeuvres de répétition enregistrées sous le nom de code
REX-84,
et celles-ci ont parfaitement fonctionné. La prochaine fois, ce ne sera
pas un
exercice, et le gouvernement secret, avec ou sans les aliénigènes,
prendra le
pouvoir absolu. Dès lors, soyez prêts à renoncer à vos droits et
libertés et
préparez-vous à vivre dans la servitude pendant le reste de vos jours.
Si ce
n'est pas ce que vous souhaitez, il est grandement temps de vous
réveiller et
de réagir.
Entre 1970
et 1973, il m'a été donné de voir des documents confirmant que Phil
Klass est
un agent de la CIA. En tant qu'expert en aéronautique, il avait pour
fonction,
entre autres, de déboulonner tout ce qui se rapportait au phénomène
ovni. Il
agissait à titre de personne-ressource auprès des chefs militaires, qui
avaient
reçu la directive de recourir à Klass pour apprendre à utiliser ses
techniques
de dénigrement dans les cas où la presse et le public les
interrogeraient sur
le bien-fondé des phénomènes rapportés par des contactés ou des témoins
oculaires. Plusieurs personnes semblent aimer Klass. Elles
l’encouragent et
font grandement attention à ce qu’il fait. Il est invité pour parler
événements
ovniologiques et est cité dans les journaux, les livres et les revues
comme
étant l’expert de “ ce qui s’est réellement passé ”.
Philip Klass
n’agit pas au mieux de nos intérêts. Ses dénigrements et explications
des
observations d’O.V.N.I. sont si parsemés de trous qu’un enfant de 6 ans
serait
capable de discerner son véritable but. J’ai vu des personnes
énormément
induites en erreur, rechercher un autographe de Klass, acte semblable
en
magnificence à celui qu’Elliot Ness ferait en demandant son autographe
à Al
Capone. J’ai découvert que dans plusieurs circonstances les gouvernants
secrets
avaient parfaitement raison lorsqu’ils disaient que “ des gens qui
n’utiliseraient pas leur intelligence ne seraient pas meilleurs que des
animaux
qui n’ont pas d’intelligence. De telles personnes sont des bêtes de
somme ou
des beefsteack par choix et par consentement ” (citation de
“ armes
silencieuses pour des guerres sans bruit ”). Nous obtenons, dans
certaines
circonstances, exactement ce que nous méritons.
William
Moore, Jaimie Shandera et Stanton Friedman, (sciemment, en toute
connaissance
de cause et avec consentement), oeuvrent tous trois pour le compte du
gouvernement secret. William Moore a été vu utilisant une carte
d’identité du
service d’investigation pour la défense et de sa propre confession à
Lee
Graham, il a confirmé être un agent du gouvernement (Lee Graham m’a
téléphoné
chez moi, et quand je le lui ai demandé, m’a confirmé que Moore lui
avait
vraiment montré une carte d’identité du Service d’investigation pour la
défense). Une confession ultérieure de Moore le prouve à nouveau sans
aucun
doute.
Remarque de
l’auteur : Le 1er Juillet 1989, la nuit précédent celle
où j’ai
présenté ce document au symposium du M.U.F.O.N. à Las Vegas, William
Moore a
admis qu’il était un agent du gouvernement, qu’il avait livré de la
désinformation aux chercheurs, qu’il avait falsifié des documents,
qu’il avait
espionné les chercheurs et rapporté les informations recueillies sur
ces
chercheurs à la communauté des agences de renseignement, qu’il avait
pris part
à une opération de contre-espionnage contre Paul Bennewicz qui s’était
conclue
par l’internement de ce dernier dans un institut psychiatrique, et
qu’il avait
fait tout ceci en pleine connaissance de cause. Il est soit un traître,
soit un
des plus grands manipulateurs au cœur de pierre.
Quelques uns des auto-
proclamés
“ ovniologues ” estiment encore Moore et citent encore ses
recherches
dans leurs correspondances, leurs revues, et leurs livres. Ceci reflète
un
certain degré d’ignorance et de stupidité dans la communauté O.V.N.I. . Bruce Maccabee a écrit une lettre au Caveat
Emptor,
citant des articles de la publication de William Moore, Focus,
comme
preuve que je suis discrédité. Tout cela n’est que rêve. Il n’y a aucun
mystère
pour moi à la raison pour laquelle l’Amérique traditionnelle appelle
les
ovniologues des imbéciles et des foldingues : c’est que dans
certains cas
ils le sont.
Jaimie Shandera est
l’homme responsable de la
perte de mon emploi de Directeur exécutif
du Collège Technique National. Peu après que mon poste ait été
publiquement connu, Shandera est arrivé au Collège, portant un complet
marron
et un porte-documents. Il a ignoré la tentative de la réceptionniste
pour
l’aider. Elle m’a informée qu’un homme avait traversé le collège et
semblait
inspecter le bâtiment et les salles de classe. J’ai trouvé Mr Shandera
scrutant
de son regard la classe en pleine activité. Je lui ai demandé si je
pouvais
l’aider en quoi que ce soit. Il m’a dit non et m’a ignoré. Je lui ai
expliqué
que j’étais le directeur exécutif et lui ai demandé à nouveau si je
pouvais
l’aider en quoi que ce soit. Il m’a à nouveau répondu non, mais m’a
jeté des
regards noirs et semblait sur ses gardes. Il semblait être extrêmement
nerveux
et a immédiatement quitté le bâtiment. Je l’ai suivi jusqu'à la porte à
l’extérieur, et un homme traversant la rue a pris une photo de moi avec
un
appareil de 35 mm. Je regardais Jaimie Shandera marcher vers sa
voiture, et il
m’a jeté un dernier regard puis est reparti en voiture. Quelques jours
après,
il a répété son manège, mais cette fois il m’a dit qu’il avait vu une
petite
annonce qui disait que le collège était à vendre et qu’il était venu
visiter la
propriété. Je l’ai revu encore, sortant des bureaux du service
administratif.
Quand il me vit, il devint à nouveau extrêmement nerveux et s’est
précipité
dans sa voiture, a enlevé sa veste avant d’entrer dedans et s’est en
allé.
Quelques minutes plus tard, j’ai été appelé au bureau du président et
là, on
m’a dit que le collège ne pouvait employer quelqu’un qui compromettrait
son
statut d’assisté par le gouvernement en étant impliqué dans des
affaires de
soucoupes volantes. Je savais ce qui allait arriver et j’ai présenté ma
démission le 15 avril 1989. Je n’avais pas l’intention d’arrêter mes
activités
et je ne voulais pas handicaper le collège ou les étudiants qui
dépendaient
autant des programmes d’aide gouvernementaux. Pendant tout ce temps là,
Shandera a cru qu’il avait réussi son opération de manière anonyme,
mais moi et
plusieurs autres avons toujours su que c’était lui. Maintenant, vous le
savez
aussi.
Jaimie Shandera a été
formellement identifié
par moi, le haut du Département de sécurité, et la réceptionniste. Plus
tard,
j’en ai obtenu une autre identification formelle par le Vice Président
en
charge des admissions. John Lear était à cette époque la seule personne
qui
connaissait le nom et l’adresse du lieu de mon emploi. J’ai plus tard
découvert
par analyse comparative des proportions du corps et par analyse vocale
graphique que John Lear est l’agent appelé “ Condor ” de la
production TV intitulée “ UFO Cover-up live ”, basée sur des
données
de la CIA . Comme Condor, il est en réalité
un agent
du gouvernement qui a travaillé avec Moore, Shandera, Friedman, John
Grace, Bob
Lazar, et d’autres encore. Ils sont tous de la CIA
.
