LE
CHRISTIANISME
SATANIQUE ET LA
CREATION DU
7eme
JOUR
DEUXIÈME
PARTIE
LE
CHRISTIANISME
SATANIQUE
LE
POUVOIR DES DÉMONS RELIGIEUX
CHAPITRE I
LES
STIGMATISÉS ET LES CORPS INCORRUPTIBLES
Sur le plan
historique, les phénomènes de stigmatisation et de
l’incorruptibilité
des corps
des saints de l’église catholique sont des faits établis
et bien
documentés. De
sérieuses enquêtes ont été menées par
des docteurs renommés et des
journalistes
des masses médias depuis l’apparition du
phénomène. Il n’y a donc aucun
secret
dans cette affaire. L’église catholique adopte parfois une
attitude de
suspicion sur le phénomène de stigmatisation. Par contre,
elle
considère
l’incorruptibilité du corps comme une faveur de Dieu et ce fait
rentre
en ligne
de compte pour la canonisation des saints. L’objectif de ce chapitre
serait de
pouvoir démontrer à travers la Bible et l’histoire que la
stigmatisation aussi
bien que l’incorruptibilité des corps, bien que saintes selon
les
apparences
soient néanmoins des phénomènes purement
diaboliques.
I.
Manifestations
du phénomène
Après
la
crucifixion du Seigneur Jésus, lorsque son corps fut descendu de
la
croix, on a
constaté que ses mains et pieds étaient perforés,
son flanc était
transpercé,
son épaule était écorchée, sa tête
portait des meurtrissures, son corps
entier
était mutilé… Ces différentes blessures
reçues lors de son crucifiement
sont
appelées « les stigmates du Seigneur Jésus. »
Le film de Mel Gibson « La
passion du Christ » en donne une illustration
éloquente.
Curieusement,
depuis l’année 1224 jusqu’à nos jours, des milliers de
fidèles de
l’église
catholique, de leur vivant, ont vu apparaître sur leurs corps les
stigmates du
Seigneur Jésus comme s’ils avaient été eux aussi
crucifiés. Ces
personnes sont
alors appelées « les stigmatisés » en
fonction de l’analogie de leurs
blessures
par rapport à celles de Jésus crucifié. «
Living miracles » donne
l’évaluation
suivante pour compter de 1224 à 1894 : pour la France,
soixante-dix
stigmatisés
; quarante-sept pour l’Espagne ; trente-trois pour l’Allemagne, quinze
pour la
Belgique, treize pour le Portugal, cinq pour la Suisse, cinq pour la
Hollande,
trois pour la Hongrie, un pour le Pérou, un pour
l’Égypte… De nos
jours, des
milliers de cas sont signalés en Grande-Bretagne, en Australie,
aux
États-Unis,
au Canada, au Brésil, en Irlande, en Corée, en Syrie, etc.(
Voir la carte ci-dessous).
À
l’exception
de quelques rares cas isolés, le phénomène est
purement catholique et
les
femmes sont les plus concernées avec un record d’environ
quatre-vingt-dix pour
cent des cas (un homme pour sept femmes selon certaines sources). Les
personnes
qui vivent ces expériences traversent de grandes souffrances
physiques
car
leurs blessures sont réelles et saignent à profusion. Du
sang coule
également
des yeux de certains d’entre eux et le phénomène est
connu sous le nom
de «
larmes de sang ». La stigmatisation est souvent
accompagnée de dons
spirituels
tels que : le pouvoir de communiquer avec les animaux, la
capacité de
se
retrouver en plusieurs endroits au même moment connu sous le nom
de
bilocation
; la lévitation, la prophétie, le jeûne pouvant
aller à plus de douze
ans sans
nourriture, le don de guérison, la capacité de lire les
pensées d’une
tierce
personne, etc. En plus de ces surnaturels phénomènes
spirituels, les
stigmatisés reportent qu’ils sont souvent victimes d’attaques
démoniaques qui
se résument à des bastonnades prolongées ou des
tortures accompagnées
de
maladies telles que : convulsions, aveuglement, assourdissement,
mutisme,
paralysie, sensation de tristesse, de
dépression, de faiblesse, etc., de sorte que
certains sont considérés comme de
véritables musées
pathologiques.
La
stigmatisation avec ses affreuses souffrances est qualifiée de
«
souffrances
co-rédemptrices » par l’église catholique car l’on
pense que les
victimes
participent ou associent ainsi leurs souffrances à celles du
Christ
pour la
rédemption de l’humanité. Quelques femmes
stigmatisées racontent des
scènes de
mariage au cours desquelles elles auraient été
mariées au Seigneur
Jésus-Christ
en présence de la Vierge Marie et d’autres saints. Elles portent
leur
bague
d’alliance en or ou en diamant que seule la mariée peut voir. La
stigmatisation
et les phénomènes qui l’accompagnent varient beaucoup
d’une personne à
l’autre.
Les cas les plus célèbres qui ont attiré mon
attention sont : Saint
François
d’Assise (1182-1226), Sainte Rita de Cascia (1386-1456), Eustochia
Calafato
(1433-1468), Thérèse Neumann (1898-1962), Padre Pio
(1887-1968), Myrna
Nazzour
(actuelle stigmatisée de Damas en Syrie). Officiellement,
l’église
catholique
n’a jamais reconnu les stigmates. Mais elle ne les condamne pas non
plus car
soixante-deux personnes stigmatisées sont déjà
béatifiées ou canonisées
(1).
Certains d’entre eux sont donc des saints de l’église catholique
et
reçoivent
des vénérations. Je vois par là une certaine
méfiance de l’église mais
aussi
une certaine complicité tacite et intelligente.
Le
phénomène
de stigmatisation a des effets post-mortuaires car certains
stigmatisés
conservent toujours leur corps intact des centaines d’années
après leur
mort.
Leurs corps refusent de se décomposer et leurs organes demeurent
frais
et
saignent comme s’ils étaient toujours vivants. On les appelle
alors : «
les incorruptibles
» ou « les saints préservés ».
Même morts, ils opèrent toujours des
miracles
plus puissants qu’ils ne l’ont fait de leur vivant. Cependant, il faut
souligner que la stigmatisation n’est pas la condition sine qua non
pour
l’incorruptibilité du corps car de pieuses personnes de
l’église
catholique
après leur mort furent trouvées incorruptibles alors que,
de leur
vivant, elles
n’ont pas porté de stigmates.
Thérèse
Neumann,
la stigmatisée
Allemande
II. Quelques
exemples et critiques du phénomène
Au cours des
siècles passés, certaines personnes en mal de gloire ont
sciemment
provoqué
leurs stigmates pour s’offrir en spectacle sans que le ciel
n’intervienne
d’aucune manière. Je ne m’intéresse pas à ces faux
stigmatisés que
l’église a
souvent démasqués. Il y a aussi une dizaine de cas de
corps
incorruptibles de
l’église catholique qui furent considérés pendant
longtemps comme des
saints
ayant été miraculeusement préservés par la
vertu de Dieu. Pourtant,
l’investigation scientifique a démontré qu’il s’agissait
plutôt de
corps
momifiés à la manière Egyptienne, ce qui n’a donc
rien de surnaturel.
Cependant, ces saints ont reçu et continuent de recevoir de
grandes
vénérations
partout dans le monde et sont malheureusement considérés
comme ayant
été
préservés intacts par la vertu du Dieu Tout-Puissant.
C’est le cas de
Sainte
Rita de Cascia, de Sainte Marguerite de Cartonna, etc. (2). Je ne
m’intéresse
pas non plus à ces cas. Mon étude critique est
centrée sur les
incorruptibles
qui défient la raison humaine, la science, la nature et les lois
de
Dieu. Dans
cette étude critique, j’ai seulement choisi dix cas parmi des
centaines
d’autres. Le lecteur qui voudra enrichir ses connaissances pourra
entreprendre
des recherches plus approfondies.
Corps
momifié de Ste Rita de
Cascia
Sainte Zita
de
Luca
Elle est la
plus admirée de l’église catholique. Après avoir
passé quarante-huit
ans au
service des pauvres, elle mourut en 1278 et ce jour-là toutes
les
cloches des
églises de la localité se mirent à sonner ensemble
sans aucune
intervention
humaine et les fidèles accoururent à l’église. De
nombreux miracles lui
furent
attribués. Sa vie fut légendaire et trois cents ans
après sa mort
lorsque son
corps fut exhumé pour une cérémonie de
béatification, on le trouva
intact.
Aujourd’hui, plus de sept cents ans après la mort de cette
pieuse dame,
son
corps émerveille toujours la science de sorte que les
scientifiques ont
été
contraints par la force des choses de déclarer qu’elle est une
momie
naturelle.
Elle est considérée de nos jours comme une
héroïne nationale, une momie
nationale d’Italie.
Sainte
Zita de Luca
Sainte
Catherine de Bologne
Cette pieuse
dame est morte en 1463. Durant sa vie, elle a reçu plusieurs
fois des
apparitions de la Vierge Marie et de l’enfant Jésus. À sa
mort, une
odeur de
parfum se dégageait de son corps. Cette odeur est
baptisée « odeur de
sainteté
» par l’église catholique comme si Dieu à travers
ce parfum approuvait
la
sanctification de la personne concernée. En plus de l’odeur de
sainteté, un
autre miracle s’est produit : morte à l’âge de cinquante
ans, son
visage s’est
rajeuni en prenant l’aspect de celui d’une jeune fille de la quinzaine.
Elle
fut canonisée en 1712 par l’église catholique et lorsque
son corps fut
exhumé,
il était intact comme si elle venait juste de mourir. De nos
jours,
soit plus
de cinq cents ans après sa mort, son corps demeure toujours
intact et
même
flexible comme de son vivant. Les miracles qui lui furent
attribués
seraient
innombrables. Le phénomène le plus extraordinaire est que
cette
défunte,
vieille de cinq cents ans est placée en position assise sur un
trône en
or et
des milliers de fidèles catholiques ainsi que des
pèlerins
s’agenouillent et se
prosternent devant elle pour prier et solliciter des grâces. De
son
trône d’or
où elle est assise en reine, il est dit qu’elle change
constamment de
position
sans aucune intervention humaine comme si elle était vivante.
Mieux que
ça,
elle lévite.
Sainte
Catherine de Bologne
Pour ma
part,
je pense que ce phénomène n’est pas chrétien car
la Bible ne donne
témoignage
d’aucun fait de ce genre depuis le choix d’Abraham jusqu’à la
mort du
Seigneur
Jésus sur la croix. Si les phénomènes
d’incorruptibilité et d’odeur de
sainteté
portaient la signature du Dieu d’Abraham, alors, les corps de tous les
patriarches, de tous les prophètes, de tous les apôtres
devraient
demeurer de
nos jours comme preuves. Abraham, l’ami de Dieu ; le roi David, l’homme
selon
le cœur de Dieu ; l’apôtre Jean, celui que le Seigneur
Jésus aimait le
plus,
etc., auraient dû dégager une odeur de sainteté
à leur mort et de nos
jours
leurs corps devraient être exposés en spectacle pour ainsi
démontrer la
puissance de Dieu. Malheureusement, nous constatons que rien de pareil
n’a
existé chez les Hébreux depuis la création de
l’homme.
L’histoire
raconte que la basilique Saint-Pierre de Rome, le bastion de la
papauté
et du
catholicisme romain fut bâti sur la tombe de l’apôtre
Pierre, celui de
qui le
Seigneur a dit : « Tu es Pierre et sur cette pierre, je
bâtirai mon
église et
les portes de l’enfer ne te prévaudront pas contre elle. »
Lorsque je
visitais
les catacombes Sainte Calice de Rome en 1985, notre guide nous raconta
que lors
des fouilles, un parchemin fut retrouvé, sur lequel il
était écrit : «
Pierre
est ici ». Cela veut dire que l’emplacement où le
parchemin fut trouvé
était
bel et bien la tombe de l’apôtre Pierre. C’est
précisément là, que fut
édifiée
l’imposante et prestigieuse basilique Saint-Pierre de Rome. Comment se
fait-il
que le corps de cet illustre apôtre qui a marché avec le
Christ Jésus
sur les
eaux se soit décomposé et devenu de la poussière
et pour quelles
raisons, de
nos jours, les corps des saints de l’église catholique
refusent-ils de
putréfier ? Ont-ils plus de mérite que les apôtres
du Seigneur
Jésus-Christ ?
Ont-ils cru plus que Saint Jean ou Jean le Baptiste dont les corps sont
devenus
de la poussière ? Ont-ils espéré plus que notre
père Abraham qui a aimé
Dieu au
point d’accepter de sacrifier son unique fils pour l’Éternel et
dont le
corps
s’est décomposé ?
À mon
avis, le
phénomène catholique sur les corps incorruptibles est
d’origine
satanique. Si
cela provenait du Dieu El Schaddaï, il aurait
réalisé ces mêmes
prodiges pour
son ami Abraham, pour Job, pour le roi David ou pour ses saints
prophètes et
apôtres. En effet, la Bible déclare que
Jésus-Christ ne change pas. Il
est le
même hier, aujourd’hui et pour toujours (Hébreux 13 : 8).
Dieu le Père
non plus
ne change pas et il ne produit pas d’obscurité par des
variations de
positions
(Jacques 1 : 17). Leurs actes se réitèrent, identiques et
sans
variations. Mais
les êtres humains changent constamment parce qu’ils sont mortels
et
surtout
parce qu’ils ne cessent de progresser dans leurs civilisations. Dieu,
lui,
demeure le même et il ne fait rien de nouveau sans nous avoir
prévenus
longtemps
à l’avance (Amos 3 : 7). Par conséquent,
l’identité des divinités qui
s’expriment au travers de nos stigmatisés est à revoir.
Comment
pouvez-vous exposer un cadavre bizarre vieux de cinq cents ans tel que
Catherine de Bologne, devant lequel des chrétiens se prosternent
pour
dire des
prières et vouloir que cela soit du christianisme ? Pour ma
part, je
trouve que
c’est un nouveau type de christianisme : un christianisme satanique.
Ste Catherine de Bologne
Eustochia
Calafato
Née
en 1439,
cette sainte est connue sous le nom de « la stigmatisée de
Sicile » car
ayant
porté les stigmates jusqu’à sa mort en 1468. À
l’instar de certains
saints de
l’église catholique son corps fut retrouvé incorruptible
longtemps
après sa
mort. L’histoire raconte qu’elle a opéré un grand miracle
un siècle et
demi
après sa mort : en effet, un tremblement de terre d’une grande
amplitude a
secoué la cité de Montevergine en 1615 et la population
accourut sur la
tombe
d’Eustochia Smeraldo Calafato pour prier et requérir sa
protection.
Alors, les
religieuses exhumèrent le corps de la sainte qui demeurait
intact après
cent
quarante-sept ans d’inhumation. À peine sortie de sa tombe, la
sainte
ouvrit sa
bouche et se mit à chanter et subitement le tremblement de terre
s’arrêta. De
nos jours, son corps attire une foule de pèlerins.
Eustocha
Calafato
Vous voyez,
une dépouille vieille de plus de cent ans qui sort de sa tombe
pour
commander à
l’astre terrestre qui lui obéit docilement. Même le fils
de Dieu n’a
pas
manifesté une si grande et puissante
autorité lors de
son passage sur terre. Peut-être que le tremblement de terre
s’est
arrêté sur
l’intercession de la sainte. Peut-être aussi qu’il s’est
arrêté
naturelle ment.
Ce qui me frappe, c’est plutôt l’attitude des catholiques de
cette
ville au
moment de la détresse. Au lieu d’invoquer le Dieu vivant, ils
préfèrent
exhumer
un cadavre et implorer son intercession. Est-ce un laisser-aller de la
part du
clergé catholique ? Ou est-ce une forme de déviation
provoquée par un
abus de
la foi chrétienne ? Leur attitude n’est pas chrétienne
car un tel fait
n’a été
observé ni du temps des patriarches, encore moins au temps
apostolique.
Après
l’incendie de la ville de Rome le 18 juillet 64, l’empereur
Néron
accusa les
chrétiens d’avoir allumé le feu alors qu’il était
le présumé pyromane.
C’est à
cette époque qu’il y eût la première grande
persécution chrétienne au
cours de
laquelle des milliers et des milliers de croyants périrent sous
les
glaives des
soldats Romains. De même, en 303, lorsque l’empereur
Dioclétien jura la
perte
des chrétiens pour la survie du culte de son dieu Apollos, des
milliers
de
martyrs chrétiens tombèrent sous le glaive des soldats
romains.
D’autres furent
jetés en pâture aux animaux sauvages ou simplement
brûlés vifs. Ont-ils
exhumé
les corps des saints de leur époque et se sont-ils
prosternés devant
eux pour
conjurer leur protection ?