Quant à
Stanton Friedman, il a raconté à plusieurs ainsi qu'à moi-même avoir
participé,
il y a un certain nombre d'années, “au développement d'un réacteur
nucléaire
pas plus gros qu'un ballon de basket-ball, destiné à propulser un avion
et
fonctionnant à l'hydrogène, donc non polluant...et qui roulait comme un
charme!
” ( Ce sont ses propres paroles). Plusieurs
autres
personnes m’ont écrit pour me dire qu’il leur avait été dit la même
chose par
Mr Friedman. Roger Scherrer est l’un de ceux à qui Stanton a raconté la
même
histoire. Cependant, le seul carburant qui puisse libérer de
l'hydrogène au
cours de la réaction dont il est question ici, c'est l'eau. Or, cette
façon
d'associer l'eau à la production d'énergie nucléaire correspond
exactement au
mode de propulsion d'au moins un type d'astronef aliénigène, selon la
documentation
que j’ai lue lorsque j’appartenais aux services de renseignements de la
Marine.
Stanton Friedman l'ignorait-il? Je n'en sais rien, mais c'est tout de
même
étrange que ce soit l'équipe qu'il formait avec Moore et Shandera qui
ait été
chargée d'exécuter le plan d'urgence de Majestic 12!
Dans les
documents que j'ai lus entre 1970 et 1973, il y avait une liste de noms
correspondant aux personnalités les mieux désignées pour le recrutement
puisqu'elles étaient capables de convaincre, en utilisant le
patriotisme comme
force de conviction aussi souvent que possible. Si nécessaire, une
assistante
financière serait fournie grâce à l’emploi d’une compagnie de
propriétaire de
couverture ou grâce à des bourses. C’est, par coïncidence, la méthode
par laquelle
Friedman a obtenu ses 16000$ d’un autre agent, Bruce Maccabee. Nous
avons aussi
découvert que Moore avait reçu de l’argent pour la recherche d’au moins
2
campagnies de couverture de la CIA Ceci a été confirmé par la recherche
de
Grant Cameron. D’autres noms étaient cités sur les listes en tant
qu’agents
clés actifs des services de renseignement. Lorsque j’ai pour la
première fois
présenté ce document, je n’ai donné qu’une liste partielle des
personnes citées
dans les documents des renseignements de la Marine. Les personnes
suivantes
sont celles dont je peux me souvenir les noms (il y en a beaucoup
d’autres,
mais celles là sont tout ce dont je me souviens pour l’instant).
Stanton Friedman, de la
CIA , John
Lear , de la CIA (le père de Lear a été cité comme ayant participé
à la
recherche sur l’antigravité) ; William Moore ; John
Keel ;
Charles Berlitz ; Bruce Maccabee, de l’O.N.I. (bureau des
renseignements
de la marine) ; Linda Moulton Howe ; Philip Klass, de la
CIA ; James
Mosely, de la CIA (le père de Mosely a été mis en question de manière
très
flatteuse) ; Virgil Armstrong de la CIA (listé comme
Posthethwaite) ;
Wendelle Stevens, de la CIA , le professeur J.Allen Hyneck, de la CIA.
C’est là la liste dont
je me souviens. Il
peut y en avoir d’autre, mais je ne m’en rappelle pas. Je connais
d’autres
agents qui eux n’étaient pas sur la liste. Vous devez vous souvenir que
lorsque
j’ai pour la première fois écrit ce document, j’avais pensé que Bruce
Maccabee
ne devait pas avoir été recruté, mais plus tard il m’a donné tort quand
il a
donné 16000$ à Stanton Friedman pour enquêter lui-même.
Il y avait un code en 2
mots que ces gens
utilisaient pour s’identifier entre eux. Le premier mot était un oiseau
et le
second mot était une couleur. Le code était “ aigle or ”.
Quand
Stanton Friedman m’a contacté la première fois, il a utilisé le code.
Je lui ai
dit ne pas comprendre mais il m’a demandé plusieurs fois si j’avais
déjà vu ou
entendu parler d’Aigle Or. John Lear m’a aussi demandé si j’avais déjà
entendu parler
d’Aigle Or. Il me testait lui aussi. Ils savaient que j’avais eu accès
à la
véritable information et ils essayaient de déterminer si j’étais un des
leurs.
Comme George Bush dirait, “ lisez sur mes lèvres ”. Je n’ai
jamais
été l’un des vôtres. Je ne serai jamais l’un des vôtres.
Quand j’ai parlé à Stan
Deyo en Australie par
téléphone, il m’a dit que le code qui lui était assigné était
“ Faucon
Bleu ”. Stan était une victime d’expérimentation sur le contrôle
de
l’esprit pendant qu’il était cadet à l’académie de l’armée de l’air.
Lui, et
plus de 80 autres cadets sujets au contrôle de l’esprit ont démissionné
de
l’académie en signe de protestation. Il est parti en croisade pour
découvrir la
vérité quelle qu’elle soit. Stan a écrit deux excellents livres, The
Cosmic
Conspiracy, et The Vindicator Scrolls. Je vous recommande
de les
lire tous les deux.
Je pense que Linda
Moulton Howe pourrait être
innocente de toute implication volontaire. Linda en particulier semble
avoir
pris d’extrême précautions dans ce qu’elle
a présenté
au public. Sa recherche est excellente. J’ai été impressionné quand
elle m’a
confié que le Sergent Richard Doty de la division du contre-espionnage
du
bureau de l’armée de l’air des investigations spéciales l’avait emmené
au
bureau de renseignement à la base aérienne de Kirtland au Nouveau
Mexique et
lui avait montré exactement les mêmes documents que ceux que j’ai vu lorsque j’étais dans la Marine. Elle a même vu
la même
information sur l’assassinat de Kennedy, nommant Greer comme étant son
assassin.
Mme Howe est aussi la seule personne étrangère au monde de la
communauté des
services de renseignement qui connaît la vérité telle que je l’ai
connue, au
regard de l’opération MAJORITE. Elle a fait preuve de bon sens et de
grande
retenue en ne révélant PAS les contenus de ces documents au public.
C’est pour
cette raison que je crois que quelqu’un a essayé de l’utiliser. Bien
heureusement, Linda est loin d’être naïve et elle n’a pas joué le jeu.
Je vous
recommande de lire son livre intitulé Alien Harvest. Vous
pouvez, je
pense, le commander dans n’importe quelle bonne librairie [NDT: aux
Etats-Unis
seulement, parce qu’en France...].
J’ai découvert que
Whitley Strieber est un
homme de la CIA , de même que Budd Hopkins.