Au cours des
siècles, lorsque les Juifs faisaient face à
l’extermination imminente
de leur
race, ont-ils exhumé le corps d’Abraham ou de Moïse pour
implorer son
intercession ou sa protection ? Une personne morte depuis des centaines
d’années, peut-elle se relever et faire des miracles comme le
font les
saints
de l’église catholique ? Au mieux de nos connaissances, la Bible
ne
nous donne
aucun exemple de ce genre. Le phénomène n’est ni
judaïque, ni biblique,
encore
moins chrétien. Par conséquent, en conformité avec
les instructions de
mes
hôtes invisibles, j’en viens à conclure que ces
phénomènes des corps
incorruptibles de l’église catholique sont une forme de
sorcellerie. Le
même
type de sorcellerie célébrée dans les films de
vampires. Si le Dieu des
chrétiens opérait de tels miracles sur ses enfants morts,
il aurait
accompli
ces mêmes miracles pour les Juifs et pour les chrétiens
des églises
évangéliques qui démontrent une grande
maturité de leur foi en Dieu par
l’observation des préceptes bibliques.
Si et
seulement si, un des prophètes ou patriarches ou même un
des apôtres du
Seigneur Jésus avait été retrouvé intact
après sa mort, alors je me
tairais et
ce débat sur les incorruptibles serait clos. Mais malgré
les fouilles
archéologiques,
rien de tel ne fut démontré. Peut-être aussi que le
Dieu de l’église
catholique
est différent du Dieu des patriarches Abraham, Isaac et Jacob.
Il doit
aussi
être différent du Dieu manifesté en la personne de
Jésus-Christ même
s’ils
portent le même nom. Étant donné que les miracles
observés dans
l’église
catholique ne se reproduisent ni dans les synagogues ni dans les
églises issues
de la réforme, il y a de fortes chances que l’église
catholique adore
un Dieu
différent de celui du christianisme.
Remarque
Les
cimetières
de la Palestine et d’Israël abondent en ossements humains. C’est
à ces
endroits
historiques que se reposent les corps des vaillants serviteurs de Dieu
depuis
Noé jusqu’aux apôtres du Christ. Mais jamais au grand
jamais, un corps
incorruptible de ces saints serviteurs du Dieu Jéhovah ne fut
découvert. Alors,
pourquoi l’incorruptibilité se manifeste-telle seulement sur les
saints
de
l’église catholique ?
En octobre
2002, un sarcophage utilisé entre « les années
vingt avant Jésus-Christ
et
soixante-dix après Jésus-Christ » fut
retrouvé à Jérusalem et portait
l’inscription suivante : « Jacques, fils de Joseph, frère
de Jésus »
(4)...
L’apôtre Jacques est ce saint homme connu sous le nom de «
frère du
Seigneur
Jésus ». Il fut le chef de la première
église de Jérusalem et de
surcroît, il
est l’auteur d’une épître de la Bible. Selon toute
évidence, cette
découverte
paléographique nous fait remonter jusqu’à l’apôtre
Jacques et confirme
la
révélation de mes hôtes invisibles sur les
incorruptibles. Qu’a-t-on
retrouvé
dans son cercueil ? Un corps incorruptible ? J’aurais souhaité
qu’il en
soit
ainsi. Malheureusement, le sarcophage est une preuve que des ossements
humains
s’y reposaient. Cet homme, appelé « le juste » est
un saint par
excellence pour
avoir marché avec le Christ et pour avoir rédigé
une partie de notre
Sainte
Bible. Comment se fait-il que son corps se soit décomposé
après sa mort
alors
que de saintes personnes de l’église catholique résistent
à la
putréfaction ?
Il y a deux forces spirituelles antagonistes dans ce monde et puisque
l’incorruptibilité semble ne pas émaner de Dieu, alors,
elle ne peut
être que
l’œuvre du Diable. Satan aurait donc pris l’église catholique en
otage
dès sa
naissance et a réussi à dévier les
chrétiens du droit chemin par
l’introduction
d’un nouveau culte des morts. Un culte satanique.
Sainte
Catherine Labouré et Bernadette Soubirous
Catherine
Labouré est morte en 1876 après avoir reçu
plusieurs séries de visites
de la
Vierge Marie et est à l’origine de la création de la
médaille
miraculeuse.
Lorsque son corps fut exhumé cinquante-sept ans après sa
mort pour une
cérémonie de béatification, on le trouva intact.
Bernadette Soubirous
de son
côté reçut dix-huit fois la visite de la Vierge
Marie et trente ans
après sa
mort, lorsqu’on l’exhuma, on la trouva intact. Bien que morte depuis
des
centaines d’années, elles donnent l’apparence d’être
vivantes et même
les yeux
bleus de Sainte Catherine ont conservé leur éclat
bleuté. Ce phénomène
est
surnaturel et surprend tous les hommes de science. On peut donc dire
que les
incorruptibles du XIVe et XVIIe siècle ont été mal
préservés. Par
contre, les
corps de Bernadette Soubirous et Catherine Labouré sont des
merveilles
d’une
parfaite conservation. Au fur et à mesure que nous
avançons dans notre
civilisation et dans les découvertes scientifiques, vous verrez
des
miracles de
plus en plus complexes. Si Satan veut gagner beaucoup d’âmes, il
lui
faudra
alors ajuster ses méthodes pour se conformer aux
réalités de notre
époque. Le
diable n’est pas un gamin. Il est le dieu de ce monde et il a une vaste
expérience sur l’homme depuis sa création. Comme je le
démontre dans le
chapitre de la deuxième création, il est sans doute le
créateur d’une
multitude
d’êtres humains qui marchent sur cette terre au milieu des
enfants
créés par
Dieu. Il peut donc se jouer de nous à sa guise. Seule la
fidélité à la
Parole
de Dieu, une observation aveugle des préceptes de Dieu
pourraient nous
mettre à
l’abri de ses ruses.
Bernadette Soubirous et
Catherine Labouré
Le
mystère de l’incorruptibilité
D’abord,
ce
titre me paraît fort exagéré.
L’incorruptibilité est ce qui arrivera après la
résurrection lorsque
nous
serons revêtus du corps glorieux. Ce corps est celui dont le
Seigneur
Jésus
s’est revêtu après sa résurrection. Ce corps est
immortel et
incorruptible car
le péché n’a aucun pouvoir sur lui. En un mot, seul le
corps glorieux
est
incorruptible : ainsi
est-il de
la résurrection des morts. Semé corruptible, on
ressuscite
incorruptible (1Cor 15 : 42 La Bible Thompson). Si
ces corps
mystérieux de l’église
catholique étaient incorruptibles, alors ils ne devraient pas
mourir.
Les
incorruptibles ne meurent pas. S’ils sont morts cela veut dire qu’ils
ont connu
la corruption. Par conséquent, ce qui se passe dans ces corps
après la
mort est
d’origine satanique. Ensuite, si ces mystiques catholiques ont
été
rendus incorruptibles
à cause de leur foi ou de leurs souffrances, les apôtres
Pierre et Paul
ont
aussi donné un témoignage plus éclatant de leur
foi et sont passés par
de
grandes souffrances et même ont souffert le martyre. Que sont-ils
devenus après
la mort ? De la poussière. Seul le fils de Dieu en la personne
du
Seigneur
Jésus-Christ n’a pas connu la corruption de la tombe. Cela fut
annoncé
d’avance
par le prophète : Isaïe 53 : 10-11 et psaume 16 : 9-11.
Mourir, se
décomposer
et être réduit en poussière est la condition
humaine depuis la chute
d’Adam. La
corruption est une conséquence du péché et doit
visiter tout être
humain sans
exception. Ainsi le créateur l’a décidé : «…
tu es fait de
poussière et tu retourneras à la
poussière » (Genèse 3 :19). Puisque
le diable a été la cause de la corruption de notre corps,
subséquemment
il peut
aussi lui octroyer une quelconque apparence d’incorruptibilité.
Patriarches,
prophètes, rois, apôtres et disciples sont tous morts et
transformés en
poussière. Oui, les vrais serviteurs du Dieu très haut,
ceux qui sont
authentifiés par la Bible se sont soumis à la loi et
à la volonté de
leur
créateur. Ils n’ont pas su mieux faire que de devenir de la
poussière.
Le
pouvoir de la résurrection
Lazare
fut un
grand ami du Seigneur Jésus. À sa mort, le
Christ pleura et les gens s’aperçurent à quel point il
aimait cet
homme.
Lorsqu’il arriva chez son défunt ami, il ordonna d’ouvrir la
tombe et
d’une
voix autoritaire il commanda à Lazare de sortir de la tombe et
celui
qui était
mort et enterré depuis quatre jours sortit de sa tombe bien
vivant.
J’appelle
cela, le pouvoir de la résurrection. Maintenant, analysons les
faits
qui
s’articulent autour de cet événement : lorsque le
Seigneur Jésus
ordonna
d’ouvrir la tombe, que lui dit Marthe, la sœur du défunt ?
« Seigneur,
il doit sentir mauvais, car il y a
déjà quatre jours qu’il est ici. » Le
Seigneur
Jésus, a-t-il nié le fait que Lazare se soit
décomposé ? Non. Il répondit à Marthe :
« Ne te
l’ai-je
pas dit ? Si tu crois, tu verras
la gloire de Dieu. » (Jean 11 :28-44).
Ici, nous
sommes aux temps pré-apostoliques. Mieux
encore, nous sommes en présence du Dieu créateur et nous
avons un
témoignage
sur l’état de conservation du corps d’un homme reconnu comme
étant le
grand Ami
du Christ. Son corps, après avoir passé seulement quatre
jours dans la
tombe
dégageait une odeur de putréfaction. Pourquoi a-t-il
commencé à se
désagréger ?
Pourtant cet homme est l’ami du Dieu créateur ! Si
Jésus-Christ a aimé
cet
homme au point de l’arracher de la tombe, nous ne doutons pas qu’un
jour il le
prendra avec lui au ciel. Nous avons donc ici un saint de
première
classe et
vous constatez qu’à la manière de tous les serviteurs de
Dieu depuis la
création, cet homme s’est décomposé. Il faudrait
donc trouver une autre
explication aux corps incorruptibles de l’église catholique car
ils
n’obéissent
pas à la règle générale. Ils sont
mystérieux.
Après
ce
petit
examen, quelle est maintenant votre
position ? Êtes-vous convaincu de la révélation de
mes hôtes invisibles
ou
continuez-vous de défendre les corps incorruptibles comme
étant une
faveur de
Dieu ? Si oui, l’exemple suivant vous convaincra davantage.
Un
exemple concret qui est riche en
enseignement
Le
prophète
Élie était armé de la puissance de Dieu. Lors
de son défit avec les prêtres du dieu Ball, il pria et le
feu descendit
du ciel
et consuma son sacrifice. À sa prière, le feu tomba du
ciel et consuma
des
armées entières qui cherchaient à le capturer.
À sa prière, il ferma le
ciel et
la pluie ne tomba pas sur terre pendant trois ans et six mois. À
sa
prière, les
cieux s’ouvrirent et la pluie tomba de nouveau… Au lieu de mourir comme
le
commun des mortels, un char étincellent tiré par des
chevaux éclatants
de
lumière descendit du ciel et l’emporta dans un tourbillon de
vent (2
Rois 2 :
11). Mais avant d’être enlevé il légua son
autorité spirituelle au
prophète
Élisée et celui-ci demanda deux fois le pouvoir de son
maître et Dieu
le lui
accorda. Il fut célèbre et puissant comme son
maître et à la manière du
Seigneur Jésus, les miracles qu’il opérât furent
légion : la
multiplication des
pains, la guérison des malades, la résurrection des
morts, etc.
Finalement, aux
environs des années 800 avant notre ère,
Élisée, ce saint prophète de
Dieu
mourut et fut enterré. L’année suivante, une troupe de
pirates moabites
pénétrèrent dans le pays pendant que des
Israélites enterraient un mort
dans un
caveau familial. Effrayés par ces barbares, ils jetèrent
le corps du
défunt
dans la tombe où reposait déjà la dépouille
du prophète Élisée avant de
s’enfuir pour sauver leur propre vie. Le défunt dans sa chute
toucha
les
ossements du prophète, reprit vie et se dressa sur ses pieds (2
Rois 13
:
20-21). Alors, qu’a-t-on retrouvé dans la tombe du
prophète de Dieu une
année
après sa mort ? Un corps intact, imputrescible, analogue aux
corps
incorruptibles des saints de l’église catholique ? La Bible
témoigne
que des
ossements blanchis y furent retrouvés ; et sans l’ombre d’un
doute, les
années
ultérieures finiront par transformer ces ossements en
poussière. Ceci
est un
témoignage de source sûre qui démontre le
comportement des corps des
saints de
Dieu après leur mort. Je ne m’attarderai pas sur le cas du grand
Roi
David,
l’homme selon le cœur de Dieu qui s’est
décomposé selon le témoignage de la Bible que
voici : David,
lui, a servi en son temps le plan de
Dieu ; puis il est mort, il a été enterré
auprès de ses ancêtres et a
connu la
pourriture (actes 13 : 36). Quelle
explication donnez-vous maintenant à ces mystérieux corps
de l’église
catholique ? Dieu a-t-il changé ? Si changement il y a, cela ne
concerne que
les catholiques parce que la dépouille des autres
chrétiens se comporte
à la
manière du prophète Élisée : ils se
décomposent.
Parlant
des
corps incorruptibles de mon église, un
d’entre eux (Francis Savior) a étonné les docteurs qui
furent appelés à
examiner son corps : du sang frais coulait toujours d’une de ses
blessures deux
ans après sa mort. Sans l’ombre d’un doute, tous ces miracles
sont une
forme de
sorcellerie et l’église catholique s’est laissée
piéger à coups de
miracles.
C’est de la sorcellerie pure qui a trouvé le moyen de se
manifester
dans le
christianisme moderne.
Le
résultat des
miracles des corps incorruptibles qui,
apparemment a ravivé la foi des fidèles catholiques a
donné plutôt
naissance à
une forme déguisée d’adoration des morts et le culte des
morts. En
effet, ces
corps mystérieux drainent des millions de personnes qui
s’agenouillent
ou se
prosternent devant eux pour réciter le chapelet et implorer leur
intercession.
Cela est un piège de Satan et nous y sommes
tous
tombés. Ces pratiques, ainsi que l’adoration des reliques sont
vivement
encouragées et ratifiées par un décret de
l’église catholique pendant
le
concile de Trente, session XXV (5).
CHAPITRE
II
TENTATIVE
D’EXPLICATION
Les tours de
magie
Un magicien
qui se nommait Toullé, originaire de la ville de Bawku (Ghana)
nous a
impressionnés
par ses tours de magie. Entre autres miracles, il a
découpé sa langue à
l’aide
d’une lame tranchante sous nos regards. Alors, le sang giclait de sa
bouche et
se rependait partout. Mais il ne se souciait de rien. De sa main
gauche, il
tenait un morceau de sa langue ; de sa main droite, il tenait la lame
qui a
servi à sectionner la langue ; et de sa bouche grande ouverte,
on
apercevait
dans une mare de sang le bout de la langue sectionnée. Il n’y
avait pas
de
chirurgie plastique dans les années 1980. Surtout pas dans un
village
d’Afrique. Le magicien a utilisé la puissance des génies
d’Afrique pour
accomplir ce miracle. Ces genres de magiciens se nomment « des
guinamorris » en
langue moré. Lorsque le magicien a tenté de recoller le
morceau de
langue, ce
fut un vrai miracle. La langue s’est ressoudée comme si de rien
n’était
mais
nous fûmes obligés de laver le sang répandu sur la
piste car le
lendemain, les
taches de sang demeuraient toujours sur l’estrade. Cette
démonstration
de
miracle eut lieu dans les années 1980 sur la piste dansante du
bar de
mon père
connu sous le nom de « Jeunesse Bar » et le spectacle
était payant.
Parmi les
spectateurs se trouvaient des membres de la communauté
chrétienne de
l’église
catholique de la paroisse de Tenkodogo.
Ce
magicien, de connivence avec les génies
d’Afrique a réussi à sectionner sa langue et à la
ressouder sans
laisser de
traces. S’il avait voulu, il aurait pu perforer ses mains, ses pieds ou
son
flanc et le résultat escompté aurait été le
même. Alors, il aurait été
considéré comme un stigmatisé. Ceci est une preuve
qui démontre que par
la
complicité des démons, des blessures ouvertes et
profondes peuvent
apparaître
et disparaître sur le corps humain sans que cela soit l’œuvre du
Saint-Esprit.
Que dire alors des stigmatisés de notre église dont les
blessures
apparaissent,
saignent et se ressoudent sans laisser de traces ? Ces deux cas sont
analogues
et par conséquent, les mêmes types de génies,
lorsqu’ils s’intéressent
à la
religion, peuvent opérer de tels miracles au travers de nos
stigmatisés
dans le
but de gagner des âmes pour leur compte. Nous avons un bon
exemple dans
le
catholicisme : le Padre Pio, ce grand stigmatisé a porté
ses blessures
et a
saigné pendant cinquante longues années. Il lui
était impossible de
marcher car
les blessures des pieds étaient douloureuses au contact du sol.
De
plus, il
devait changer le pansement de son flanc trois fois par jour à
cause
d’abondants saignements. Mais à sa mort, toutes les blessures
ont
disparu
instantanément sans laisser de traces, exactement comme si rien
ne
s’était
passé. Il y a donc similitude et possibilité
d’assimilation entre les
expériences de certains thaumaturges catholiques et ceux des
magiciens
d’Afrique. On notera que lorsque le Christ ressuscité s’est
présenté au
pessimiste Thomas, il portait toujours les marques de sa passion (Jean
20 :
27-29).
Les
alliances
démoniaques
Dans
l’évangile de Mathieu, le chapitre 8 versets 28-34, nous relate
la
guérison
d’un homme tourmenté par une légion de démons. Cet
homme vivait dans
les
cimetières, se déchirait le corps avec des pierres,
brisait toutes les
chaînes
qui le liaient et personne n’osait s’approcher de lui. À
l’approche du
Seigneur
Jésus, ces démons l’ont supplié de ne point les
jeter dehors. Ils
demandèrent à
s’intégrer dans les corps des pourceaux qui paissaient dans les
environs. Le
Seigneur Jésus le leur permit et plus de deux mille pourceaux
furent
envahis
par ces démons et se précipitèrent tous dans la
mer. La Bible ne nous
dit pas ce
que sont devenues ces infortunées bêtes au milieu de la
mer. Mais, ici,
nous
avons affaire à un type spécial de démons qui ne
vivent que dans un
corps
animal. À coup sûr, ils ne sont pas rentrés dans
ces pourceaux pour
ressortir
de nouveau. Ils y seront restés car c’est leur nouvelle demeure.
Et
s’ils
veulent y demeurer, il leur faudra obligatoirement opérer un
miracle de
conservation. Depuis la révolte des anges, ils ont
été précipités sur
terre et
nos corps constituent leurs nouvelles demeures. Mais s’il arrive que
les démons
qui habitent dans un corps humain se révèlent être
des démons
religieux, alors,
nous avons la chance d’avoir « un
saint
». Après la mort de « ce saint », les
démons emprisonnés dans ce corps
qui,
autrefois était leur domicile, sont capables de le maintenir
intact. Ce
corps
sera alors considéré comme incorruptible.
Exemple
pratique
L’exemple
suivant est celui d’un corps humain à l’article de la mort et
pourrait
aider à
comprendre la puissance des démons. Mon père qui animait
la chorale en
latin
dans l’église catholique était un bon catholique. Il
avait aussi
accumulé
beaucoup de fétiches car à leur époque,
c’était le seul moyen de se
protéger
contre la magie noire et la sorcellerie africaine qui, sauvagement, ravageaient beaucoup d’âmes innocentes. En
effet,
de
méchantes personnes ont tenté en vain de le tuer.
Finalement, ils
disaient que
mon père était immortel. Mais il tomba malade à
l’âge de soixante ans
et un
hôpital de Bordeaux en France détecta un cancer primitif
du foie. Les
docteurs
avouèrent qu’ils étaient désarmés devant ce
type de cancer et lui
donnèrent
trois mois pour mourir. Au retour de la France, sa maladie s’est
aggravée de
sorte que les signes de la mort étaient visibles. Sachant sa
mort
prochaine, il
nous informa qu’un fétiche était enterré au chevet
de son lit, et tant
que ce
fétiche n’était pas détruit, il lui serait
difficile de mourir. Ce
fétiche
avait la propriété de le maintenir en vie quelles que
soient les
circonstances.
Le nom de ce fétiche est « kaosyinga » en langue
moré, ce qui signifie
littéralement « vivre longtemps ». Ce fétiche
existe un peu partout en
Afrique
de l’Ouest et beaucoup de vieilles personnes l’utilisent. Il nous
exhorta donc
à détruire ce fétiche au cas où son agonie
perdurerait. Effectivement,
son
agonie a été longue et finalement tout le monde
était épuisé de
l’assister.
Quand bien même le fétiche fut détruit il refusait
de mourir. Un de nos
cousins
s’est souvenu qu’un marabout avait enterré un autre
fétiche du même
type au
pied de la terrasse l’année où sa maladie s’était
déclenchée. Nous
avons donc
décidé de creuser et de le détruire aussi.
Pourtant notre père n’avait
pas fait
mention de celui-ci. Peut-être que, miné par la maladie,
il a dû
l’oublier. Ou
peut-être aussi qu’il ne lui accordait aucune importance.
Après avoir
creusé
nous avons recouvré le fétiche et un cousin l’a
brisé par un coup de
pioche. À
l’instant précis, le père agonisant poussa un grand
soupir. Il venait
de
mourir.
Ce sont les
démons de ce fétiche qui le maintenaient
en
vie et des
exemples de ce type se comptent par milliers en Afrique. Si vous avez
de la
peine à me croire, renseignez-vous auprès des
prêtres et pasteurs
africains qui
servent en Afrique de l’Ouest et vous saurez toute la
vérité. Voyez, si
les
démons sont capables de maintenir un corps en vie, ils ont aussi
la
capacité de
le maintenir intact après la mort. Si ce corps est leur demeure
et leur
temple,
et s’il s’agit de démons religieux qui ont soif de l’adoration
des
hommes,
alors, il n’y a pas d’autres solutions pour eux que de faire de ce
corps un
objet de culte autour duquel se rassembleront les gens de toutes
langues.
Puisque le diable est la cause du péché, de la mort et de
la corruption
de
notre corps, il est aussi capable de le rendre incorruptible d’une
manière
quelconque après notre mort. Oui, le diable est capable de se
jouer des
lois de
la nature afin de tromper les chrétiens et de les
éloigner du véritable
Dieu.
Si le diable veut réussir à détruire les
chrétiens qui le dérangent par
leur
foi, il fera mieux de se présenter en chrétiens, en anges
de lumière.
Si la
sorcellerie cherche à s’infiltrer dans les milieux
chrétiens, elle n’a
pas
d’autre alternative que de prendre des apparences chrétiennes.
Magdalena de
la Cruz (1487-1560)
Cette
religieuse Franciscaine reçut les stigmates et saigna pendant
trente-neuf
longues années. Elle était par conséquent
vénérée comme une sainte de
son
vivant. Mais en 1543, elle tomba malade et déclara que ses
stigmates
n’étaient
pas l’œuvre de Dieu. Elle admit que ses blessures (stigmates)
étaient
authentiques mais qu’elles ont été causées par le
diable (6). On
qualifia alors
ses stigmates de « stigmates diaboliques » et l’inquisition
catholique
l’incarcéra pendant dix-sept ans dans une prison franciscaine
jusqu’à
sa mort.
Pour ce faire, le pape Bénédicte XIV rédigea un
guide qui aide à
reconnaître
les vrais stigmates. Ceci est une preuve pour l’église que le
diable
est
impliqué dans cette affaire des stigmates. Pour ma part, cette
religieuse Franciscaine
est une pionnière de la foi chrétienne car elle fut la
première à
révéler
l’origine diabolique des stigmates. D’autres stigmatisés ont
certainement
détecté l’ingérence du diable dans cette
expérience douloureuse, mais
l’ont mal
interprétée. Peut-être aussi que, pour
éviter le ridicule et la
moquerie
cruelle des hommes, ils ont choisi de garder le silence quitte à
régler
cette
affaire directement avec le bon Dieu. Cette brave
religieuse
qui vivait dans un couvent n’a pas obtenu les stigmates par suite d’une
vie de
débauche telle que la prostitution ou l’ivrognerie. C’est le
recueillement
intense et la pratique excessive du catholicisme qui
provoquèrent ces
stigmates. Cela démontre qu’il y a du danger dans la pratique
exacerbée
du
catholicisme.
Tous
les stigmatisés sans exception passent
par des attaques démoniaques et sont torturés par les
forces du mal.
Pourquoi
cela ? À mon avis, c’est parce que le diable a élu
domicile dans leur
corps.
Pour preuve : combien de fidèles serviteurs du Dieu Elohim ont
déjà
affirmé
avoir été tourmentés par les démons ?
Aucun. Citez tous les apôtres,
tous les
prophètes, tous les rois, tous les patriarches et vous verrez
qu’aucun
d’eux ne
fut tourmenté par le démon lorsque leur vie était
en règle avec
l’Éternel. Mais
lorsque vous êtes dans l’antre du diable, alors vous serez la
proie des
démons.
Les
stigmates
du Seigneur Jésus et de l’apôtre Pierre ont
été provoqués par les clous
qui ont
perforé leur chair, fendue leurs tendons, et brisé leurs
os pendant
l’horrible
épreuve de la crucifixion. Par contre, les stigmatisés de
notre temps
reçoivent
leurs blessures à la suite d’une visitation de la Vierge Marie
ou par
un ange
qui leur projette un faisceau lumineux. Il se pose ici un
problème
d’authenticité. De même, ils racontent que lorsqu’ils sont
tourmentés
par
Satan, c’est la Vierge Marie qui vient le chasser et les
réconforte.
Pourtant,
de son vivant, la Vierge Marie n’a chassé aucun démon.
Mais pourquoi se
trouvent-elle maintenant au centre de tous ces phénomènes
?
Les
souffrances et la mort des visionnaires
Les
détails
qui ont attiré mon attention se trouvent aussi dans le fait que
les
visionnaires catholiques souffrent beaucoup, perdent beaucoup de sang
et en
général ils meurent de maladies. Bernadette Soubirous est
morte de
tuberculose
et d’asthme, Jacintha et Francisco sont morts de pneumonie et de
tuberculose,
la sœur Faustine est morte par suite d’énormes souffrances
physiques,
Jean-Marie Vianney rapporte que trente ans durant, il fut l’objet
d’attaques
démoniaques tels que des bruits étranges, des menaces,
des objets qui
furent
jetés sur lui, en plus, il souffrait de rhumatismes, de
fièvre, de
sévères maux
de tête, des maux de dents, etc. qui ont fini par l’emporter.
Thérèse
N.
souffrait entre autres de convulsions, d’aveuglement, de mutisme, de
paralysie
et d’assourdissement. Padre Pio rapporte
avoir été plusieurs fois torturé par les
démons. Le saint Curé d’Art
reporte
être constamment tourmenté par le démon ; saint
Gemma Galgani dit avoir
été
sévèrement battu par le diable pendant la prière
du soir ; Saint
François
d’Assise pendant son passage à Rome fut battu par un groupe de
démons
et fut à
moitié mort, etc. (2,3,7). Quelles que soient les explications
données
par
l’Église, je ne manquerai pas de souligner qu’aucun
prophète, aucun
patriarche,aucun apôtre du Seigneur
Jésus,
aucun chrétien des temps
apostoliques n’est mort dans les conditions ci-dessus
énumérées. Ils
sont morts
sous le poids de l’âge ou rejetés par ce monde. Aucun
d’eux n’a jamais
été
torturé par le diable. Lorsque le Dieu Saint opère des
miracles à
travers un
homme, le démon ne peut pas le tourmenter. Mais lorsque l’Esprit
de
Dieu
abandonne un homme parce que Dieu l’aurait rejeté,
alors les démons peuvent le prendre en otage. Ce fut le cas du
roi Saul
(1
Samuel 16 : 14).
En
vérité, ces
tortures et bastonnades que vous percevez sont les échos de ce
qui se
passe
réellement dans les prisons spirituelles.
Les
blessures
que portent les mystiques de l’église catholique ainsi que
toutes les
souffrances qu’ils endurent sont appelées « souffrances
co-rédemptrices
». Dans
ce cas, pourquoi la Vierge Marie n’a-t-elle pas porté de
stigmates
durant sa
vie ? Cela aurait été juste puisqu’elle porte le titre de
co-rédemptrice dans
l’église catholique.
Nos
fameux stigmatisés ou ceux dont le
corps
demeure intact après la mort et qui opèrent des miracles
auraient reçu
ces dons
sur la base des apparitions de Marie ou de Jésus-Christ.
Pourtant,
aucun de
ceux qui ont marché avec Jésus-Christ et qui l’ont
touché, aucun de
ceux à qui
il est apparu après sa résurrection n’a porté de
stigmates. La célèbre
Marie de
Magdala fut le premier témoin à observer le corps
glorieux du Seigneur
ressuscité. Elle courut pour l’embrasser et le seigneur lui dit
: « Ne
me retiens pas,
car je ne suis pas encore monté vers mon père… »
(Jean 20 :17). A-t-elle
porté de stigmates
? Non. Si les stigmates avec les grandes souffrances qui les
accompagnent
émanaient de Dieu, alors tous les apôtres auraient
dû expérimenter ces
mêmes
phénomènes et aujourd’hui ce prodige ne poserait aucun
embarras pour le
monde
chrétien.
Les
stigmates
de l’apôtre Paul
L’apôtre
Paul
à qui Jésus-Christ est apparu sur la route de Damas n’a
jamais porté
les stigmates
comme certains le prétendent. S’il était
stigmatisé, il lui serait
impossible
d’effectuer à pied ces grands voyages missionnaires à
travers le vaste
empire
romain. Nous savons cela à travers l’expérience de Padre
Pio parce que
les
blessures des pieds l’empêchaient de marcher. De même,
lorsque Myrna
Nassour,
l’actuelle stigmatisée de Damas en Syrie reçoit ses
stigmates, elle
garde
toujours le lit car elle traverse d’énormes souffrances. Ce sont
des
blessures
douloureuses qui refusent aux pieds tout contact avec le sol. Par
contre,
l’apôtre Paul a porté les cicatrices des supplices qui lui
furent
infligés par
les opposants de la foi chrétienne. Ces cicatrices sont aussi
des
stigmates car
selon l’explication du Larousse le mot stigmate signifie aussi «
toute
marque
laissée par une plaie ». Ceux-ci sont différents
des blessures
profondes de nos
mystiques. Voici le témoignage de l’apôtre :
–
Des
juifs vinrent d’Antioche de Pisidie et
d’Iconium et ils gagnèrent la confiance de la foule. On jeta des
pierres contre
Paul pour le tuer, puis, on le traîna hors de la ville, en
pensant
qu’il était
mort (actes 14 : 19).
–
Paul
et Silas, après avoir été battus à coups
de fouet furent jetés dans la prison de Philippes. Mais à
minuit,
lorsqu’ils
chantaient les louanges de l’Éternel, tout à coup il y
eut un violent
tremblement de terre qui secoua les fondations de la prison et toutes
les
portes de la prison s’ouvrirent et les chaînes des prisonniers se
détachèrent…
« Le
gardien les emmena à cette heure même de la nuit pour
laver leurs
blessures. » (Actes 16 : 33).
–
Cinq fois j’ai reçu des juifs la série des trente-neuf
coups, trois fois j’ai été battu à coups de fouet
par les romains et
une fois
on m’a blessé en me jetant des pierres… (2 corinthiens 11 :
24-25).
–…
les cicatrices que je porte sur mon corps prouvent que
j’appartiens à Jésus (Galates 6 : 17). Autant
de preuves qui
démontrent que les prétendues stigmates de l’apôtre
Paul ne sont rien
d’autres
que les cicatrices reçues pendant les nombreux sévices
ci-dessus
énumérés.
Corps
incorruptible de Padre
Pio
La confusion
La
similitude
des expériences mystiques des thaumaturges Catholiques nous
empêche
d’identifier avec précision les acteurs cachés
derrière ces phénomènes.
S’agit-il d’anges rebelles de Dieu ou ses bons anges ? D’une part, nous
avons
des anges de Dieu qui projettent des faisceaux lumineux sur le corps
des
victimes afin de faire paraître les stigmates. C’est une
expérience
très
douloureuse qui fait défaillir ces thaumaturges. Après
cela suivent les
saignements, les maladies, les jeûnes, etc. Il n’y a que pure
souffrance et
douleur. D’autre part, nous avons encore d’autres anges de Dieu qui eux
aussi
torturent nos victimes par des bastonnades prolongées, des
objets qui
sont
projetées sur eux, des cauchemars, des bruits étranges,
etc. Dans les
deux cas,
aucun des groupes d’anges n’agit mieux car tous provoquent douleurs et
souffrances. Ils sont donc assimilables. Si vous devez prononcer un
jugement
sans parti pris pour une église, parlant des anges déchus
de Dieu, vous
ne
pouvez exclure la permanente possibilité d’une tromperie car ils
se
révèlent
toujours sous une fausse identité lorsqu’ils cherchent à
tromper. Des
démons
qui portent un double manteau et qui jouent une politique à
double
face. Par
conséquent, le phénomène non biblique de
stigmatisation ou de
l’incorruptibilité du corps se révèle clairement
être une de leur
supercherie
la mieux réussie.
Importantes
remarques
Y
a-t-il eu des stigmatisés avant l’ère chrétienne ?
Le mariage
spirituel
Lors de son
passage sur la terre, de son gré, le Christ Jésus ne
s’est pas marié à
une
femme. Pourtant, ni les Saintes écritures ni la loi juive ne
l’en
empêchaient.
Aucun passage biblique et aucun document historique fiable ne
révèlent
qu’il
s’est marié. Le film sur la dernière tentation du Christ
ainsi que le
livre sur
le code de Vinci sont des mensonges grossiers. Mieux que cela,
notre rédempteur, Jésus de Nazareth nous a clairement
enseigné que les
corps
ressuscités ne se marient pas car ils sont comme les anges du
ciel.
Nous lisons
: Jésus leur répondit : «
Vous vous trompez parce que vous ne
connaissez ni les écritures ni la puissance de Dieu. En effet,
quand
les morts
se relèveront, les hommes et les femmes ne
se marieront
pas, mais
ils vivront comme les anges dans le ciel. » (Mathieu 22 : 29-30).