Le livre
de Strieber, Majestic, l’en a rendu coupable pour ceux qui
savent ce qui
s’est vraiment passé. C’est la véritable histoire du crash de Roswell,
trouvé
dans les agendas mis sous séquestres de James Forrestal, en se basant
sur le
fait que les documents que j’ai vu à la Marine n’étaient pas des faux,
et je ne
pense pas qu’ils le soient. Les noms des gens et les noms des projets
et des
opérations ont été changés dans le livre de Strieber, mais tout le
reste de
l’information et de la documentation est vraie. Les rapports d’autopsie
sont
exactement les mêmes que ceux que j’ai vu dans le projet GRUDGE, il y a
de cela
18 ans. Je suis récemment entré en possession d’une déclaration par
écrit et
sous serment d’un MD de New York qui est signée, authentifiée, et
assermentée
sous la peine encourue quand on fait un faux témoignage, déclarant que
ce MD a
été recruté par un agent de la CIA nommé Budd Hopkins pour l’aider dans
son
travail avec les kidnappés, pour le compte de la CIA. Cette déclaration
écrite
figure dans l’appendice de ce document. Je savais que Hopkins avait
quelque
chose qui clochait quand je l’ai rencontré à Modesto. Il ne pouvait pas
me
regarder dans les yeux , et quiconque ne
peut pas me
regarder dans les yeux à quelque chose à se reprocher. Il a passé tout
le
temps, en y incluant son speech, à essayer de convaincre les gens de
l’innocence de l’expérience d’être kidnappé et de l’absence de
mauvaises
intentions des aliénigènes, ce qui est un tissu de bêtise. C’était là
une
insulte pour quiconque ayant enquêté sur les kidnappés.
Je sais que toutes les
organisations de
recherche sur les O.V.N.I. ont été la cible d’infiltration et de
contrôle par
le gouvernement secret, de la même manière que le N.I.C.A.P. a été
infiltré et
contrôlé. En fait, le N.I.C.A.P. , a fini
par se
détruire de l’intérieur. Je sais que ces efforts ont été fructueux.
M.U.F.O.N. en est un
merveilleux exemple. Des
centaines de membres tout autour du monde conduisent des enquêtes et
envoient
des preuves physiques aux quartiers généraux du M.U.F.O.N. ,
où les preuves disparaissent rapidement. Tout le monde clame les traces
physiques comme preuve. Récemment des échantillons de liquide ont été
prélevés,
échantillons qui avaient suinté d’une soucoupe dans une cour d’école
dans le
golfe Breeze , en Floride. Les
échantillons ont
été envoyés au M.U.F.O.N. ,où ils ont
immédiatement
disparus, ce qu’Andrus a déploré comme étant un accident.
BETISES ! Ce
n’est pas la première fois que le M.U.F.O.N. a “ perdu ” une
preuve.
Je considère que le M.U.F.O.N. est le grand trou noir de la communauté
O.V.N.I. . Le contrôle de l’information est
si serré que rien n’en
échappe. Quiconque dit ce qu’il en est vraiment, est déboulonné et tenu
à
l’écart des symposiums. On dit aux membres quoi croire et quoi ne pas
croire.
Les membres ne semblent pas savoir qu’ils sont sous contrôle. Les
membres du
bureau des directeurs du M.U.F.O.N. et les membres du bureau de conseil
des
consultants sont pour la plupart soutenus par le gouvernement sous la
forme de salaires , de dons, de
chèques de retraites. Qui peut
croire que cela ne constitue pas un conflit d’intérêt ? Qui peut
dévoiler
et enquêter sur les mains qui le nourrit ?
Comment pouvez-vous possiblement croire que le gouvernement ne pourrait
pas
contrôler les gens à qui il fournit de l’argent ? L’ARGENT EST LA
METHODE
FONDAMENTALE DE CONTROLE.
Les plus grandes
publications O.V.N.I. sont
sans aucun doute contrôlées et sont très probablement, comme dans le
cas de la
revue O.V.N.I., financièrement soutenues et contrôlées par la
CIA Vicki
Cooper (aucun rapport avec moi), l’éditeur et le propriétaire de O.V.N.I.,
a
raconté à ses amis et ses proches que pendant au moins deux ans, la CIA
a fait
pression sur son magazine. Ron Rogehn et Lee Graham, se souviennent de
l’été
1988 où Vicki les a interviewé à la
résidence de Mr
Graham, à Huntington Beach. Après que l’interview se soit terminée,
Vicki
Cooper s’est dirigée vers sa voiture, s’est retournée et a
mystérieusement
crié : “ vous savez, mon magasine pourrait être financé
par la
CIA ”.
J’ai parlé à des amis et
à des connaissances
de Mme Cooper qui m’ont juré qu’elle avait affirmé à plusieurs reprises
que
“ la CIA contrôle le magasine O.V.N.I. ”. L’oncle de
Vicki
Cooper, Grant Cooper, était l’avocat de Sirhan, qui n’a même pas essayé
de
défendre son client. Il était important pour le gouvernement secret et
la CIA
que Sirhan soit désigné comme étant “ le seul assassin ”.
Grant
Cooper a des liens considérables avec la CIA et le groupe de Johnny
Rosselli.
Nous avons découvert que
le fils de Vicki est
allé à l’académie Militaire du West Point. Quel superbe moyen de
contrôler un
magasine ! “ si vous ne jouez pas
le jeu,
vous n’aurez pas le diplôme ”. J’ai découvert que la personne qui
a trouvé
un appartement à Vicki Cooper lorsqu’elle est arrivée à Los Angeles est
Barry
Taff, un employé de longue date des services de renseignements (oui, au
pluriel) et protégé de longue date du professeur John Lilly et du
professeur
J.West, le premier expert du gouvernement dans la manipulation de
l’esprit. Ces
hommes ont été impliqué dans la plus terrible expérimentation jamais
mise en
œuvre pour le contrôle total des individus. Je pense que ce n’est pas
une
coïncidence innocente si l’appartement de Taff est directement au
dessus de
celui de Vicki. Tout cela m’a été confirmé de manière indépendante dans
une
lettre écrite par Mr Martin Cannon, un chercheur de Los Angeles. La
lettre peut
être trouvée dans l’appendice.
La preuve la plus
accablante du contrôle du
magasine O.V.N.I. et de Vicki Cooper vient de Don Ecker. A la
conférence du
M.U.F.O.N. de 1989, Don Ecker a fait preuve de si peu d’inhibition
qu’il a pu
relater l’histoire suivante à moi et à deux autres.
Selon Don Ecker, Vicki
Cooper travaillait
pour l’infâme Madame Mayflower. Les fédéraux essayaient d’attraper
Madame et
ont trouvé Vicki. Mme Cooper a été arrêtée et menacée de passer le
reste de sa
vie en prison si elle ne coopérait pas. Vicki s’est retournée selon
Ecker, et a
donné son employeur. Depuis que Vicki avait apparemment eu quelque
chose à voir
avec l’opération de comptabilité, elle est devenue un témoin clé. La
société
Madame Mayflower a été fermée et mise en prison grâce au témoignage de
Mme
Cooper. C’est selon Don Ecker, ce qui s’est passé, si
il
a dit la vérité. Nous n’avons aucune raison de croire qu’il mentait. Je
ne sais
pas pourquoi Don Ecker nous l’a dit. Peut-être qu’il n’aime pas Vicki,
ou peut
être que lui aussi comme Lear et Friedman, a cru que j’étais un des
leurs (ce
sera une journée très froide en enfer).
Selon Ecker, il a été
dit à Vicki Cooper de
quitter la ville et d’en rester dehors. Il lui a été donné de l’argent
et il
lui a été dit de créer le magasine O.V.N.I. à Los Angeles. Il lui a été
dit
qu’elle devait imprimer des informations qui lui seraient fournies.