Jésus-Christ étant le
premier corps ressuscité, il va sans dire qu’il ne peut se
contredire
et par
conséquent il ne se mariera pas. Pourtant, des femmes
stigmatisées de
l’église
catholique (Sainte Catherine de Sienne en 1367 et Sainte Catherine de
Ricci en
1542) révèlent qu’elles ont été
mariées au Seigneur Jésus-Christ en
présence de
la Vierge Marie et de certains saints. Elles disent qu’elles portent
leur bague
de mariage en or ou en diamant que les mariées seules peuvent
voir. Il
est donc
clair que ces stigmatisées se sont bien mariées et leur
époux leur
donne le
pouvoir d’opérer des miracles. Mais au vu de l’enseignement du
Christ
cité dans
Mathieu 22 :29 ; on
peut
donc se demander : à quel Jésus se
sont-elles mariées ? Au vrai Jésus ou au faux
Jésus qui est un démon
religieux
? À vous d’en juger. En ce qui me concerne, je sais par
expérience que
tout
mariage spirituel est satanique car seuls les anges rebelles de Dieu
(les
démons) peuvent violer cette loi de Dieu pour se marier aux
femmes de
la terre.
Gravure
antique : Ste Catherine de Sienne Ste
Catherine de Ricci
Depuis le XIXe
siècle on peut énumérer un millier de
stigmatisés et incorruptibles
dans
l’église catholique. Dans cette étude, je n’ai
considéré qu’une dizaine
de cas
seulement. Mais si vous faites des investigations sérieuses et
profondes dans
la vie des saints du catholicisme et lorsque vous confrontez le
résultat de ces
investigations à la Parole de Dieu, vous découvrirez un
nombre infini
de faits
qui vous surprendront et qui bouleverseront complètement votre
foi
catholique.
Avant de
conclure, je citerai deux autres petits exemples qui aideront à
réfléchir sur
ces phénomènes qui se veulent chrétiens. Il s’agit
du cas de Saint
Denis. Cet
homme aurait été le premier Évêque de Paris
en 250. Décapité sur
l’ordre du
consul Fescennius, il se serait relevé pour prendre sa
tête dans sa
main et se
diriger au cimetière. Une sculpture du début XVe
siècle relate en effet
cet
événement (19). Avez-vous déjà vu un tel
phénomène dans toute
l’histoire du
christianisme ?
St
Denis
Je citerai
aussi le cas de sœur Lukardis d’Oberweimer (1276-1309) qui fut une
stigmatisée
peu commune et dont le cas ne fut connu du public qu’en 1899
grâce aux
archives
(Analecta) des Bollandistes. Pendant deux années
consécutives, elle
frappa avec
violence la paume de sa main à l’aide de son doigt (le majeur)
et le
bruit
assourdissant qui en résultait était semblable à
celui d’un marteau qui
battait
une enclume. L’exercice se répétait deux fois par jour
à la même heure
: six
heures et midi. Quelques années plus tard, les stigmates
apparurent. De
jour
comme de nuit, elle se mettait à courir avec une telle
vélocité que
même les
hommes les plus robustes avaient du mal à la rattraper. Des
fois, elle
courait
droit devant elle, parfois, elle courait en rond. Lorsqu’elle
était
enfermée
dans une maison et ne pouvait courir, alors, elle se heurtait
brutalement aux
murs. Il y avait aussi des jours où, couchée, elle
tournait sur
elle-même
pendant longtemps comme une pièce à la broche
rôtissant au feu.
Parfois, alors
qu’elle était couchée, on la retrouvait dans une position
bizarre «
appui tendu
relevé » : son corps se soulevait verticalement, les pieds
en l’air et
elle
demeurait dans cette position pendant des heures, ne reposant que sur
la tête
et sur une épaule (7)… Chacun pourra analyser ces faits selon
son degré
d’instruction et suivant sa foi. De mon côté, je pense que
tout ceci
est
l’œuvre des démons religieux. Je pousse la réflexion
jusqu’à suggérer
que les
démons religieux qui opèrent dans ces stigmatisés
auraient participé au
crucifiement du Seigneur Jésus et en ont été
affectés. C’est peut-être
pour
cette raison qu’ils répètent inlassablement la
scène du crucifiement
sur nos
stigmatisés. Christ a souffert une fois pour tout. La souffrance
co-rédemptrice
à mon avis est une aberration.
Conclusion
du
chapitre
–
Considérant
le fait qu’aucun patriarche, aucun roi, aucun prophète des temps
bibliques n’a
porté de stigmate et n’a jamais été trouvé
intact longtemps après sa
mort ;
–
Considérant le fait que ni les apôtres du Seigneur
Jésus-Christ, ni les premiers chrétiens n’ont
expérimenté le phénomène
de
stigmatisation et l’incorruptibilité du corps après la
mort ;
–
Étant donné que le Dieu de gloire en la personne du
Seigneur Jésus-Christ n’a point fait
mention ni
confirmé de tels phénomènes lors de son passage
sur terre ;
–
Compte tenu du fait que le phénomène est purement
catholique et n’affecte pas toutes les églises
chrétiennes ou
évangéliques ;
–
Vu la quantité de sang qui se déverse pendant ces
expériences mystiques ;
–
Vu les attaques démoniaques et les souffrances atroces
que subissent ces victimes ; de concert avec mes hôtes
invisibles, j’en
viens à
conclure sans risque de me tromper que :
Le
phénomène
de stigmatisation et de l’incorruptibilité des corps des saints
de
l’église
catholique ne sont pas bibliques, encore moins chrétiens et par
conséquent ils
ne portent pas la signature du Dieu d’Abraham. Leurs origines sont
diaboliques
et constituent une nouvelle forme de sorcellerie moderne la plus
sévère.
Je ne
voudrais pas tirer de conclusions hâtives pour l’instant. Mais le
caractère
diabolique des incorruptibles et des stigmatisés m’oblige
à suggérer
que ma
très chère et bien-aimée église catholique
n’est pas une église
chrétienne.
Nous avons hébergé trop de démons religieux et ils
nous ont conduits
loin des
vérités bibliques et chrétiennes. Il est plus que
temps de réagir.
CHAPITRE
III
LES
APPARITIONS MARIALES
Des
fois,
il suffit d’une petite
étincelle pour provoquer un grand incendie. La
révélation sur la
création du
septième jour que nous verrons bientôt a secoué
toutes les assises de
mon corps
et réveillé aussi mon intellect. La découverte des
démons religieux et
leurs
supercheries sur les stigmatisés et les corps incorruptibles ont
remis
en cause
les fondements de ma foi catholique. Maintenant, rien ne va
m’empêcher
de
douter de tous les phénomènes spirituels qui ne
bénéficient pas du
témoignage
de la Sainte Bible. Rien ne va m’arrêter de douter de toutes les
religions
malgré leurs apparentes formes de pureté et d’innocence.
Ainsi donc,
n’ayant
reçu aucune instruction spéciale de mes hôtes
invisibles, je vois
néanmoins que
les apparitions de la Vierge Marie avec ses grands miracles sont
d’origine
satanique, une nouvelle stratégie des démons religieux.
I.
Introduction
au culte marial
Les
apparitions mariales
Depuis la
résurrection du Seigneur Jésus jusqu’à nos jours,
les apparitions
mariales sont
les plus spectaculaires dans le monde chrétien. Il est difficile
de
donner une
date départ pour les premières apparitions car certains
documents
témoignent
qu’elles auraient commencé du vivant de la Vierge Marie aux
environs
des années
quarante (18). Mais c’est précisément le 27 novembre 1830
que s’ouvre à
Paris,
148 rue du Bac, la première série d’apparitions mariales
qui se
répandra dans
toute l’Europe avant de se propager dans le monde entier. Le XXe
siècle
est
considéré comme le siècle de Marie à cause
de la multitude de ses
apparitions
dans le monde. De nos jours, le phénomène s’intensifie et
les miracles
qui en
émanent sont de nature à sidérer l’homme le plus
sage de ce monde. Ces
apparitions sont sans doute approuvées par le Saint-Siège
de Rome ou
par le
clergé catholique de la localité concernée.
Lorsque la Reine des cieux
apparaît, elle guérit des milliers de malades, donne des
conseils et
des
avertissements sur l’avenir, sollicite la construction de chapelles
à
son
honneur, encourage la prière du chapelet, etc. Tous les
illuminés qui
ont eu le
privilège d’être visités par la mère du
divin sauveur opèrent eux-mêmes
des
miracles et possèdent des dons surnaturels et extraordinaires.
Parmi
eux se
comptent les stigmatisés et les incorruptibles. La Madone occupe
une
place de
choix dans l’église catholique où elle est
vénérée sous des titres
honorifiques
tels que : reine des anges, reine des archanges, reine des patriarches,
reine
des prophètes, reine des apôtres, reine du monde à
venir, Ève nouvelle,
cité de
Dieu, demeure de la sagesse, porte du ciel, refuge des pécheurs,
mère
de
l’église, mère du perpétuel secours… (9).
L’objectif de ce chapitre qui
sera
long et peut-être fastidieux, voudrait démontrer que ces
apparitions
mariales
avec tous les phénomènes inhérents ne proviennent
pas du Dieu
d’Abraham. Il est
une première tentative de démasquer les ruses du diable
qui a fait du
catholicisme un instrument efficace pour la ruine des âmes.
II.
Critique du phénomène et identification de la dame
des apparitions
Durant mon
vagabondage religieux qui m’a conduit à séjourner dans
les différentes
religions et sectes, je peux dire que mes amis Témoins de
Jéhovah et
Protestants n’ont pas réussi à me convertir à leur
religion. Cependant,
les
démons religieux quant à eux, ont réussi à
changer ma manière de
percevoir le
monde. Leurs attaques et leurs fourberies que j’ai réussi
à démasquer par la grâce de Dieu m’ont contraint
désormais à observer
une
discipline infaillible qui me préserve désormais de
l’erreur. Il s’agit
de
comparer toute expérience spirituelle à la lumière
de la Sainte Bible.
Le
filtre le plus rassurant, le microscope le plus puissant permettant de
desceller les ruses et les embûches du malin est La Parole de
Dieu : « Il
est écrit ».
Les mêmes méthodes
utilisées par le Seigneur Jésus face au diable lors de la
tentation au
désert
sont valables pour toute personne cherchant à démasquer
les subterfuges
du
malin. De ce fait, j’utiliserai cette méthode du Christ dans mon
étude
critique
sur le phénomène marial. Si Marie bénéficie
du témoignage de la Bible,
alors
nous ne courons aucun risque d’implorer son assistance.
Cette grande
dame a donné son fils au monde et son fils a créé
une grande religion
et a
offert sa vie en sacrifice pour la rédemption de
l’humanité.
Finalement, comme
tout être humain elle a rejoint ses ancêtres dans la mort
après avoir
mené une
vie simple auprès de son divin fils et des saints apôtres.
Après sa
mort,
l’église catholique déclara en 1950 qu’elle est
ressuscitée et montée
au ciel
corps et âme. C’est cela l’Assomption de la Vierge Marie. Contre
toute
attente,
et sans être annoncée au préalable par la Bible
à la manière dont Jean
le
Baptiste fut annoncé, la Vierge Marie commença à
apparaître partout
dans le monde
et opère des miracles qui émerveillent la science. De
plus, ceux qui
ont eu le
privilège de l’observer pendant les apparitions sont devenus des
célébrités de
leur vivant et même morts, leur dépouille attire des
millions de
pèlerins.
Cependant, il convient de se poser la question suivante : cette dame
des
apparitions, est-elle vraiment la mère de notre Seigneur
Jésus-Christ
ou est-ce
là encore une ruse du diable afin de perdre des âmes ?
Après la chute
de
l’homme dans le jardin d’Éden, Dieu dans sa grâce
incommensurable a
pourvu un
rédempteur qui nous a réconciliés avec lui. Alors,
ces fameuses
apparitions
mariales sont-elles une seconde tromperie du malin dans le but de nous
éloigner
de nouveau du véritable Dieu ? Puisqu’il s’agit de notre
âme immortelle
que le
diable cherche à ravir, alors, endons-la-lui cher. Examinons
sans
complaisance
ces phénomènes à la lumière de la Bible
afin de démasquer si possible,
les
ruses du malin. Si le diable veut réussir à tromper les
chrétiens, il
est de
son intérêt de se présenter à nous sous le
pseudonyme de Jésus-Christ,
de la
Vierge Marie ou d’un saint quelconque du passé. Si le diable a
eu
l’audace
d’attaquer le Christ Jésus, le Verbe de Dieu en utilisant des
passages
de la
Bible, alors, il est capable aussi de nous tromper et de nous conduire
dans
l’hérésie en utilisant tout ce qui constitue les
fondements de notre
foi
catholique. Néanmoins, le Dieu créateur dans sa sagesse
infinie devrait
provoquer des failles afin de nous permettre de le retrouver, de
reconnaître ses
œuvres et de démasquer les manigances du malin.
Dans cette
enquête mariale, l’erreur n’est pas permise ; car s’il y a
erreur, les
conséquences seront éternelles et irréversibles.
Pour ma part, je ne
trouve
aucun problème de critiquer ou de rejeter les apparitions
mariales.
Parce que
le Dieu de vérité ne jettera personne en enfer pour avoir
tenté de le
chercher.
Ce n’est pas votre église ou la Vierge Marie qui sauvera
l’âme
pécheresse. Le
salut s’obtient seulement et uniquement par la foi en
Jésus-Christ. Il
y a
surtout problème lorsque les apparitions mariales sont de type
satanique et que
l’homme, par manque de persévérance ou de connaissance
accepte la chose
et se
laisse piéger par les conspirations du dieu de ce monde. N’ayons
donc
pas peur
d’examiner le phénomène marial avec suspicion car avant
tout, il s’agit
de
notre âme qui se trouve en péril.
Notre
Dame d’Afrique
Assomption de Marie
Marie
Nous savons que Marie
n’était pas du tout
vénérée au premier siècle. Bien sûr,
pour avoir été la mère de Jésus,
elle
était une figure emblématique du christianisme mais elle
n’y jouait pas
un rôle
monumental et le récit de la Bible en atteste. Le culte marial
débuta
précisément au Ve siècle lorsque le concile
d’Ephèse la promulgua au
rang de
mère de Dieu. Ce concile marqua donc la naissance et la
montée en
puissance du
culte marial. Les « grandes Dames » de l’époque,
pour montrer
l’importance du
rôle de la femme dans le salut, saisirent l’opportunité et
firent une
promotion
hors mesure du culte marial. Par la volonté des femmes, Marie
devint
alors un
puissant modèle d’exemple de femme dans l’église et
membre de la cour
de Dieu.
De nos jours elle est un des piliers centraux du catholicisme et aussi
un sujet
de grande controverse dans le christianisme.
Le droit divin
Voici ce que déclare
la loi
de Dieu : « Tu ne
te
fabriqueras aucune idole, aucun objet
qui représente ce qui est dans le ciel, sur la terre ou dans
l’eau sous
la
terre ; tu ne t’inclineras pas devant des statues de ce genre, tu ne
les
adoreras pas… » (Exode 20 : 4 -5). Cette
loi a
été
réitérée dans Deutéronome
4 :
16 que
voici :
« Ne
tombez donc pas dans le péché en vous
fabriquant des idoles, des images représentant des
divinités, des
hommes ou des
femmes…
».
Partant
de
là,
on peut dire sans se tromper
que toutes ces images et statues de la Vierge Marie, de
Jésus-Christ,
des
apôtres, des anges gardiens, etc. sont une violation
élémentaire de la
loi de
Dieu. Apparemment il n’y a aucun problème de décorer sa
maison avec des
images
de son Dieu ou des portraits de certaines personnes qui ont notre
affection. Si
vous affichez une image du Christ ou de sa mère dans votre
chambre,
cela
pourrait être acceptable dans une certaine mesure quand bien
même la
loi divine
l’interdit. Encore faut-il être sûr que ces images sont
authentiques
car
l’étude du saint suaire démontre que les iconographes se
trompent
souvent et
ces images varient d’un pays à l’autre selon les cultures. Par
exemple,
la
Vierge Marie des siècles passés était grosse et
bien potelée. Dans
notre siècle
avec la diète, on la dessine mince et élancée. Il
y a aussi Notre Dame
d’Afrique où Marie est africanisée. Les images de
Jésus-Christ ne se
ressemblent pas du tout et il est fort possible que vous adorez l’image
d’un
Juif quelconque du temps du Christ. Néanmoins cela pourrait
être
tolérable à un
certain degré. Mais lorsque vous vous agenouillez devant ces
figurines
pour dire
une prière, c’est de l’idolâtrie quelles que soient les
excuses
avancées. C’est
exactement ce que nous faisons dans l’église catholique. Une
contradiction des
préceptes de la Bible. Si vous voulez être un vrai
chrétien, vous devez
être
biblique. Autrement, vous risquez de pratiquer un christianisme
adapté
à vos
caprices et le dieu qui vous répondra sera différent du
Dieu d’Abraham.
Le
culte idolâtrique marial n’est rien d’autre que de
l’hérésie.
L’iconographie
est une ruse savamment planifiée par le diable afin de perdre
des âmes.
La
justification du
culte idolâtrique
En 787, le
septième concile œcuménique de l’église catholique
a autorisé la
fabrication
des icônes et le culte idolâtrique des icônes pour le
simple fait que
les
personnes qui y sont représentées furent des êtres
humains ayant
possédé un
corps physique et une âme. Le concile a ainsi annulé
l’ordonnance de
Dieu.