Bien sûr,
vous lisez dans O.V.N.I. des informations sur les O.V.N.I. soi-disant
provenant
de fuites du gouvernement, toujours écrites par quelqu’un qui ne peut
pas être
contacté. C’est toujours écrit sous un pseudonyme et personne ne peut
vérifier
l’information. Vicki est intransigeante sur le choix des nouvelles et
des
informations à imprimer, en fonction de ce qu’elle considère être le
mieux pour
ses lecteurs, comme si ils n’avaient pas de cerveau pour y réfléchir
par
eux-mêmes. Elle s’adonne à la calomnie.
Don Ecker clame avoir
été un membre des
renseignements militaires, les Bérets Verts, et plus tard officier de
police à
Boise, dans l’Idaho. Don dit avoir eu un total de 10 ans d’expérience
en tant
qu’enquêteur à la criminelle. Le département de police de Boise a
dénié,
lorsqu’on le lui a demandé par téléphone, avoir eu connaissance de Mr
Ecker.
J’ai demandé à Don de fournir une copie de ses registres de service de
l’armée,
mais il a refusé. Ecker se donne lui-même le nom d’expert O.V.N.I. et
s’est
affublé lui-même (oui, vous l’aviez deviné) du titre
d’ “ovniologue ”. Il soupoudre ses articles de mots comme
“ ovniologique ”, et ne sait pas le moins du monde ce que
cela
signifie. Il confirme la plupart des informations que j’ai divulguées
quand il
parle à des groupes de personnes. Il a fourni des bases de données avec
une
quantité monstrueuse de fichiers qui confirment tout ce que j’ai pu
dire. Ecker
les a probablement fabriqués lui-même, puisqu’ils sont tous anonymes.
Il dit
que les aliénigènes mutilent les humains comme du bétail. Don Ecker, de
même
que Vicki Cooper, pratique la calomnie.
Selon des sources
légitimes de responsables
policiers, Ecker ment au public. Il a été gardien à la prison d’état de
l’Idaho
de Septembre 1981 à Septembre 1982, quand il a quitté ce poste pour
devenir un
stagiaire adjoint au département des narcotiques du Sheriff du comté de
Canyon.
Donald Francis Ecker II a été licencié après seulement six semaines
pour
“ mauvaise conduite ”. Mr Ecker est retourné à la prison
d’état de
l’Idaho où il a été employé comme gardien jusqu'à Juillet 1987, où il a
perdu
sa jambe gauche dans un accident de tir au fusil pendant un exercice
d’entraînement. Des sources révèlent aussi que Donald Francis Ecker II
est un
fugitif devant la justice. Les autorités de l’Idaho possèdent plusieurs
mandats
d’arrêts concernant Mr Ecker.
Vous devez comprendre
que le gouvernement ne
permettra à personne ou à aucun groupe de personnes de mettre au grand
jour le
secret le plus hautement classifié au monde- si il peut l’en empêcher.
Il aura
toujours à sa disposition des agents pour contrôler les groupes, les
publications, et les informations relatifs aux O.V.N.I. .
Si les aliénigènes n’étaient pas réels et que toute l’histoire se
révélait être
le plus grand canular ayant jamais été monté, qui pensez-vous, au
juste, aurait
comploté tout cela ?
Si
l’histoire cachée est vraie, tout au long de l'Histoire, les
aliénigènes n'ont
cessé de manipuler et de régenter l'humanité par le biais de diverses
sociétés
secrètes, de l'occultisme, de la magie, de la sorcellerie et de la
religion. Le
Conseil des relations étrangères et la Commission trilatérale
maîtrisent
parfaitement la technologie extranéenne et exercent un contrôle absolu
sur
l'économie nationale. Eisenhower fut le dernier président à avoir une
vue
d'ensemble du dossier extranéen. Tous les présidents qui lui ont
succédé n'en
ont su que les seuls éléments que Majesty douze et les services de
renseignements voulaient bien leur laisser savoir et, croyez-moi,
c'était loin
d'être la vérité.
A la
plupart des nouveaux présidents, Majesty douze donnait des aliénigènes
l'image
d'une civilisation perdue qui ne cherchait qu'à nous gratifier de dons
technologiques en gage de remerciement pour leur avoir permis
d'installer leurs
quartiers sur notre planète et de renaître ainsi de leurs cendres. Dans
certains cas, le Président n’en a rien su. Les présidents ont gobé
cette
histoire à tour de rôle ou n'ont tout simplement rien su. Et, depuis
tout ce
temps, combien d'innocentes victimes ont à vivre les indicibles
atrocités que des
aliénigènes et des hommes leur font subir à titre d'expériences
scientifiques
dans leurs laboratoires souterrains? Je ne suis pas arrivé à déterminer
exactement ce qu’ils leur font. Plusieurs personnes sont kidnappées et
condamnées à vivre avec des dommages psychologiques et physiques pour
le reste
de leur vie. Est-ce que cela pourrait être en fait une opération de
contrôle de
l’esprit par la CIA?
Selon les
documents que j'ai vus, un citoyen sur quarante serait porteur d'un
implant. Je
n'ai toujours pas découvert le but de ces minuscules appareils, mais le
gouvernement semble croire que les aliénigènes les utilisent pour se
“monter”
une armée d'individus qui puisse être “mise en marche” et se retourner
contre
nous au signal donné. Il est important que vous sachiez qu'à l'heure
actuelle
nous sommes encore loin de pouvoir nous mesurer aux aliénigènes.
Le 26 avril
1989, j'ai fait parvenir au Sénat américain et à la Chambre des
Représentants
536 exemplaires d'une “pétition accusatoire” et, à cette date, le 23
Novembre
1990, j’ai reçu 6 réponses, seulement 4 de plus qu’en mai 1989.
Les
conclusions sont inévitables
1) Il y a
des hommes qui ont échafaudé une structure secrète pour étayer leur
pouvoir en
se basant sur la croyance que la planète Terre, soit par suite de notre
propre
ignorance, soit en vertu d'un décret divin, est appelée à se détruire
un jour
ou l'autre d'ici peu. Ils croient sincèrement être en train de faire le
bon
geste pour tenter de sauver l'humanité, mais il est cruellement
ironique qu'ils
se soient crus obligés de s'allier à une race extranéenne dont la
condition
était d'être elle-même engagée dans un combat désespéré pour assurer sa
propre
survie. Cette entreprise conjointe a nécessité, tant moralement que
légalement,
une foule de compromis dont on découvre aujourd'hui l'ineptie et que
l'on se
doit de corriger en commençant par exiger des responsables qu'ils nous
rendent
compte de leurs actions. Pour autant que je comprenne la crainte et
l'urgence
qui ont pu motiver leur décision de ne pas en parler à la population,
je ne les
en excuse pas davantage.
L'Histoire est jalonnée de ces
puissants
groupuscules qui se sont toujours crus les seuls capables de décider du
sort de
millions d'êtres alors qu'ils n'ont jamais fait que provoquer des
fléaux. Notre
grande civilisation doit son existence même à son respect des principes
de la
liberté et de la démocratie. Je suis convaincu, au plus profond de
moi-même,
qu'aucune nation ne pourra jamais être prospère en faisant fi de ces
principes.
Il est temps de tout révéler au public et d'unir nos efforts pour
sauver
l'humanité toute entière.
2) Nous
sommes actuellement manipulés par les puissances extranéennes et les
pouvoirs
humains qui se sont coalisés en un gouvernement mondial pour asservir à
leurs
ambitions une partie de l'humanité. Ceci a été jugé nécessaire pour
résoudre la
question primordiale : “ qui parlera au nom de la planète
Terre ? ”. Il a été décidé que l’homme n’est pas assez mature
dans
son développement évolutionnaire pour être fiable dans sa manière
d’agir
correctement avec une race extranéenne. Nous avons déjà assez de
problème entre
les différentes races humaines, aussi que se passerait-il si une race
totalement étrangère extraterrestre était introduite ? Serait-elle
lynchée,
lui cracherait-on au visage, ou lui tirerait-on dessus ? Est-ce
que la
discrimination résulterait en des rencontres désagréables qui
condamneraient
l’humanité comme conséquence de leur très évidente technologie
supérieure ? Est-ce que nos dirigeants ont décidé de nous isoler
dans
notre parc ? Le seul moyen d’empêcher ce scénario d’avoir lieu est
de
provoquer un bond dans l’évolution des consciences, un changement
radical pour
la race humaine toute entière. Je n’ai aucune idée de la manière dont
cela peut
être fait, mais je sais que cela a désespérément besoin d’être fait.
Cela doit
être fait très rapidement et très silencieusement.
3) Les
gouvernements officiels se sont fait entièrement berner par les forces
extranéenes qui, quant à elles, n'ont d'autre intérêt que de nous
réduire tous
à l'esclavage, quitte à anéantir la totalité de l'espèce humaine. Là
encore,
nous devons tout faire en notre pouvoir pour empêcher cela d’arriver.
4)
Si rien de ce qui précède n’est
vrai, il se produit toutefois actuellement des événements qui dépassent
notre
entendement; mais, quoi qu'il en soit, notre première responsabilité
est
d'exiger la vérité, car nous ne pouvons que nous blâmer nous-mêmes
d'être sur
le point de récolter les fruits que nous avons produits par nos propres
actions
et, surtout, par notre inaction depuis 44 ans. Puisque c’est de notre
faute,
nous sommes les seuls à pouvoir changer les événements futurs.
L’éducation me
semble la majeure partie de la solution. L’autre partie est l’abolition
du
secret.
5)
Il est toujours possible que j’ai
été manipulé et que tout le scénario extranéen soit le plus grand
canular de
l’histoire dans le but de créer un ennemi étranger provenant de
l’espace
extérieur, de manière à accélérer la formation d’un gouvernement
mondial. J’ai
trouvé une preuve que cela pourrait être vrai. Je l’ai incluse dans
l’appendice. Je vous conseille de considérer ce scénario comme probable.
Est-ce par
indolence, ignorance ou naïveté que nous avons abdiqué notre plus
élémentaire
devoir politique en cessant d'être vigilants à l'égard d'un
gouvernement qui se
targue d'être fondé “sur le peuple, par le peuple et pour le peuple” et
dont la
structure même avait été conçue pour éviter qu'une poignée d'individus
puisse
aussi sournoisement décider de la destinée de ce peuple? Si nous avions
accompli notre devoir, ce genre de situation n'aurait jamais pu
survenir, mais
la plupart d'entre nous ignorent jusqu'aux fonctions les plus
fondamentales de
notre gouvernement. Nous sommes décidément devenus un vrai troupeau de
moutons,
et à quoi sont finalement destinés des moutons sinon qu'à l'abattoir?
Il est
temps de nous relever pour nous tenir debout comme nos pères et marcher
droit
comme des êtres humains. Je vous rappellerai seulement que les camps
d'extermination
nazis dépassaient aussi l'imagination et non seulement celle des Juifs
d'Europe
mais celle de toutes les nations de ce monde. Les Juifs captifs ont
marché avec
obéissance vers les chambres à gaz, et pourtant ils avaient été mis en
garde,
eux aussi!
Vous devez
comprendre que, réel ou non, la présence des aliénigènes a été utilisée
pour
neutraliser certaines grandes différentes parties de la
population : “ne vous inquiétez pas, les généreux frères de
l’espace
vous sauveront ”. Cela peut aussi être utilisé pour combler un
manque de
menace extraterrestre pour justifier la formation d’un Nouvel Ordre
Mondial : “les aliénigènes sont parmi nous ”.
L’information la
plus importante dont vous aurez besoin pour déterminer vos futures
actions est
que ce Nouvel Ordre Mondial exige la destruction de la souveraineté des
nations, ceci incluant les Etats-Unis. Le nouvel ordre mondial ne peut
pas et
ne devra pas permettre à notre constitution de continuer à exister. Le
Nouvel
Ordre Mondial sera un système socialiste totalitaire. Nous serons des
esclaves
enchaînés à un système de contrôle économique sans argent liquide.
Si la documentation que
j’ai vue lorsque
j’étais dans les services de renseignement de la Marine est véridique,
alors ce
que vous avez lu est probablement plus proche de la vérité que toute
autre
chose écrite. Si, par contre c’est un canular, alors ce que vous avez
lu est
exactement ce que les Illuminati veulent que vous croyiez. Je peux vous
assurer
sans l’ombre d’un doute que même si les aliénigènes ne sont pas réels,
la
technologie, elle, EST REELLE. Les vaisseaux à antigravité existent et
des
pilotes humains les conduisent. Moi et des millions d’autres, nous les
avons vu. Ils sont en métal, ce sont des
machines, ils ont
différentes tailles et formes et sont très évidemment guidés par une
forme
intelligente.
Si
soudainement il y avait une menace envers ce monde en provenance d’une
espèce
d’une autre planète, nous oublierions tous ces petits conflits locaux
qui ont
lieu entre nos deux grands pays et nous comprendrions une fois pour
toute que
nous sommes en fait tous des êtres humains de cette Terre.
Ronald
Reagan s’adressant à Mikhail Gorbachev
NDT :
A noter qu’un
président des Etats-Unis,
Jimmy Carter, avait déclaré avant d’être élu président qu’il essaierait
de
clarifier le phénomène OVNI, car il avait fait lui-même une observation
d’OVNI,
observation qu’il avait officiellement consignée par écrit à l’époque
aux
autorités. Mais une fois en poste, il n’a jamais rien fait de la sorte.
D’après une
remarque de Mr Cooper :
Lorsque le
président Nixon a prononcé son discours de départ, il a annoncé qu’il
dirait au
peuple américain la vérité à propos des ONVI. Comme James Forrestal,
Richard
Nixon s’est retrouvé prisonnier à l’hôpital de la Marine de Bethesda.
Mais
contrairement à Forrestal, Nixon a survécu. Il est resté silencieux.
La totalité des
éléments de l’appendice (ce
sont des photocopies de documents originaux comme des lettres, les
registres de
service de l’armée de Mr Cooper, des articles de journaux et des
documents
secrets déclassifiés) sont disponibles dans le livre dont est extrait
ce
document. Nous ne les reproduirons pas ici par manque de place
(l’appendice
fait près de 150 pages).
Ci-joint un
document écrit par Mr Cooper non
disponible dans son livre, mais publié conjointement à une traduction
de la
version originale de 1989 de ce document, aux éditions Louise Courteau,
dont le
titre est : L’origine, l’identité, et le but de MJ-12 et présenté
par
Richard Glenn. A noter que cette traduction a servi de document de
départ pour
la traduction de la version révisée du livre de Mr Cooper
J'ai
récemment rencontré, par l'intermédiaire d'un ami, quelqu'un dont le
témoignage
a corroboré certains passages de mon dossier, intitulé MAJIC.TXT. Je
suis sûr
que cela va vous intéresser. Vous allez sans doute remarquer, à
certains
indices au cours de notre conversation, que j'ai essayé de vérifier si
mon
interlocuteur était vraiment au courant des faits relatés dans mon
document. Il
faut vous dire que je ne l'ai pas forcé à me révéler quoi que ce soit;
je lui
ai simplement demandé de lire un exemplaire de mon document et de me
rappeler
s'il le désirait. Je ne l'ai rencontré qu'à deux reprises, la première
fois
pour lui être présenté, et la seconde pour entendre ses commentaires à
la suite
de sa lecture.