Pourtant, le Dieu d’Abraham a dit : « Par
contre, je leur ai ordonné ceci : écoutez
ce que je vous dis, pour que je sois votre Dieu et que vous soyez mon
peuple.
Suivez exactement le chemin que je vous ai indiqué et vous vous
en
trouverez
bien. » (Jérémie 7 : 23-24). Même
si le septième concile œcuménique a
autorisé de telles représentations graphiques, nous
devons reconnaître
néanmoins que le concile n’a aucun pouvoir, aucun droit, aucune
compétence
légale d’abroger la volonté et les lois de Dieu.
Même le fils de Dieu
en la
personne du Seigneur Jésus-Christ s’est jugé
incompétent devant de
telles
abrogations lorsqu’il déclara : « Ne
pensez pas que je sois venu pour supprimer
la loi de Moïse et l’enseignement des prophètes. Je ne suis
pas venu
pour les
supprimer mais pour leur donner tout leur sens. Je vous le
déclare et
c’est la
vérité : aussi longtemps que le ciel et la terre
dureront, ni la plus
petite
lettre ni le plus petit détail ne seront supprimés de la
loi, et cela
jusqu’à
la fin de toute chose. » (Mathieu 5 : 17-18).
Vous voyez, les mêmes lois
rudimentaires du temps de Moïse sont toujours en vigueur et
attestent
que
l’iconographie est une déviation, une forme moderne
d’idolâtrie.
Peut-être
que
c’est le concile œcuménique qui a fondé le christianisme
et peut donc
s’approprier le droit de tronquer les lois de Dieu. Dans le cas
contraire, il a
trouvé les choses telles et n’a aucune compétence
constitutionnelle
divine de
les remanier surtout que ces restructurations sont aux antipodes des
préceptes
de Dieu clairement griffonnés dans la Bible sous le titre
« les dix
commandements. » Ma démonstration n’est pas guidée
par un excès de
zèle. Ce
n’est pas non plus du fanatisme aveugle ni de l’extrémisme
religieux,
mais
simplement un constat amer et douloureux de la violation du droit divin.
Le Pape
protestant ou le réveil de la conscience catholique
Aux environs
des années 610, une voix criait dans le désert : «
Il n’y a pas de Dieu
sauf
Allah. » C’était la voix triomphante du prophète
Mahomet qui annonçait
la
naissance de l’Islam. Cette nouvelle religion monothéiste qui
considérait les
représentations graphiques des êtres célestes comme
une forme
d’idolâtrie
connut dès sa naissance un succès fulgurant qui
menaçait de phagocyter
le
christianisme. Le Pape Léon V se posa alors une question :
« Pourquoi
le
christianisme connaît-il un échec cuisant devant cette
religion ? » Il
consulta
Les Saintes Écritures et s’aperçut que les images et les
icônes sont
une
déviation spirituelle, une forme d’idolâtrie moderne et un
culte
blasphématoire
au Dieu très haut. Il fut convaincu que la naissance de l’Islam
était
une
punition de Dieu sur les chrétiens parce qu’ils remplissaient
leurs
maisons et
leurs églises d’idoles et qu’ils se prosternaient devant ces
statues
pour
adorer. Une prostitution spirituelle proscrite par le Dieu de la Bible.
Par conséquent,
en 815, il envoya des troupes militaires partout dans le royaume pour
détruire
icônes, statues et images de Jésus-Christ, de Marie et de
tous les
saints. Ce
fut fait mais non sans résistance car beaucoup choisirent de
mourir
pour
défendre leurs icônes. L’iconographie est donc possessive.
Mais trente
ans plus
tard, l’iconographie fit un retour en force grâce à
l’empereur Théodore
qui le
restaura officiellement en 843. Pour elle, les icônes sont un
acte de
foi et
non de l’idolâtrie (11). De nos jours, l’église catholique
enseigne que
les
icônes sont des supports visuels qui aident à prier. Ainsi
donc, nous
avons
trouvé une porte de sortie et une bonne excuse pour contester
les lois
de Dieu.
Les mosquées, les synagogues et les autres églises
chrétiennes ont
débarrassé
leurs lieux de prière de toutes images qui pourraient être
considérées
comme
des idoles. C’est ainsi que Dieu l’a voulu. Mais dans certaines
églises
catholiques richissimes, des fois, il y a plus de statues que de
fidèles.
Dans les
synagogues,
les mosquées et les églises chrétiennes, seul le
nom de leur Dieu et de
leur
prophète sont mentionnés pendant leurs prières.
Mais, nous, les
catholiques,
nous invoquons le nom de notre Dieu Jéhovah et de son
prophète Jésus.
Ce qui
est juste. Mais nous invoquons aussi la mère de
Jésus-Christ, le père
adoptif
de Jésus-Christ, les anges de Dieu ainsi que des milliers de
saints et
toujours
nous trouvons des excuses pour ce culte non biblique.
Les lois de
Marie contre celles de Dieu
Lors de son
apparition le 27 novembre 1830, la Vierge Marie a donné les
instructions
suivantes à la voyante : « Faire frapper sur des
médailles les images
de cette
apparition de sorte que toute personne qui porterait ces
médailles
recevra
d’abondantes grâces ». Ce fut le commencement du culte
idolâtrique. Une
violation manifeste de la loi de Dieu clairement écrite dans la
Sainte
Bible.
Le projet connut alors le jour et la médaille fut
baptisée « la
médaille
miraculeuse. » De 1832 à 1837, plus de dix millions
d’exemplaires
furent
vendus. Jusqu’en 1876 plus d’un milliard de médailles furent
vendues ou
distribuées dans le monde entier. De nos jours, la
planète terre est
envahie
par les statues de la Vierge Marie.
Lorsque vous
visitez la chapelle des apparitions mariales au 148 rue du Bac à
Paris,
vous
observerez une majestueuse et impressionnante statue de la Vierge Marie
devant
laquelle s’inclinent des milliers de personnes en quête de
grâce.
Autour de
cette statue, une inscription s’y trouve, invitant le monde entier
à
venir
adorer devant cette idole afin de recevoir d’abondantes grâces.
J’y
suis allé
six fois me prosterner. Ceux qui ne peuvent se rendre à Paris
prennent
le soin
de placer un duplicata de cette statue devant eux pendant la
prière.
Cette pratique
est observée dans le monde entier où les catholiques se
retrouvent pour
leurs
prières. Cela est une invitation à l’idolâtrie pure
et simple et
personne ne
s’en aperçoit. La mère de Dieu, peut-elle violer les lois
de son Dieu ?
Non. La
vraie mère du Jésus-Christ, la fille de Sion, la fille
aînée de la
Jérusalem
céleste ; Marie, l’illustre et très haute reine des cieux
; Marie,
l’avocate
plénipotentiaire des causes impossibles et
désespérées ; Marie, une
juive
d’origine, soumise en tout à la volonté de Dieu ne fera
pas cela.
La
médaille
miraculeuse fut précédée cinq cent
soixante-dix-neuf ans par le
scapulaire brun
du mont Carmel. Tous deux, comme des talismans ou des fétiches
doivent
être
portés par les fidèles catholiques en quête de
grâces. Notre bien-aimée
mère,
la très Sainte Vierge Marie, le rosier du printemps, le lys
éclatant de
blancheur est une femme juive qui sait et comprend que tailler des
sculptures
ou des images qui lui ressemblent est proscrit par la loi juive et
constitue
une violation grave de la loi de Dieu. Elle, la mère du Seigneur
n’a
point
adoré d’images ou d’idoles de son vivant. Il n’y a aucune raison
qu’elle le
fasse après sa mort ou qu’elle encourage une multitude à
enfreindre
cette loi
de Dieu. Par conséquent, l’identité de cette femme qui se
présente sous
le nom
de la Vierge Marie est à revoir. Ces manifestations ne sont pas
logiques, elles
s’opposent à la raison et aux prescriptions du Dieu de la Bible.
Il y a
de
fortes chances que cette femme qui nous apparaît sous le nom de
la
Vierge Marie
soit plutôt une simulation du diable qui se fait passer pour
notre
adorable
mère. Un vol d’identité. Un démon qui se
présenterait comme un ange de
lumière
dans le but de nous tromper dans notre espérance. Le Dieu vivant
s’est
démarqué
des idoles en prenant une position intransigeante et je vous exhorte
à
graver
cela dans votre mémoire. Voici la position du Créateur : «
Je suis le
Seigneur, tel est mon nom. Je
ne laisse pas à
d’autres la gloire
qui me revient, ni aux
idoles l’honneur qui m’est dû. » (Isaïe
42 : 8). Par
conséquent, le respect
sacré que nous avons pour ces idoles, les prières et
louanges qui leur
sont
adressées ne montent pas vers le Dieu très Haut.
La
médaille miraculeuse
Le
scapulaire du Mont Carmel
Moïse
fut une
grande figure du judaïsme. Ses yeux ont observé d’une
manière
quelconque le
Maître de l’Univers. Il a reçu de Dieu les dix
commandements (six cent
treize
commandements en réalité) pour sa nation et pour nous.
Moïse a-t-il
fait
tailler l’image du Dieu vivant sur de la pierre ? Les Juifs ont-ils
taillé des
statues de Moïse ? Selon la Bible, Dieu lui-même, sous une
apparence
humaine
est descendu sur le mont Sinaï afin de prendre un repas avec les
soixante-dix
anciens des tribus d’Israël (Exode 23 : 9-11). Ont-ils
représenté ce
Dieu
vivant par des images, par la sculpture ou de la peinture ? Les hommes
célèbres
de l’époque de Jésus-Christ faisaient tailler leurs
bustes afin
d’éterniser
leur image. Mais le Seigneur Jésus, s’est-il fait
représenter par une
figurine
quelconque ? Aucun des serviteurs de Dieu (roi ou prophète) n’a
violé
ce
précepte de Dieu. Seule la Vierge Marie des apparitions et
l’église
catholique
transgressent cette loi de Dieu et cela est très
préoccupant pour un
chrétien
qui veut marcher selon les prescriptions de son Dieu.
Le Dieu
d’Abraham n’a pas voulu être représenté par un
objet quelconque. Par
contre,
les divinités païennes, les dieux égyptiens, les
dieux de l’Inde, etc.,
ont été
représentés par des idoles devant lesquelles se
prosternent leurs
fidèles. En
matière de représentation graphique des êtres
célestes, les icônes et
les
statuettes de maman Marie sont en tête de liste de par leur
nombre et
diversité. Cela ne relève pas de la volonté de
Dieu clairement définie
dans la
Sainte Bible. Cela fait de nous de vrais idolâtres tels que les
peuples
de
l’Inde et d’Égypte qui adoraient leurs dieux à partir de
sculptures.
Dans le
monde
entier où les catholiques se rassemblent, (surtout à
Lourdes) les
statuettes de
Marie sont revêtues de somptueux vêtements et
portées en procession.
Les
fidèles catholiques accompagnent ces statuettes avec des
chansons et
leur
jettent des fleurs exactement comme font les Hindous avec leurs dieux.
Pour
cela, il n’y a pas un mot plus juste pour qualifier nos processions
mariales ou
celui du saint sacrement : l’adoration d’un objet qui n’est rien
d’autre qu’une
forme raffinée d’idolâtrie.
Si
vous permettez, je dirais que la seule idole
que Dieu a permis de forger fut le coffre sacré (l’arche de
l’alliance
en or)
qui contenait la manne, les tableaux des dix commandements, les
écrits
de
Moïse, le bâton d’Aaron qui avait fleuri, etc. (Exode 25 :
10-22 ;
Hébreux 9 :
4-5). Deux anges s’y reposaient de sorte que leurs ailes se touchaient.
Même
là, aucune instruction ne fut donnée de se prosterner
devant ce coffre
quand
bien même il était souvent rempli de fumée, de la
gloire de Dieu. Ce
détail
nous aide à comprendre que le fait d’adorer le saint sacrement
n’est
pas
biblique à l’origine.
Le
coffre de l’alliance
Le Saint Sacrement
La Bible dit
:
« Ainsi,
frères, nous avons la liberté d’entrer dans le lieu
très saint grâce
au sang du sacrifice de Jésus. » (Hébreux 10 : 19).
Mais
en tant que
catholiques, nous trouvons que Dieu est sacro-saint et qu’il est mieux
de
passer par Marie, oubliant que Dieu s’est fait homme et qu’il a
marché
parmi
nous. La Bible enseigne qu’il y a un seul Dieu et un seul
médiateur
entre Dieu
et les hommes en la personne du Seigneur Jésus-Christ (1
Timothée 2 :
5) mais,
nous, les catholiques, nous confessons que la Vierge Marie est aussi
médiatrice
et même co-rédemptrice, ayant participé à
l’œuvre du salut des hommes.
Ainsi,
sans le dire, nous avons divinisé cette dame par amour.
L’humilité
de
notre mère
Lorsque le
divin ambassadeur, l’archange Gabriel annonça à Marie
qu’elle sera la
mère du
sauveur, elle répondit : « Je
suis la servante du Seigneur ; que tout se
passe pour moi comme tu l’as dit. » (Luc 1 : 38).
Comme vous le constatez,
dès les premiers instants où le ciel entra en contact
avec notre
bien-aimée
mère, elle précisa son credo et son plan d’action : la
soumission à la
volonté
de Dieu, son engagement à servir Dieu dans l’humilité. En
effet, durant
sa vie
sur terre, selon le rapport des quatre évangiles, elle
accompagna son
fils et
prit soin de lui à la manière d’une servante sans jamais
s’imposer.
Telle est
l’image que nous a laissée notre tendre mère. Mais la
femme puissante
qui
apparaît sous le nom de la Vierge Marie réclame
toujours que
l’on bâtisse en son
honneur des églises. Elle s’offre donc les basiliques les plus
somptueuses de
la planète et les chansons composées en son honneur sont
les plus
mélodieuses.
À la manière des divinités égyptiennes et
indoues elle réclame à être
représentée par des statues, des images, des
médailles, des icônes,
devant
lesquelles elle invite les fidèles à se prosterner. Il y
a des jours de
fête en
son honneur (le 15 août), le mois d’octobre est
entièrement consacré à
Marie et
les fidèles catholiques du monde entier, à cette
période, récitent le
chapelet
dans leurs églises, dans les groupes de prières, en
prenant soin de
placer
devant eux une représentation de la Vierge Marie…
Où se
trouve
alors l’humilité de notre mère lorsqu’elle se fait
ériger des
basiliques
somptueuses ? Pourquoi des basiliques en son honneur et pourquoi pas
seulement
en l’honneur de son divin fils Jésus ? Pourquoi est-elle au
centre de
toutes
ces manifestations religieuses alors que nos regards devraient
plutôt
être
orientés vers son fils ? Où se trouve l’humilité
de la Mère du
perpétuel
secours, lorsqu’elle viole les préceptes de Dieu en se faisant
adorer
par les
icônes ? De son vivant, et même après sa mort, le
Seigneur Jésus n’a
jamais
demandé la construction d’une église en son honneur. Mais
pourquoi la
Vierge
des apparitions fait-elle le contraire ? À qui revient la gloire
? À
Dieu ou à
Marie ? Pourquoi rivalise-t-elle d’ardeur avec Dieu en se faisant
vénérer et
adorer ?
Parlant
de
sa naissance, en tant que fils de Dieu, le Seigneur Jésus aurait
pu
naître dans
un endroit célèbre de la Rome antique. Mais il choisit de
naître dans
une
étable, dans la mangeoire d’un animal. Dans sa naissance comme
dans sa
mort, il
s’est fait très petit, il est descendu très bas. À
la naissance du
petit Jésus,
la Sainte Famille de Nazareth n’a pas réussi à immoler un
mouton pour
la
consécration de leur premier né à Dieu. Le couple
était très pauvre et
ils ont
simplement offert deux tourterelles. C’est ainsi que Dieu l’a voulu. La
pauvreté, la simplicité, l’humilité. Depuis
l’Ancien testament jusqu’à
nos
jours, lorsque Dieu le père apparaît ou lorsque son fils
Jésus se
manifeste, ou
lorsqu’il envoie ses anges, nous remarquons qu’ils sont toujours
vêtus
de
simples robes blanches. Toujours dans la simplicité. Mais cette
dame
qui
apparaît sous le nom de la Vierge Marie est toujours
revêtue de
précieux
manteaux de Reine. Elle porte des couronnes en or et selon Myrna
Nazzour, «
elle brille de mille feux comme du diamant ». Dieu accorde-t-il
une
importance
à l’accoutrement ? Les corps glorieux qui ont fait
l’expérience de la
résurrection, ont-ils encore besoin de se parer de
précieux vêtements
multicolores comme ceux de la Dame des apparitions ? Le Seigneur
Jésus
de son
vivant, ou son précurseur, Jean le Baptiste, ont-ils
accordé la moindre
importance à l’accoutrement ?
Lorsque nous
reprochons au clergé catholique la grande attention
accordée à Marie,
on nous
répond que Marie est simplement vénérée
dans l’église catholique alors
que
l’adoration est réservée au Dieu très Haut.