Je prenais part à une
réception organisée par
un ami de longue date à l'occasion de Noël quand, au cours de la
soirée, cet
ami m'a pris à part pour me dire que l'un de ses invités aurait sans
doute quelque
chose d'intéressant à me révéler relativement aux informations que je
venais
tout juste de publier. Son intuition s'appuyait sur le fait que cet
homme avait
servi dans les forces armées pendant 21 ans et qu'il avait été assigné,
entre
autres, aux services de sécurité Delta. Cette coïncidence ne pouvait
certes pas
manquer de piquer ma curiosité. Aussi ai-je demandé à lui être présenté
sur-le-champ.
Dés l'abord, j'ai été
impressionné par la
vigueur de son physique grand, mince et droit, et la vivacité de son
esprit,
alors qu'il était presque septuagénaire. Seuls ses cheveux gris
trahissaient
son âge, mais il avait le maintien altier de celui qui est depuis
longtemps
rompu à la discipline militaire.
J'ai entamé
la conversation en lui confiant que j'avais moi-même été longtemps
engagé dans
la Marine. Puis je lui ai demandé où il avait été cantonné. Il m’a
répondu
avoir accompli la majeure partie de son service dans le Colorado, le
Nouveau-Mexique, le Névada et à la base aérienne d'Edwards en Floride.
Je lui
ai alors fait part de mon étonnement de ce qu'il ait pu être affecté à
une base
de l'armée de l'air, lui qui était de l'armée de terre. “C'est vrai,
m'a-t-il
répliqué, mais je travaillais pour les services Delta, et nous
assurions la
sécurité de plusieurs projets interarmes.” Je lui ai ensuite demandé
s'il avait
déjà entendu parler du projet REDLIGHT. J'ai remarqué qu'il est
aussitôt devenu
mal à l'aise - Les yeux mi-clos, il a jeté un coup d'oeil autour comme
s'il
cherchait un endroit plus discret. “C'est possible, a-t-il repris, mais
vous
devez bien savoir, puisque vous étiez dans la Marine, que je ne peux
rien
divulguer des opérations auxquelles j'étais affecté.” J'espérais le
rassurer en
lui expliquant que j'avais sans doute exercé le même genre de
fonctions, ayant
moi-même travaillé aux renseignements de la Marine pendant un certain
temps.
Mais, depuis que j'avais mentionné le nom de Redlight, rien n'y faisait
pour
arriver à dissiper son malaise.
Nous avons
encore échangé quelques paroles puis je me suis excusé pour aller
rejoindre mon
copain, à qui j'ai demandé s'il pouvait me remettre son exemplaire de
mon
MAJIC.TXT. Après s'être absenté quelques instants, il est revenu avec
le
document en main.
J'ai
attendu que le vétéran de l'armée prenne congé pour le suivre à son
automobile.
Je lui ai présenté le document pour qu'il regarde le dessin que j'avais
esquissé à l'endos. Malgré sa hâte de quitter les lieux, il a néanmoins
pris le
temps, pendant que je l'observais en silence, d'examiner cette
reproduction de
l'Insigne trilatéral. Il m'a d'abord demandé où j'avais vu cet emblème
et je
lui ai répondu que je le tenais des services de renseignements de la
Marine.
Puis c'est moi qui me suis informé si lui-même le connaissait, ce à
quoi il m'a
dit l'avoir vu sur une pièce d'équipement. “Savez-vous de quel type
d'équipement il s'agit?” m'a-t-il demandé.
“D'un
appareil qui ne fait pas de bruit”, lui ai-je dit. “Ainsi, a-t-il
repris, vous
savez exactement en quoi consiste le projet Redlight!” J'en ai alors
profité pour
lui expliquer que le document qu'il tenait dans les mains contenait
justement
toute mon information à ce sujet et que j'aimerais bien qu'il le lise
d'abord
et me donne ensuite rendez-vous pour me raconter sa propre expérience
par
rapport à ce dossier. Je lui ai assuré que je ne révélais jamais
l'identité de
mes sources, donc a fortiori la sienne. Il m'a alors regardé droit dans
les
yeux en me prévenant que, si jamais je l'impliquais dans cette affaire
en
rapportant notre conversation, il n'éprouverait aucun remords à me
faire passer
pour un menteur devant tout le monde. Je comprenais parfaitement sa
méfiance
et, pour lui garantir ma bonne foi, je lui ai conseillé de s'enquérir à
mon
sujet auprès de notre ami commun, qu'il connaissait “depuis près de
sept ans”,
m'a-t-il dit. Il m'a salué et est parti en emportant mon document.
Il m'a
téléphoné quelques jours plus tard pour me donner rendez-vous en plein
jour la
veille de Noël. Nous avons convenu de nous rencontrer à une table de
pique-nique dans un parc.
La première
chose qu'il a dite en me voyant a été d'insister à nouveau pour que son
nom ne
soit jamais mêlé à ce que je pourrais faire ou dire, et il a ajouté
qu'il ne
voulait jamais plus me revoir après cette rencontre. J'ai accepté ses
conditions et il m'a alors donné son numéro de téléphone pour que je le
prévienne si jamais je découvrais par la suite que sa sécurité était
compromise. Après avoir acquiescé à cette autre requête, je lui ai
demandé la
raison pour laquelle il avait finalement accepté de me parler de son
rôle dans
ce dossier. “Pour la même raison qui vous pousse aussi à en parler,
m'a-t-il
rétorqué. Toute cette affaire prend une très mauvaise tournure et cela
ne
présage rien de bon. ” Je lui ai proposé de me raconter ce qu'il
savait, mais
il préférait que je lui pose des questions. Par ailleurs, il a refusé
que
j'enregistre ses réponses sur mon magnétophone, de peur qu'on identifie
sa
voix. Je me suis soumis d'autant plus volontiers qu'il avait tout à
fait
raison. Il a cependant consenti à me laisser prendre des notes par
écrit.
Voici donc
la reconstitution partielle de notre conversation, que je me suis
empressé de
rédiger aussitôt arrivé chez moi. Etant donné que je ne connaissais pas
cet
homme, je n'ai aucun point auquel me référer pour évaluer le bien-fondé
de ses
propos ou l'authenticité de ses renseignements. Par contre, je le crois
sincère, car il lui aurait fallu être un acteur doué d'un talent
vraiment
exceptionnel pour arriver à exprimer toute la gamme des émotions qui se
sont
dessinées sur son visage au fur et à mesure de ses révélations.
Cooper:
Où
aviez-vous vu l'Insigne trilatéral que je vous ai montré à la réception
de
notre ami?
Le vétéran:
Sur une
soucoupe volante que j'avais mission de surveiller à la base aérienne
d'Edwards. Je l'ai revu sur différentes soucoupes quand j'ai été
affecté à la
zone 51 au Névada. Laissez-moi vous dire combien j'ai été étonné par la
précision et la quantité de vos informations à ce sujet.
Cooper:
La plupart
d'entre elles découlent de documents dont j'ai personnellement pris
connaissance au début des années 70. Le reste m'a été transmis par des
informateurs. Le dossier que j'ai monté est le fruit de 17 années de
recherche.
En outre, une bonne partie de ma documentation provient de rencontres
comme celle
que nous tenons en ce moment. Pouvez-vous me relater les circonstances
dans
lesquelles il vous a été donné de voir cette soucoupe à Edwards?
Le vétéran:
On m'avait
assigné la garde d'un hangar dont je ne connaissais même pas le contenu.
Cooper:
Quel était
le nom de ce hangar'?
Le vétéran:
Il ne
portait ni nom ni numéro. On l'appelait le hangar Delta.
Cooper:
Pouvez-vous me dire où il est situé sur la base?
Le vétéran:
Il est
isolé sur la partie nord, complètement à l'écart, et personne ne peut y
avoir
accès sans être muni d'un sauf-conduit et d'un insigne spécial.
Cooper: À
quoi ressemble cet insigne?
Le vétéran:
À celui que
vous m'avez dessiné: un triangle noir sur fond rouge. À l'endos, il
porte une
description du détenteur comme toute autre carte d'identité.
Cooper:
Comment
êtes-vous arrivé à voir la soucoupe?
Le vétéran:
On ne peut
pénétrer dans le hangar que par une seule porte, et celle-ci donne
directement
sur le corps de garde. Au fond de cette salle, une autre porte donne
accès à un
bureau qui lui-même commande le hangar proprement dit. Il nous était
strictement défendu de franchir le seuil du bureau mais, un soir,
l'officier en
devoir m'a demandé si je savais sur quel objet je veillais. Je lui ai
répondu
qu'il n'était pas dans mes attributions de le savoir. Il m'a alors
demandé si
j'étais intéressé à le voir. Croyant qu'il cherchait simplement à me
mettre à
l'épreuve, je lui ai répondu que ce n'était pas nécessaire. Il m'a fait
alors
signe de le suivre et nous avons traversé le bureau, puis il a
déverrouillé la
porte du hangar. C'est là que j'ai vu la soucoupe, posée sur ses pieds
mais
appuyée aussi sur des vérins.
Cooper:
Vous
employez le mot “soucoupe”. Est-ce à dire que cet engin était
circulaire?
Le vétéran:
Oui, c'était
exactement le genre de soucoupe volante qu'on est habitué à voir au
cinéma.
Cooper:
Pouvez-vous
me la décrire?
Le vétéran:
Elle avait
un diamètre de dix mètres environ et semblait faite d'un métal non
brillant,
comme de l'argent terni.
Cooper:
Quelle
hauteur avait-elle?
Le vétéran:
De cinq à
six mètres environ. L'Insigne trilatéral y apparaissait sur les deux
faces,
supérieure et inférieure.
Cooper:
Avez-vous remarqué des ouvertures?
Le vétéran:
Non, mais
il faut dire que je n'en ai vu qu'un seul côté et à peine trois ou
quatre
minutes.
Cooper:
Avez-vous
aperçu des hublots?
Le vétéran:
Je crois
qu'il y en avait tout autour de la partie supérieure, mais je ne
pouvais rien
distinguer à l'intérieur.
Cooper:
Etaient-ils
ronds?
Le vétéran:
Non, ils
étaient rectangulaires. J'ai aussi remarqué deux rainures qui faisaient
le tour
de la carlingue, l'une sur la face supérieure et l'autre sur la face
inférieure
à un peu plus d'un mètre de l'intersection de ces deux moitiés, et une
partie
de la face intérieure ressemblait à des grilles ou des lucarnes.
Cooper:
L'officier
vous a-t-il dit quelque chose?
Le vétéran:
Simplement
qu'il ne m'avait pas tout montré, puis nous sommes retournés au corps
de garde
et il est parti.
Cooper:
Etrange
comportement, ne trouvez-vous pas?
Le vétéran:
Tout ce qui
avait trait à Delta était étrange, tout ce que l'on voyait, tout ce que
l'on
faisait... Par moments, j'ai vu des hommes éclater en larmes sans
raison
apparente; et, quand un type avait le malheur de craquer, il
disparaissait à
tout jamais.
Cooper:
Qu'advenait-il
à ces hommes?
Le vétéran:
Je ne sais
pas et je n'ai jamais cherché à le savoir.
Cooper:
Avez-vous
objection à parler de vos autres expériences?
Le vétéran:
Non, pas du
tout.
Cooper:
Comment êtes-vous
entré à Delta?
Le vétéran:
J'avais
d'abord été recruté dans l'Organisation de reconnaissance nationale et
envoyé à
Fort Carson au Colorado. Puis, après un entraînement intensif, j'ai été
soumis
à une sévère procédure de sélection imposée par les services de
sécurité Delta,
à l'issue de laquelle ils m'ont enrôlé.
Cooper:
Sur quels
critères se sont-ils basés pour vous choisir?
Le vétéran:
Premièrement,
m'a-t-on dit, parce que j'étais orphelin. Imaginez un instant qu'un
homme soit
victime d'un accident grave dans le cadre d'opérations secrètes. S'il a
de la
famille, ses parents risquent de compromettre tout le projet simplement
en
essayant de connaître les circonstances entourant la disparition de
leur cher
fils.
Cooper:
Les membres
des équipes Delta sont-ils tous orphelins?
Le vétéran:
D'une
certaine manière puisque leurs parents sont tous disparus, décédés
depuis
longtemps ou récemment, morts de maladie ou tués dans un accident.
Cooper:
N'étiez-vous
pas un peu perplexe par rapport à ce critère? Autrement dit, vous
demandiez-vous en quoi pouvait consister ce secret qui semblait si
important
qu'on doive y assigner des orphelins?
Le vétéran:
J'ai vu
certaines choses... On racontait des histoires... au sujet de Dreamland
surtout... Avez-vous entendu parler des chasseurs de primes de
Dreamland?
Cooper Que
voulez-vous dire?
Le vétéran:
Quand un
homme est affecté à Dreamland, s'il sort en permission ou en devoir et
qu'il
lui prend la fantaisie de ne pas rentrer à temps ou de ne pas revenir
du tout,
alors sa tête est pour ainsi dire mise à prix et les chasseurs de
primes se
lancent à sa recherche pour le ramener dans les installations
souterraines où
vivent les visiteurs... Vous savez de qui je veux parler, mais je crois
que je
ferais mieux de me taire. De toute façon, je ne m'en souviens presque
plus...
et n'étions-nous pas censés nous entretenir de Redlight?
Cooper:
Nous
n'avions aucunement convenu de nous limiter à ce seul sujet. Est-ce une
nouvelle condition?
Le vétéran:
Oui, il
vaut mieux parler d'autre chose. Je peux seulement vous dire qu'il se
passe des
choses vraiment bizarres à Dreamland.
Cooper:
Que
voulez-vous dire quand vous prétendez ne plus vous souvenir?
Le vétéran:
Je n'arrive
plus à me rappeler... Je n'ai vraiment pas envie d'en parler, voilà
tout...
Cooper:
Non, s'il
vous plaît, ne me faites pas ce coup-là. Allez! Vous m'en parlez ou
vous ne
m'en parlez pas, mais cessez de jouer avec mes nerfs! Qu'avez-vous à
ajouter
sur Dreamland? Pouvez-vous au moins me dire où c'est situé?