Pourtant, lorsque vous
visitez les
sites des apparitions mariales vous constatez que c’est plutôt
Marie
qui est
adorée et que le bon Dieu reçoit très peu
d’attentions. En effet, pour
l’Europe
de l’Ouest plus de soixante-cinq pour cent des églises
catholiques sont
concentrés sur le culte marial et plus de cent millions de
pèlerins
chaque
année visitent ces sites mariaux
L’immaculée
conception
La doctrine
de
l’immaculée conception est un enseignement de l’église
catholique
depuis 1854
qui affirme que la mère du Seigneur Jésus serait
née pure et exempte de
tout
péché. Ceci serait une grâce spéciale de son
divin fils qui l’aurait
préservée
de toute souillure depuis le sein maternel.
Pourtant,
Marie notre mère, l’étoile radieuse du matin, a
reconnu qu’elle est une pécheresse comme tout être humain.
En effet,
dans
l’évangile de Luc, elle considère Dieu comme son sauveur.
Pourtant,
ceux qui
sont exempts de péchés sont saints et n’ont besoin
d’aucun sauveur. Le
sauveur
est pour les pécheurs. Écoutons maman Marie : « De
tout mon être je
veux dire la grandeur du Seigneur, mon cœur est plein de joie à
cause
de Dieu
mon sauveur. » (Luc 1 : 46). Par
conséquent, cette doctrine de l’immaculée
conception n’est pas biblique encore moins une doctrine
chrétienne.
La
prière du
Seigneur
Un jour, les
disciples du Seigneur Jésus lui dirent :
« Maître, apprends-nous
à prier comme Jean l’a appris à ses disciples. Il leur
dit : lorsque
vous
voulez prier, dites : notre père qui est aux cieux… ». À
cette époque, l’ange
Gabriel avait visité Marie il y avait environ trente ans. Il
était donc
possible de composer la prière mariale intitulée
« Ave
Maria ». Si cette prière mariale était
nécessaire ou même utile, le
Seigneur
l’aurait enseignée à ses disciples. Si la prière
mariale intitulée «
Salve
Regina » était importante pour nous rapprocher de Dieu, le
Seigneur
Jésus
l’aurait mentionnée. Même si ce fut une omission de sa
part, l’apôtre
Paul nous
l’aurait enseignée. Mais nous constatons qu’une prière
qui impliquerait
Marie
ou un saint du passé ne fut enseignée ni par le Seigneur
ni par ses
apôtres.
Paradoxalement, le Seigneur Jésus a interdit toute prière
répétitive et
c’est
exactement ce que nous faisons dans la prière du rosaire
où le « Je
vous salue
Marie » est répété cent cinquante fois dans
une brève période de trente
minutes. Si vous dites trente rosaires par jour comme nous avions
l’habitude de
le faire, cela donne un total de quatre mille cinq cents « Ave
Maria »
en un
jour de prière. C’est précisément de telles
répétitions que le Seigneur
Jésus a
proscrites.
Depuis la
création de l’homme jusqu’à la venue du sauveur, deux
types de prière
furent
enseignés : la prière des psaumes que le Seigneur
Jésus lui-même a
récitée et
le « Pater Noster » qu’il a aussi enseigné. Toutes
les autres formes de
prière
doivent faire l’objet d’une grande méfiance si nous voulons
marcher
dans la
volonté de Dieu. Si vous voulez prier, ouvrez votre cœur et
parlez à
Dieu tout
comme on parle à son père. La récitation d’une
formule composée n’est
pas
l’expression du cœur. Par expérience, je sais que la
répétition
rabâchée des «
Ave Maria » ouvre des portes qui permettent aux démons de
prendre
contrôle de
vos pensées et de bien s’installer dans votre corps. Une fois
qu’ils y
sont,
alors commencent les visions accélérées, les
apparitions, la prophétie,
etc. À
mon avis, ces Ave Maria répétés ressemblent
beaucoup aux tantras
hindouistes.
L’opposition
du Seigneur Jésus
Un jour,
quelqu’un annonça au Seigneur Jésus : « Écoute,
ta
mère, tes frères
et tes sœurs sont dehors et ils te demandent. ». Jésus lui
répondit :
« Qui est ma mère
et qui sont mes frères ? » Puis il regarda les gens assis
en cercle
autour de
lui et dit : « Voyez, ma mère et mes frères sont
ici. Car celui qui
fait la
volonté de Dieu est mon frère, ma sœur ou ma mère.
» (Marc 3 : 32-35). Un
autre jour, quelqu’une lui
dit :
« Heureuse est la femme qui t’a porté en elle et qui t’a
allaité.
» Mais Jésus lui répondit
: « Heureux
plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la
mettent en
pratique ! » (Luc 11 : 27-28). Il
n’y a rien d’injurieux dans ces passages et
la deuxième phrase est plutôt un éloge à
l’égard de Marie et de son
divin fils.
Mais contre toute attente, le Seigneur Jésus rétorqua ses
interlocuteurs par
une leçon qui peut être résumée de la
manière suivante : « N’accordez
d’importance ni à ma mère ni à ma famille mais
plutôt, écoutez La
Parole de
Dieu et mettez-la en pratique ». Dans ces passages vous
conviendrez
avec moi
que le Christ n’a pas répondu favorablement à la
requête de sa mère qui
attendait de le voir. Dans ce cas, le fait d’enseigner que Marie est la
mère du
perpétuel secours et avocate plénipotentiaire des causes
impossibles et
désespérées est un mensonge. Aussi, ce passage
laisse croire que le
Christ
prévoyait qu’après lui, une tierce personne utiliserait
frauduleusement
le nom
et l’identité de sa bien-aimée mère pour faire des
miracles et égarer
des âmes.
Il a eu le flair, le pressentiment des erreurs à venir et a
tenté de
nous en
préserver en nous recommandant vivement de nous
référer toujours aux
enseignements de la Bible. En effet, de son vivant, du temps de son
fils, notre
adorable mère, la très Sainte Vierge Marie n’a
opéré aucun miracle.
Comme
toutes les femmes juives de l’époque, elle n’avait aucune
autorité et
devait
garder le silence en public. Seuls le Seigneur Jésus et ses
apôtres
opéraient
les miracles. Après la mort du Christ, qu’il soit
ressuscité ou
pas, c’est justice s’il réapparaissait pour accomplir des
miracles.
C’était une continuation logique de son œuvre. Cela me semble
donc mal
placé et
même contradictoire de constater que c’est plutôt sa
mère qui apparaît
pour
opérer des miracles extraordinaires après sa mort.
Les
instructions prémonitoires du Christ
Le seigneur
Jésus disait : « L’antéchrist est
déjà à l’œuvre. Il fera de grands
miracles,
même à faire tomber le feu du ciel pour tromper les
élus s’il était
possible ».
Aujourd’hui, toutes les églises chrétiennes à
l’humanité absolue sont
d’avis
que nous vivons les temps de la fin. Tout chrétien attend d’un
moment à
l’autre
la venue du Christ et l’enlèvement de l’église qui
marquera le début de
la
tribulation de sept ans. Après cela, le Seigneur Jésus
descendra du
ciel avec
les rachetés afin d’établir sur terre le règne
millénaire. Il est donc
juste de
se demander : où se trouve donc la réalisation des œuvres
de
l’antéchrist tant
prédit par le Seigneur ? A-t-il menti ou s’est-il trompé
? Toutes les
apparitions mariales avec les grands miracles qui les accompagnent me
paraissent suspectes et pourraient être l’œuvre du malin dont le
Seigneur de
gloire nous a parlé d’avance. En effet, de toutes les
églises
chrétiennes ou
soi-disant chrétiennes, l’église catholique seule est
bombardée des
apparitions
mariales avec des miracles époustouflants. Prenons l’exemple du
miracle
sur la
danse du soleil le 29 octobre 1917 à Fatima (Portugal). Il y
avait en
ce jour
près de soixante-dix mille personnes de toutes les classes
sociales y
compris
des médecins et des journalistes portugais qui étaient
venus critiquer
les
apparitions. Tous ont été témoins de ce que les
paysans ont appelé « la
danse
du soleil ». En effet, les témoins et la presse certifient
que le
soleil s’est
décroché du ciel et est descendu sur terre en faisant des
zigzags et en
tournoyant vivement sur lui-même. Alors, la nature et tous les
témoins
de ce
miracle étaient couleur arc-en-ciel. Puis, faisant semblant
d’écraser
les
pèlerins, le soleil a regagné sa position au ciel sans
nuire à
personne. Par la
suite, des miracles de guérisons spectaculaires ont
été observés. Pour
ma part,
la danse du soleil a bel et bien eu lieu et je pense que cela concorde
parfaitement aux avertissements du Seigneur Jésus sur le diable
qui
fera tomber
le feu du ciel en présence de tous les hommes (Apocalypse 13 :
13).
La
foule observant la danse
du soleil
Nous savons
grâce aux recherches scientifiques que le soleil est né de
l’explosion
d’une
supernova. Cette explosion a projeté les débris de terre
dans un double
mouvement circulaire et rotatoire. Par la suite, ces débris de
terre,
par la
force des mouvements de rotation et par fusion ont donné
naissance à
toutes les
planètes du système solaire. Le soleil, se trouvant au
centre de toutes
ces
planètes les maintient sur orbite grâce à
l’énergie qu’il dégage. C’est
cela la
loi de l’attraction universelle (12) et selon le docteur Richard
Feynman (le
cerveau de la bombe atomique), cette énergie qui maintient les
planètes
sur
orbite est un mélange d’électromagnétisme et de
quantum mécanique
(quantum
électrodynamique). Ainsi donc, nous savons qu’il est impossible
au
soleil de
quitter son orbite pour danser sur terre et remonter au ciel. Si cela
arrivait,
les autres planètes quitteraient aussi leur orbite et pourraient
s’entrechoquer, et ça sera la fin du monde. Il n’y a qu’un seul
soleil
et s’il
avait dansé, la moitié de la planète s’en serait
rendu compte. Mais
rien de tel
ne fut reporté à l’échelle mondiale. On peut donc
dire qu’en réalité,
la danse
du soleil à Fatima était une simulation, une œuvre de
puissance du
malin.
Le site
Internet Youtube propose des enregistrements vidéo sur la danse
du
soleil
(Medjugorje). Lorsque vous visionnez attentivement ces vidéos
avec
l’oeil du
vingtième siècle, vous vous rendez compte que ce miracle
était tout
simplement
un phénomène ufologique. Une savante orchestration des
ovnis pour la
ruine des
âmes.
Pourquoi
Marie
?
Pourquoi la
Vierge Marie fait-elle danser le soleil ? Pourquoi une telle
démonstration de
force de sa part ? Le Seigneur Jésus a-t-il fait danser le
soleil afin
de
démontrer que c’est lui, le fils de Dieu tant attendu ? Non. Vu
l’importance de
la mission du Seigneur pour l’humanité, il lui était
nécessaire de
convaincre
les hommes de son époque qu’il était le sauveur en
accomplissant des
miracles à
faire danser le soleil. A-t-il perturbé le mécanisme des
astres afin de
s’attirer l’attention des hommes dans le but de sauver leurs âmes
?
Pourquoi
n’a-t-il pas secoué les planètes pour démontrer
que c’est lui, le
créateur de
cet Univers impressionnant ? De telles méthodes seraient
pourtant très
efficaces pour la conversion des pécheurs. Eh bien, il ne l’a
pas fait
parce
qu’il les a créées de manière à ce qu’elles
ne puissent pas danser.
Celui donc
qui fait danser ces planètes opère un faux miracle, une
puissante
illusion qui
échappe au contrôle de nos cinq sens.
Lorsque
Satan
dit au Seigneur Jésus : « Si
tu es le Fils de Dieu, ordonne à cette
pierre de se changer en pain. (Luc 4 : 3). A-t-il
opéré ce miracle ?
Non. Pendant son agonie sur la croix, Satan réitéra ses
attaques en
utilisant
une tierce personne et les mêmes propos : « Si
tu es le Fils de
Dieu / si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même / Que le
Messie,
le roi
d’Israël descende maintenant de la croix ! Si nous voyons cela,
alors
nous
croirons en lui. » (Mathieu 27 : 40 ; Luc 23 : 37 ; Marc 15 : 32).
Le Seigneur Jésus est-il
descendu de la croix afin de confirmer son identité ? Bien
sûr que non.
Il sait
qu’il est le Fils de Dieu sans l’ombre d’un doute. Par
conséquent, il
n’a pas
besoin de le démontrer. La mission et l’humilité du Fils
de Dieu ne lui
permirent pas de condescendre aux requêtes du malin. Mais cette
Dame
qui se
présente sous le nom de la Vierge Marie, sans qu’on ne lui
demande quoi
que ce
soit, secoue les astres.
L’apparition
Les
voyantes
Lucie, l’ultime voyante
Le
miracle des flammes
Dans
l’église
catholique, on raconte que plusieurs fois des incendies ont
consumé des
maisons. Mais curieusement, les images de la Vierge Marie qui s’y
trouvaient
n’ont même pas été effleurées par les
flammes. Lorsque nous demandons
le sens
de tels miracles du feu, on nous répond que c’est Marie qui a
écrasé la
tête du
serpent et c’est pour cette raison que les démons ont un respect
sacré
pour
elle. En effet, dans l’église catholique, Marie porte le titre
de «
terreur des
démons ». De même, lorsque vous rentrez en contact
avec les esprits
méchants,
parlez-leur du Seigneur Jésus et vous verrez qu’ils
n’hésiteront pas à
l’injurier et à le mépriser. Parlez-leur de Dieu le
Père, et vous
verrez qu’ils
railleront sur lui. Parlez-leur des archanges Michel, Gabriel ou
Raphaël et
vous remarquerez qu’ils n’hésiteront pas à les traiter de
lâches, etc.
Mais
lorsque vous leur parlez de la Vierge Marie, vous serez
étonnés de leur
réaction : un silence total. Meirad P. Hebga rapporte une telle
expérience dans
son livre « Sorcellerie et prière de délivrance
» page 116 Inades
édition. Le
père Tardif du Canada pendant ses conférences rapportait
aussi que
lorsque la
prière s’avérait inefficace pour délivrer une
personne sous l’emprise
des
démons, il avait souvent recours à la récitation
du chapelet (Ave
Maria) et le
résultat était efficace. Aujourd’hui, je me dresse contre
cette
doctrine et
cette manière de voir les choses et je propose mon entendement :
les
démons
sont des hors-la-loi. S’ils peuvent mépriser Dieu le Père
et son Fils
unique
Jésus-Christ, alors ils ne se feront pas de souci pour la
mère de
Jésus-Christ.
Les démons n’obéissent qu’à leur maître et
n’ont de respect que pour
Lucifer
seul. Ainsi donc, s’ils respectent Marie, il y a de fortes chances que
cette
femme qui se présente sous le nom de Marie soit le diable en
personne
sous une
fausse identité, le démon de l’enfer
déguisé en ange de lumière. C’est
la
raison pour laquelle elle viole les lois de Dieu en invitant les hommes
à se
prosterner devant ses idoles.
Notre dame
de
Yagma
J’ai
toujours
fait des reproches aux protestants et témoins de Jéhovah
pour leur
passivité
sur les apparitions mariales malgré tous ces puissants miracles
qui les
accompagnent. Il y a quatorze ans de nos jours, j’ai vivement
polémiqué
avec un
pasteur protestant qui avait la cinquantaine. Le débat que j’ai
engagé
concernait les événements mariaux mais il a conclu les
débats par cette
observation : « Peut-être que vous, les catholiques, avez
raison ;
peut-être
que cette dame des apparitions est la mère du Seigneur
Jésus. Mais
nous, en
tant que protestants, nous nous éloignons de ces choses car nous
savons
que le
diable peut se présenter en ange de lumière et perdre les
âmes par des
miracles
pseudo-chrétiens. Mais lorsque nous serons au ciel, nous
interrogerons
le
Seigneur sur ces événements et alors nous saurons toute
la vérité. Pour
l’instant, nous ne prenons pas le risque de vendre notre âme au
diable
» Sur ce
fait, j’ai trouvé sa réponse très sage. Mais le
deuxième choc m’est
venu de ma
propre église. La Vierge Marie est apparue plusieurs fois
à une jeune
fille sur
une colline dans le village de Yagma à quelques
kilomètres de la
capitale de
mon pays et ces événements
attirent
beaucoup de personnes. Le Pape Jean-Paul II a
célébré une messe sur
cette
colline qui est devenue officiellement un lieu de pèlerinage
national.
Pour
moi, cette visite papale est un acte du plus haut degré de
reconnaissance des
apparitions mariales au Burkina Faso. Le chef spirituel mondial de
l’église
catholique ne serait jamais monté sur cette colline pour
célébrer une
messe si
tant soit peu de doutes sur l’authenticité des apparitions lui
étaient
montés
au cœur. Mais de graves irrégularités ont fait
éruption compromettant
la beauté
de ce culte marial burkinabé : la voyante a fait circuler une
poudre
noire sous
la forme d’un encens qui lui aurait été donnée par
la Vierge Marie.
J’ai obtenu
cette poudre par l’entremise du responsable du groupe charismatique de
ma
paroisse. J’ai commencé à discuter sur
l’authenticité de cette poudre
sans
qu’on ne prenne la peine de m’écouter. Alors, je suis parti
nuitamment
sur la
colline des apparitions pour prier. J’ai pris l’habitude d’y faire des
veillées
de prière une fois par mois lorsque je vais dans la capitale de
mon
pays.