Le vétéran:
Non, je
cours un trop grand risque, c'est trop dangereux, et maintenant je suis
marié.
Cooper:
Très bien,
alors parlez-moi de la zone 51.
Le vétéran:
C'est le
quartier général de Redlight. Elle est située au lac Groom dans le
Névada
Celui-ci est en plein coeur d'un champ de manoeuvres que vous pouvez
voir en
consultant une carte. Il s'agit d'un lac asséché sur le lit duquel on a
érigé
des installations ultra-secrètes. On y pratique des vols d'essai à bord
de
soucoupes volantes.
Cooper:
En
avez-vous déjà vu quelques-unes voler?
Le vétéran:
Oui, elles
sont parfaitement silencieuses et se déplacent à des vitesses
prodigieuses.
Cooper:
Est-ce le
même type d'appareil qu'à Edwards?
Le vétéran:
L'un des
deux que j'ai vus est semblable. Quant à l'autre, il ressemble à un
diamant
qu'on aurait retourné à l'envers après l'avoir sorti du chaton d'une
bague de
fiançailles.
Cooper:
Voulez-vous
dire qu'il donne vraiment l'impression du diamant?
Le vétéran:
Pas tout à
fait, mais la forme est semblable. De plus, en plein vol, il devient
brillant
comme le soleil et parfois même iridescent. Par contre, au sol, il
présente la
même apparence de métal terne que la soucoupe d'Edwards.
Cooper:
À quelle
distance de l'appareil vous teniez-vous quand vous l'avez vu?
Le vétéran:
Assez loin
puisque personne n'a le droit de s'en approcher, à cause des
radiations, sans
doute.
Cooper:
Entendez-vous
par là qu'il était propulsé à l'énergie nucléaire?
Le vétéran:
Je n'en
suis pas certain, mais je suppose qu'il représentait un risque élevé de
radioactivité puisqu'il nous fallait toujours porter un dosimètre* sur
nous et
aller l'échanger contre un autre tous les jours pour le faire vérifier.
Cooper:
Combien de
temps êtes-vous resté à la zone 51?
Le vétéran:
Mon premier
stage a duré trois mois. D'ailleurs, jamais personne n'y est affecté
plus
longtemps que quelques mois. La seconde fois, j'y ai été consigné près
de cinq
mois, comme en temps de guerre, sans permission de sortie; mais il faut
dire
que ces quartiers sont pourvus d'excellents équipements récréatifs.
Cooper:
Je suis
navré de vous talonner, mais j'aimerais vraiment en apprendre plus long
sur
Dreamland parce que votre témoignage ne semble pas concorder avec mes
autres
sources d'information. On m'a dit que la base extranéenne est située au
Nouveau-Mexique. S'agirait-il de Dreamland?
Le vétéran:
Il y a
plusieurs bases... Mais je dois maintenant partir. J'ai tort de vous
parler de
tout cela; je ne devrais pas, c'est beaucoup trop dangereux, bien plus
que vous
ne l'imaginez. Je ne suis pas au courant de tout mais je sais que la
situation
est complètement désespérée. A vous dire vrai, je suis très inquiet de
ce que
l'avenir nous réserve. Ne me demandez pas de vous expliquer, je ne sais
pas de
quoi il s'agit; mais je suis certain qu'il se trame quelque chose. On
construit
actuellement d'immenses abris souterrains sous le lac Groom et
ailleurs. De
toute manière, à voir votre dossier, je crois que vous êtes mieux
documenté que
moi à ce sujet. Maintenant, permettez que je m'en aille. C'est la
veille de
Noël et je demeure assez loin.
Cooper:
Avant de
partir, voudriez-vous jeter un coup d'oeil aux notes que je viens de
prendre et
les rectifier s'il y a lieu?
Le vétéran:
Ce n'est
pas la peine. J'ai observé pendant que vous écriviez, et vous n'avez
rien
oublié. Mais puis-je vous demander ce que vous comptez faire de ces
notes?
Cooper::
Je vais
d'abord les compiler dans un dossier puis les publier sous la forme
d'un
dialogue en prenant garde de ne pas vous identifier.
Le vétéran:
Si, de
toute façon, vous le faisiez, je vous répète que je nierais tout et
vous
accuserais de diffamation.
Cooper::
Soyez sans
crainte, je n'ai jamais nommé mes informateurs. Si, un jour, vous aviez
l'intention de me révéler autre chose, vous avez mon numéro...
Le vétéran:
Je ne pense
pas. Vous auriez intérêt à être très prudent. A votre place, je ferais
attention à moi et je ne rapporterais pas cette conversation. Vous
devriez y
réfléchir.
Cooper Que
pensez-vous qu'il puisse m'arriver'?
Le vétéran:
La même
chose qu'aux autres... Vous devriez laisser tomber... Vous...
Personne
n'y peut plus rien changer!
Le reste de
notre conversation n'a consisté qu'en salutations d'usage. Cet homme
m'a paru
vraiment sincère et profondément tourmenté par ce qu'il racontait. En
tout cas,
il semblait se faire réellement du souci pour ma sécurité comme pour la
sienne.
Il est le
deuxième à me donner la description d'une soucoupe volante à la base
d'Edwards.
Tous deux m'ont parlé du même insigne de sécurité et ont fait également
référence au fameux Dreamland. Mais c'est la première fois que
j'entendais
mentionner l'existence de plusieurs bases extranéennes et aussi celle
des
chasseurs de primes. Je crois, de plus, qu'il y a un lien significatif
à
établir entre l'usage des dosimètres et l'incident qui est survenu aux
deux
femmes dans le Texas. John Lear prétend que Dreamland est situé à
Edwards. Pour
ma part, je n'en connais pas l'emplacement. Cette allusion au “pays des
rêves”
dans le choix même du mot Dreamland me rend perplexe parce que cette
désignation ne correspond pas à celles que l'armée à tendance à
utiliser pour
nommer ses projets ou les sites de ses opérations. J'aimerais préciser
que mes
informateurs m'avaient d'abord signalé que la base extranéenne était
située à
Dreamland; mais, par la suite, ils se sont rétractés et ont nié cette
information. Il est tout de même étrange que ce nom revienne
constamment sur
les lèvres à chaque fois qu'il est question de la base extranéenne! Par
ailleurs, comment savoir puisque les victimes d'enlèvement invoquent
unanimement la défaillance de leur mémoire?
En
définitive, les réponses du vétéran de l'armée ne m'auront
personnellement
apporté que de nouvelles questions.., encore plus troublantes !
*Le type de
dosimètre qu'on utilisait du temps où je servais dans la Marine
consistait en
une pellicule photographique insérée dans un insigne que les membres du
personnel devaient épingler à leur chemise lorsqu'ils travaillaient
dans des
zones où ils risquaient d'être exposés à des radiations nucléaires. En
raison
de sa photosensibilité, la pellicule réagissait aux radiations et,
selon son
degré d'exposition, il était possible d'évaluer la dose exacte de
radioactivité
à laquelle chaque membre avait pu être exposé. Au Commandement
aérostratégique,
je portais un tel dispositif parce que les aéronefs d'alerte étaient
équipés en
permanence d’armes nucléaires. Nos dosimètres étaient vérifiés une fois
par
semaine. S'ils indiquaient une exposition aux radiations, il nous
fallait alors
nous soumettre à un processus de décontamination. Pour ma part, cette
mesure
n'a jamais été nécessaire pendant toute la durée de mon service.