Quoique cela puisse paraître bizarre, au lieu de dormir à
la maison, je
préférais dormir sur la colline des apparitions afin
d’être près de la
Madone.
Ce jour-là, à une heure du matin, j’ai allumé des
cierges et j’ai jeté
cette
poudre sur les flammes. Alors, au lieu de prier selon mes habitudes, un
lourd
sommeil s’abattit impitoyablement sur moi et dans une vision, j’ai
entendu le
grognement d’un animal, on aurait dit un monstre qui menaçait de
me
dévorer.
Alors, j’ai fui de la colline et j’ai rendu compte au responsable du
groupe
charismatique de ma paroisse. Plus tard, nous avons été
choqués
d’apprendre que
la voyante a fait deux avortements consécutifs et selon les
rumeurs, le
clergé
de la localité serait impliqué dans ce scandale sexuel.
Chez nous, il
n’y a pas
de fumée sans feu et de telles rumeurs sont des
vérités qu’on tente de
cacher.
Il y eut des altercations et ce fut la période où j’ai
commencé à
suggérer une
possible implication du malin dans les apparitions mariales. J’ai alors
commencé à douter de l’identité de cette femme qui
se présentait sous
le nom de
la Vierge Marie, Reine du ciel.
À
l’époque du
prophète Jérémie il y avait aussi une
divinité païenne qui se nommait «
la
reine du ciel » à qui les Israélites offrirent des
sacrifices et
offensèrent
gravement leur Dieu (Jérémie 7 : 16-19). Peut-être
que cette divinité
païenne a
trouvé le moyen de perpétuer son culte idolâtrique
à travers le
catholicisme !
Myrna Nazzour
Les
apparitions de Marie revêtent souvent une forme de violence et de
brutalité.
Les voyants ne s’attendent jamais à une visite de la Madone et
lorsqu’elle
apparaît, les voyants sont apeurés et prennent la fuite
comme on fuit
un
serpent. On observe cela sur I., un des voyants de Yougoslavie (12). De
même,
le 15 décembre 1982, Myrna parle de l’apparition de la Sainte
Vierge de
la
manière suivante, pendant qu’une foule de croyants priait devant
l’icône de la
Vierge Marie, Myrna sentit soudainement quelque chose qui lui tirait la
main
vers le haut de la terrasse. « J’ai senti une force invisible qui
me
poussait
et j’étais effrayée… Je me suis agenouillée sur le
sol en tremblant, le
visage
contre le sol. Lorsque j’ai relevé ma tête, j’ai
aperçu la Vierge Marie
en face
de moi. Elle brillait comme si elle était couverte de diamants.
J’étais
effrayée et je me suis sauvée en criant… » (14).
Une huile
dite
sainte, coule souvent de l’icône de la Madone et souvent elle
coule
aussi des
mains de Myrna. Mais un jour, Myrna fit cette prière devant le
Père
Elias
Zahlaoui : « Oh ! Sainte Vierge Marie, ne permets plus que
l’huile
coule de mes
mains mais seulement de ton icône. Les gens viennent ici à
cause de toi
et non
à cause de moi ». Après avoir dit cette
prière, elle annonça au Père
Zahlaoui :
« Père, on dirait que la Vierge est rentrée dans
mon corps ». Et
soudainement,
l’huile s’est mise à couler abondamment des mains de Myrna comme
une
éponge
engorgée d’huile (14).
Par rapport
à
ces faits, je voudrais faire les observations suivantes : lorsque le
Seigneur
Jésus marchait sur l’eau vers ses disciples, ils eurent peur. Ce
fut la
première et la seule fois de l’histoire qu’un homme a
marché sur l’eau.
Il y a
donc de quoi avoir peur et de croire à un fantôme surtout
si cela
arrivait la
nuit (Mathieu 14 : 25-33). Mais après sa résurrection,
lorsqu’il est
apparu
plusieurs fois à ses disciples, personne n’a pris la fuite par
peur.
C’était
toujours une expérience merveilleuse de paix. Pourquoi donc les
apparitions
mariales font-elles si peur ? Lorsque Myrna implora la Madone de ne
plus
laisser l’huile couler de ses mains, le contraire arriva
aussitôt.
Pourquoi
violer la volonté de cette jeune dame ? L’observation la plus
importante est
que, dans le miracle de l’huile, la voyante témoigne que la
Vierge est
rentrée
dans son corps et c’est seulement après que l’huile s’est mise
à couler
de ses
mains. Cela ressemble à une forme de possession temporaire
même si des
miracles
éclatent par la suite. Ni les apôtres, ni les
évangélistes
d’aujourd’hui qui
ont opéré des miracles ne disent avoir été
possédés de cette manière.
Ils font
une prière et Dieu en réponse fait éclater des
miracles. L’expérience
du
baptême du Saint-Esprit est complètement différente
de ces modèles de
possession.
La Vierge
Marie face aux malheurs
Si Marie est
la mère du perpétuel secours et avocate
plénipotentiaire des causes
impossibles
et désespérées, alors, pourquoi a-t-elle
abandonné les Rwandais qui
comptaient
sur son intercession et qui ont consacré de longues heures
à réciter le
chapelet ? Pourquoi le génocide eut lieu, bien que le peuple
rwandais,
catholique fervent, comptât désespérément
sur le secours maternel ?
Pourquoi
plus de huit cent mille personnes ont été sauvagement
massacrées aux
yeux de
Marie qui n’a pas levé son doigt pour conjurer ce malheur alors
que
beaucoup de
prières lui ont été adressées pendant si
longtemps ? Pourquoi le sang
des
voyantes a été versé
et pourquoi ont-elles
été
sauvagement massacrées et mutilées, elles, les
porte-parole de Marie !
Après le
massacre rwandais beaucoup de catholiques ont été
désillusionnés et ont
perdu
leur foi. Beaucoup alors cessèrent d’aller à
l’église. La faillite de
l’intercession mariale pour le Rwanda m’a permis de découvrir
davantage
le
subterfuge du malin qui se présente sous le nom de Marie.
L’intervention de
Dieu est infaillible lorsqu’il est invoqué et la Bible fait
éloge de
ses
brillants exploits lorsque son peuple est sur le point d’être
exterminé
par un
ennemi puissant. Alors, si la femme des apparitions venait de Dieu,
pourquoi
n’a-t-elle pas été capable de conjurer ce génocide
auguré longtemps à
l’avance
?
Le
génocide Ruandais
Exemples
de malheurs
Les
apparitions mariales sont toujours précédées de
malheurs ou bien les
malheurs
éclatent après ces fameuses apparitions. Des fois elle
apparaît au
milieu des
malheurs. Curieusement, presque toutes les prédictions de
malheur
annoncées par
la Vierge Marie se sont réalisées sans que les nombreuses
prières qui
lui
furent adressées puissent être capables de les conjurer.
Est-elle
peut-être
liée à ces malheurs ? Exemples
: Le 19
juillet 1830 la Vierge Marie à travers de chaudes larmes
révéla à
Catherine
Labouré que les rues seront pleines de sang dans un délai
de quarante
ans. En
effet, en 1870 une guerre éclata en France et le sang coula dans
les
rues.
Beaucoup de prêtres furent tués par les communards.
Monseigneur,
l’archevêque
Darboy est fusillé. En septembre 1846, lors de son apparition
à La
Salette elle
annonça des malheurs et précisa que ceux
déjà arrivés l’année
précédente
provenaient de Dieu. En septembre 1665, une jeune fille, Benoîte
Rancurel qui
gardait les moutons eut l’apparition d’une dame majestueuse qui portait
un bel
enfant dans ses bras. C’est la Vierge du Laos. Elle sollicita la
construction
d’une chapelle en son honneur et annonça que plus tard le
démon fera
une guerre
violente à la bergère et que par la suite elle portera
des stigmates et
des
douleurs les vendredis. En janvier 1871, l’armée prussienne
commandée
par le
général Von Schmidt est aux portes de Laval. La guerre
fait rage et on
ne peut
dénombrer les morts. Il fait face au général
Chanzy qui l’empêche de
prendre la
ville. À ces instants pathétiques, la Vierge Marie
apparaît à quatre
jeunes
enfants dans un petit hameau appelé Pontmain aux confins de la
Bretagne
et de
la Normandie. En automne 1918, presque à la fin de la
première guerre
mondiale
la Vierge apparaît à Fatima au Portugal. Elle annonce
d’autres malheurs
et
immédiatement toute l’Europe fut frappée par une
épidémie de grippe.
Les morts
sont innombrables y compris les voyantes. Après cela, la
deuxième
guerre mondiale
éclata. En 1981, la Vierge Marie apparaît au Rwanda et
annonce des
malheurs
futurs, en 1990 une guerre éclata et le génocide ravagea
entre huit
cent mille
et un million de personnes y compris deux des voyantes, etc., etc.
Pourquoi se
trouve-t-elle toujours au milieu des malheurs et pourquoi son
intercession
est-elle toujours inefficace ? Pourtant, n’est-elle pas l’avocate des
causes
impossibles et désespérées ?
Les
cimetières
et les ossements humains sont des terrains de prédilection de
Satan où
il
savoure sa victoire sur la race humaine. Le diable hait le Dieu
très
Haut mais
il ne peut s’en approcher ni le nuire. C’est pour cela qu’il s’acharne
sur
l’homme qui est créé image visible du Dieu invisible. Son
objectif
principal
est de saboter les œuvres merveilleuses de l’Éternel.
Après une guerre
ou une
pandémie, les morts se comptent par milliers et cette Dame qui
nous
apparaît
sous le nom de Marie pourrait bien être Lucifer en personne qui
vient
conduire
les hommes sur une fausse piste d’intercession sachant bien qu’il a
déjà
planifié son massacre. Le culte marial étant un culte
idolâtrique, une
horreur
pour le Dieu des armées, voici de quoi éloigner le
Tout-Puissant de ces
atrocités annoncées par la Madone, laissant le terrain
libre au malin
pour
commettre tranquillement ses meurtres.
La puissance
et l’infaillibilité de Dieu dans l’histoire
Lorsque
Sennachérib, le roi d’Assyrie avec sa puissante et indomptable
machine
de
guerre s’apprêta à écraser Jérusalem, le roi
Ezéchias invoqua l’éternel
son
Dieu qui lui répondit par le prophète Isaïe. La
même nuit, l’ange du
Seigneur
entra en jeu et tua cent quatre-vingt-cinq mille soldats
assyriens et rendit ainsi l’invasion
impossible (Isaïe 36 et 37). De même, au temps du
prophète Élisée,
lorsque les
Syriens encerclèrent la Samarie, le siège fut long et si
désastreux au
point
que certains Israélites affamés mangèrent leurs
enfants pour éviter de
mourir
de faim. Il a suffi d’un petit acte de rien du tout de la part du
Seigneur de
l’impossible pour mettre fin au siège et secourir son peuple. Il
fit
simplement
entendre le bruit d’une puissante armée équipée de
chevaux et de chars.
L’armée
Syrienne pensa que la Samarie avait payé les Hittites et les
Égyptiens
pour les
combattre. Alors, ils furent pris de panique, abandonnèrent le
siège et
s’enfuirent pour sauver leur vie en laissant derrière eux leur
camp
bondé
d’animaux, de la nourriture ainsi que tout leur trésor. Par ce
geste
dérisoire,
le Seigneur mit fin à ce long siège (2 Roi 7 : 6-7). De
tels exemples
sont
légions dans la Bible et démontrent que le Dieu
d’Israël est puissant
et qu’il
est capable de se défendre et de protéger ses enfants qui
l’invoquent
d’un cœur
sincère. Si les prières adressées à maman
Marie étaient approuvées par
Dieu,
alors elles auraient été efficaces. Mais toujours, ces
prières sont
inexaucées
et la race humaine paie un lourd prix. Pour obtenir les faveurs du bon
Dieu, il
ne s’agit pas de prier d’une manière désordonnée
car même les démons,
les sataniques
et les païens prient. Pour être exaucé, il faut le
prier selon son plan
et
suivant sa volonté. Autrement dit, il bouchera ses oreilles et
ne se
laissera
pas fléchir. La même désillusion eut lieu sur la
colline de Massada à
l’épopée
romaine où plus de trois mille personnes se sont
suicidées à l’approche
de
l’ennemi préférant la mort plutôt que l’esclavage.
Pourtant, ils
priaient et
croyaient eux aussi que Dieu les défendrait et leur donnerait la
victoire.
David
et Goliath
Moise
Les gloires
de
Marie
On a
toujours
parlé des gloires de Marie mais jamais on ne fait mention des
échecs de
Marie.
Pourtant, beaucoup de personnes ont eu recours au secours marial et ont
été
profondément déçues. Six fois, je me suis
agenouillé devant
l’impressionnante
statue de la Vierge Marie au 48 rue du Bac,
Paris.
Cinq fois, j’ai été en pèlerinage à Lourdes
et j’ai imploré le secours
marial à
la grotte de la Massabielle. Après les prières de la
grotte, je passais
des
heures au cimetière de l’Angel de Lourdes sur la tombe du
père Jacomo
Fillon
d’Udine, un pieux religieux qui est mort en
odeur de
sainteté et dont la tombe attire beaucoup de pèlerins…
Non seulement je
priais
pour moi mais aussi pour des frères et sœurs catholiques de ma
paroisse
qui ne
pouvaient se payer le voyage et qui m’ont remis leurs requêtes
écrites
sur du
papier. Nos prières sont demeurées inexaucées
alors que ces requêtes
étaient
des cas sociaux désespérés. Je ne parlerai pas du
cas des paroissiens
qui ont
jeté leurs fétiches pour se consacrer à la
prière mariale et qui sont
repartis
de nouveau à leurs fétiches par suite de profondes
déceptions et qui
pratiquent
maintenant un christianisme hypocrite en consultant des charlatans et
ayant
dans leurs maisons des fétiches. Je ne dirai rien des
déceptions de la
bergère
du groupe charismatique qui de nombreuses fois a fini par dire des
phrases
comme : « Jésus ne connaît pas la honte ; il est
difficile de suivre
Jésus… » ;
résultat de tant de prières
inexaucées.
Certains
pourtant se vantent d’avoir été exaucés par Marie
pour le fait d’avoir
réussi à
réaliser leurs rêves. Pourtant beaucoup de personnes
réussissent mieux
sans
pour autant passer par la prière. Les efforts humains, la
grâce de Dieu
et les
circonstances de la vie suffisent des fois à réaliser de
grandes
choses. Que
dire des célébrités de ce monde qui ne
fléchissent jamais les genoux et
qui
sont pourtant meilleures que ceux qui prient. L’homme par ses propres
efforts
est capable de beaucoup choses. N’attribuons pas toujours nos
mérites
aux êtres
célestes.
La
dévotion du
premier samedi du mois
Lors de son
apparition à Fatima, la Très Sainte Vierge Marie a
institué une
nouvelle
dévotion qui doit se faire tous les premiers samedis du mois.
Cette
dévotion
consiste à consacrer le monde entier au cœur douloureux et
immaculé de
Marie.
Selon notre mère du ciel, la Russie communiste dominera le monde
et
beaucoup de
nations seront rasées. Même le Pape en souffrirait. Mais
si cette
dévotion
était assidûment observée, son cœur immaculé
triompherait, le
communisme
soviétique connaîtrait la chute et une période de
paix serait accordée
à la
terre. Nous avons observé cette dévotion mariale
jusqu’à la chute du
communisme
soviétique et nous continuons de prier. Le communisme
soviétique est un
système
politique qui fait de l’athéisme son cheval de bataille. Toute
religion
y est
considérée comme de l’opium qui endort le peuple et par
conséquent est
appelée
à disparaître. Dans les pays communistes, les
églises sont transformées
en
salles de théâtre, de cinéma, en magasins pour le
stockage de vivres ou
de
munitions… Les serviteurs de Dieu ainsi que les chrétiens sont
torturés, tués
ou déportés. Puisque le communisme est incompatible
à la foi
chrétienne, il
pourrait donc être d’origine satanique. Comme la Vierge Marie a
prédit
sa
chute, proposé une méthode qui a triomphé, alors,
elle est toute
puissante et
son œuvre rend gloire à Dieu. Néanmoins, observons les
choses sous un
autre
angle car des fois, le véritable sens des choses est souvent
voilé et
la façade
qu’on nous présente est toujours de la mascarade. Supposons que
cette
Dame qui
se présente sous le nom de la Vierge Marie soit en
réalité le diable
qui prend
l’apparence d’un ange de lumière dans le but de nous
égarer loin du
vrai
christianisme, quel mensonge peut donc se cacher dans cette
dévotion
qui aurait
provoqué la chute du communisme soviétique ?
Sur
le plan politique, quelle est ma compréhension ?
Jusqu’alors,
le monde était divisé en deux grands blocs bipolaires et
antagonistes :
le
capitalisme à économie libérale avec les USA en
tête face au communisme
de l’U.R.S.S.
Ces deux systèmes politiques étaient incompatibles et
chacun
s’efforçait de
phagocyter l’autre et d’imposer au monde son idéologie. Il
était donc
prévisible qu’un des systèmes vienne à
disparaître. Quand bien même, le
communisme a connu une prédominance dans certains domaines de la
technologie
(le spatial), ses fondements étaient néanmoins
menacés à cause de la
faiblesse
de son économie et de l’austérité de sa politique.
Surtout avec un
rival
puissant, prospère et impitoyable tel que le capitalisme, la
chute de
ce
système politique était prévisible sans le
concours de la prière.
Sur le plan spirituel,
comment voir les
choses ?
Les
systèmes
politiques et religieux sont toujours de connivence. Dans le
communisme,
l’accent est mis sur l’action commune pour l’intérêt du
peuple.
L’intérêt
personnel et les évasions spirituelles sont de facto caducs. Les
religions sont
interdites. À mon avis, le communisme athée était
un refuge pour le
malin et la
chute de ce système représentait une grande
défaite pour Satan qui
cherchait à
supprimer toute religion de la planète. Satan connaît
aussi les plans
de Dieu
et sait que le communisme qui est sa religion va bientôt
s’écrouler.
Alors, ne
pouvant plus combattre la religion par un système politique
athée, il
sera donc
obligé de tolérer la religion dans laquelle sa
présence sera toujours
effective
: les idoles. C’est ce qui expliquerait la tolérance facile et
le
succès du
catholicisme orthodoxe dans les pays de l’ex-U.R.S.S. Nul doute que
l’église
catholique a combattu le communisme mais vous constatez qu’à sa
chute,
c’est la
Vierge Marie qui apparaît et occupe le terrain par un culte
idolâtrique. Juste
de quoi ôter au christianisme sa valeur spirituelle en
l’éloignant de
Dieu.
Ainsi donc, l’église devient de nouveau un instrument efficace
pour la
perte
des âmes, un nouveau cheval de bataille pour Lucifer à
travers
l’iconographie :
au lieu d’adorer Dieu, les hommes choisirent de se prosterner devant
des images
et des objets taillés.
L’église
catholique depuis ses origines était la représentation
officielle du
christianisme. Le malin a essayé en vain de détruire
cette religion dès
sa
naissance en tuant le maximum de chrétiens à travers les
empereurs de
Rome ; et
vu qu’elle était plutôt florissante, alors, le malin
changea de
méthode. Il est
parvenu autrefois à faire tomber le judaïsme par
l’idolâtrie et la
fausse
religion de sorte que les Hébreux, au lieu d’entrer dans la
terre
promise,
jonchèrent le désert de leurs cadavres. L’idolâtrie
est donc une arme
efficace
qui enflamme la colère de Dieu ; et le diable, une fois de plus
appliquera
cette même méthode avec le catholicisme par l’introduction
d’une fausse
mère
qui remplira l’église d’idoles : c’est donc le même diable
avec les
mêmes ruses
et le même résultat efficace tant dans le judaïsme
que le catholicisme.
Remarque
La
dévotion
sur la consécration du monde à Marie doit se faire tous
les premiers
samedis du
mois. Cependant, nous savons que le samedi est le jour du sabbat qui
est le
jour de repos de l’Éternel. En ce jour, aucune entreprise ne
doit être
menée.
Même allumer du feu pour cuire un repas est interdit. C’est le
jour du
Seigneur
et c’est le jour du repos total. Toute personne qui ramasse même
un
simple bois
pour cuire son repas en ce jour doit être mis à mort selon
la loi de
Moïse
(Exode 31 : 14). Pourquoi cette dame du ciel viole-t-elle le repos
sabbatique
et y impose une dévotion qui oblige les gens à profaner
le caractère
sacré de
ce jour spécifique ? Pourquoi avoir choisi le jour de repos du
Seigneur
pour
que le monde lui soit consacré ? Le monde appartient
déjà à Dieu et
toute
personne qui veut se consacrer au Dieu des chrétiens le fait par
le
moyen de la
conversion qui est le baptême. Toute personne ou entité
spirituelle qui
veut donc
que le monde lui soit consacré apparaît comme un rival ou
un ennemi de
Dieu. Si
cette femme venait de Dieu, le Dieu à qui le monde appartient,
alors,
elle
n’avait aucun besoin que le monde lui soit de nouveau consacré.
Pendant le
repos du Seigneur au septième jour après la
création, Satan entra en
jeu et
pervertit l’œuvre de création en y introduisant la barbarie. Et
si le
monde se
porte si mal c’est à cause de cette activité diabolique
pendant le
repos du
Seigneur et cette nouvelle dévotion mariale imposée
pendant ce jour
sacré porte
clairement la signature du dieu de ce monde.
Les
apparitions
Le
christianisme est l’œuvre du Seigneur Jésus-Christ. Ce ne sont
pas les
apparitions mariales ou d’un ange quelconque qui auraient donné
naissance à
cette religion. Si toute apparition d’êtres célestes
provient forcément
du Dieu
d’Abraham, alors tous ceux qui croient aux apparitions mariales
feraient mieux
de se convertir aux nouvelles religions qui sont nées par la
suite
d’apparitions d’anges.
Après
la mort du Seigneur Jésus, le
christianisme a tenu bon malgré les persécutions. Il
était florissant
sans le
concours de Marie. Les apparitions mariales n’ont pas posé les
fondements du
christianisme. Elles sont apparues comme une gangrène qui ronge
et
divise les
enfants de Dieu. Elles sont comme un cancer qui attaque la
crédibilité
de la
foi catholique. En effet, les églises réformées
évangéliques ne
considèrent
plus l’église catholique comme une église
chrétienne à cause de nos
idoles et
de nos pratiques non bibliques. Pourtant, l’église catholique
demeure
ferme et
imperturbable. Elle se réclame être l’église
apostolique, la tête de
toutes les
églises chrétiennes et invite les églises
évangéliques à se joindre de
nouveau
à elle. En effet, en juillet 2007, le Pape
Bénédicte XVI déclara
officiellement
que « le christ Jésus a établi ici sur terre une
seule église » qui est
l’église catholique. Il renchérit que les autres
dénominations ne
peuvent pas
être considérées comme des églises parce
qu’elles n’ont pas la
succession
apostolique, c’est-à-dire, l’habilité d’être les
successeurs des
premiers
apôtres du Christ. Pourtant, il y a abondance de preuves qui
attestent
que
cette « église mariale », cette grande et puissante
église catholique
dont je
suis fils est l’ennemie du christianisme véritable et je vous en
convaincrai
davantage.
Je ne trouve
pas utile de faire la promotion du culte marial ainsi que tous les
phénomènes
miraculeux qui l’accompagnent. La Bible enseigne clairement que seule
la foi en
Christ Jésus peut sauver l’homme. Ainsi donc, votre
église ou
dénomination et
toutes ses œuvres de puissance ne sont pas utiles au salut si elles
compromettent un tant soit peu votre intégrité et votre
Foi en
Jésus-Christ.
Les
guérisons
et miracles
La Bible
nous
enseigne que beaucoup guériront des malades au nom du Seigneur
Jésus
mais
seront rejetés. Par conséquent, les miracles de
guérison observés lors
des
apparitions mariales ou pendant toute forme de prière ne portent
pas
forcément
l’approbation de Dieu. Dans l’accomplissement d’un miracle, il faut
reconnaître
que ce n’est ni votre pouvoir, ni votre sainteté qui se
manifeste mais
tout
simplement La Parole de Dieu qui produit des fruits en sa saison. Car,
avec un
peu de foi, un ordre donné au nom du Seigneur Jésus peut
avoir des
effets
surnaturels. De même, la maladie n’est rien d’autre que la
conséquence
du
péché, en un mot, un outil de Satan. Ni Ève ni
Adam ne sont tombés
malades
avant la chute. Tous ces malheurs sont apparus avec Satan lorsqu’il fit
tomber
l’homme dans l’insubordination. Si Satan peut donner une maladie, il a
aussi le
pouvoir de la reprendre et de guérir ainsi la personne malade.
De ce
fait,
toutes les guérisons miraculeuses de la Madone peuvent
être une ruse du
malin,
des démons qui chassent des démons pour donner une
simulation de
guérison.
Satan qui fait et défait les liens et qui se présente
comme un ange de
lumière
(cf. 2 Corinthiens 11 : 14-15).
Les larmes
de
sang de Marie
Le Seigneur
Jésus fut saisi d’une grande angoisse juste avant sa passion et
la
sueur qu’il
versât, était mêlée de sang (Luc 22 : 44).
Certains chrétiens, par un
excès de
ferveur religieuse, affirment qu’il a même versé des
larmes de sang.
Lorsque
son corps fut descendu de la croix, sa mère l’a tenu dans ses
bras et a
pleuré.
Cette scène bouleversante a inspiré le
célèbre artiste italien
Michel-Ange qui
a taillé une des plus émouvantes statues de Marie connue
sous le nom de
« la
piéta ». Certaines sources catholiques disent que la
Vierge Marie
aurait versé
des larmes de sang ce jour-là sur le corps de son divin fils. Ce
dernier fait
n’est pas confirmé par la Bible et néanmoins, la Vierge
Marie, lors de
ses
multiples apparitions a déjà pleuré et du sang
coulait de ses yeux. Les
stigmatisés ont aussi versé des larmes de sang. Les
statues de Marie
pleurent
et versent aussi des larmes de sang. Du vrai sang humain selon
l’analyse des
médecins. Des prières telles que le chapelet des larmes
de sang a été
composé
pour invoquer les larmes de sang de la Vierge Marie. Voici un extrait :
« Oh !
Très Sainte Vierge Marie, je vous offre les larmes de sang de
celui qui
vous a
le plus aimé sur la terre et qui vous aime le plus tendrement au
ciel
(cinq
fois). Oh ! Jésus exhausse mes prières à cause des
larmes de sang de ta
très
sainte mère (cinquante fois)… » Pensez-vous que le Roi des
cieux va
permettre à
sa bien-aimée mère de venir pleurer partout sur la terre
comme une
veuve
désespérée ? L’œuvre du salut a été
accomplie à la croix lorsque le
divin
sauveur paya le prix de nos transgressions et déclara : « Tout
est achevé ! »
(Jean 19 : 30).
Les êtres humains sont sauvés, justifiés et
sanctifiés
s’ils acceptent l’œuvre de rédemption. Les larmes d’une
mère ne
changeront rien
à la destinée des hommes. Si cette femme pleure, cela
pourrait cacher
une
certaine astuce. On se souviendra que pour rivaliser avec Moïse,
les
magiciens,
de connivence avec les divinités égyptiennes ont
transformé les eaux en
sang.
Puisque ces divinités ont le pouvoir de changer l’eau en sang,
elles
peuvent
aussi verser des larmes de sang à travers les statues mariales.
Mon
propre
témoignage donnait l’exemple d’un démon qui trouvait des
motifs pour
pleurer et
sangloter au-dedans de moi alors qu’il pleurait sa mort prochaine.
À
mon avis,
les larmes de sang sont une tromperie de l’ennemi qui se joue de nos
émotions.
Tout ce sang
versé par les stigmatisés, par les statues de Marie ou
par Marie lors
de ses
apparitions est une forme moderne de sorcellerie. Dieu commande
explicitement
aux hommes de ne point tailler d’idoles ou d’images. Les hommes
refusèrent et
taillèrent des idoles et les idoles se mirent à pleurer
du sang. Les
hommes
persistent davantage dans l’erreur en attribuant ces œuvres à
Dieu.
Permettez-moi de vous poser une question : dans toute l’histoire de la
race
humaine, depuis quand une pierre ou du plastique a-t-il saigné ?
Si ces
idoles
saignent, ne vous trompez pas, elles sont bien vivantes car elles sont
habitées
par des êtres invisibles. Un saint ange de Dieu ne s’exprimera
jamais
dans une
idole. Aussi, le Dieu très Haut s’est clairement
démarqué des idoles (Isaïe
42 : 8) et
par conséquent il n’y a
aucune chance qu’il se manifeste à travers ces idoles de Marie.
Curieusement,
pendant que les statues de maman Marie pleurent de chaudes larmes, les
idoles
hindoues du dieu Ganesh (un homme avec une tête
d’éléphant) se mettent
à boire
du lait. Le phénomène appelé « miracle du
lait » fut observé par la
presse et
s’est produit dans plusieurs grandes cités telles que New York,
Los
Angeles,
Canada, Kenya… (15). Nous vivons le siècle où les idoles
commencent à
s’exprimer.
Mars 2003,Venuzuela
30
juin 1985, Coree Miracle du lait
Le signe de
l’adversaire
Une semaine
avant que je ne reçoive les premières apparitions du
Seigneur Jésus,
j’ai fait
un rêve banal qui par la suite fut révélateur d’un
principe divin : un
gros
serpent d’environ un mètre de long m’a pourchassé
jusqu’à ce que je me
hisse
sur un rocher. Alors, ce serpent rabougri a tourné trois fois
autour de
moi.
Après avoir bouclé un tour, de sa gueule, il creusait un
trou à mes
pieds et y
enterrait quelque chose. Quelque temps après,
commencèrent les
apparitions de
Jésus-Christ, jusqu’à la publication de ce livre.
Quelquefois, lorsque
je prie
durant de longues heures, je vois un gros serpent qui s’éloigne
de moi.
De
même, pour ma guérison, les marabouts d’Afrique
m’ordonnèrent de faire
trois
fois le tour du marché avec un objet enfermé dans mon
poing gauche et
de
l’offrir en sacrifice. Curieusement, lorsque j’ai rencontré le
premier
pasteur
pentecôtiste, pendant la prière de délivrance,
avant que je ne lui dise
quoi
que ce soit, il esquissa le même cérémonial : il
m’a dit de fermer mon
poing
gauche, de maintenir le poing droit ouvert, de fermer les yeux et de me
consacrer à Jésus-Christ. À ce même moment,
il tourna lui aussi trois
fois
autour de moi dans le sens contraire des aiguilles d’une montre et
lança un cri
de guerre : « Crac ! » comme s’il cherchait à briser
un lien. À la fin
de la
prière, il m’annonça qu’il a vu un serpent pendant la
prière. Il n’y a
pas de
doute, le malin m’avait scellé pour son œuvre.
Je l’ai vu, les marabouts l’ont vu, le pasteur
pentecôtiste l’a
vu et a
tenté de briser ce lien. Le jeune pasteur qui m’a
délivré après une
longue
intercession qui dura trois ans a fait mention de ce serpent.
Curieusement,
lorsque les divinités Égyptiennes ou de l’Inde se
présentent, on
observe le
serpent à leur côté. Le serpent est le symbole du
malin et dans les
apparitions
de la Vierge Marie à Sainte Catherine Labouré, sur la
médaille
miraculeuse, on
voit bien un serpent aux pieds de la Madone. L’église catholique
dira
que c’est
la femme qui a écrasé la tête du serpent et c’est
ce qui explique la
présence
d’un serpent aux pieds de Marie. Pourtant, un tel raisonnement n’est
pas
biblique. En effet, toutes les Bibles enseignent que c’est la descendance
de
la femme qui écrasera la
tête du serpent (Genèse 3 : 15) et cette prophétie
s’est réalisée
lorsque le
Christ mourut sur la croix pour détruire les œuvres
du malin. La présence du serpent aux pieds de
Marie devrait alors trouver une autre explication pour être
crédible.
En ce qui
me concerne, j’ai vécu une expérience différente
et les conclusions
auxquelles
j’aboutis sont différentes : le fait que le serpent ancien,
l’ennemi
juré du
Dieu de la Bible apparaisse aux pieds de Marie est une confirmation que
les
apparitions mariales sont de type satanique.
La
Vierge Marie et le
serpent
La toute première
apparition
mariale eu
lieu du vivant de la vierge Marie dans des conditions qui incitent
à la
réflexion. En effet, le 02 Janvier 40, Nuestra Sefiora Del Pilar
(Notre
Dame du
Pilier), accompagnée de milliers d’anges apparurent à
Saint Jacques à
Saragosse
en Espagne. Curieusement, Saint Jacques qui eu cette apparition
historique ne
l’a pas mentionnée dans son épître et le livre des
Actes des Apôtres
n’en fait
pas cas non plus. Seule la tradition de l’église catholique
enseigne
sur ces
phénomènes. J’ignore ce que pensent les autres enfants de
l’église
catholique
sur cette affaire. Mais moi, votre frère dans la fois, je
remarque
qu’il y eut
plutôt deux différentes femmes répondant du nom de
« Vierge Marie » qui
se sont
manifestées simultanément au début de l’air
chrétienne : la première
fut la
mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Elle est
éternellement
bienheureuse et
elle était un être humain (fille de Joachim et de
Anne).
Elle résidait auprès de St Jean à
Jérusalem. Elle offrait son soutien
modeste
aux apôtres qui s’efforçaient de poser les bases de
l’église primitive
malgré
les embûches. Elle n’a jamais fait de miracles. En un mot, elle
La
Vierge,
l’humble fille de Nazareth annoncé dans La Bible. Au même
moment, une
autre
Vierge Marie, cette fois-ci un être spirituel accompagné
de milliers
d’anges
apparurent à Saint Jacques. Celle-ci était puissante,
elle opéra des
miracles
hors paires et offrit à Saint Jacques la toute première
idole du
catholicisme,
laquelle devrait être placée dans une chapelle construite
en son
honneur. Ce
fut le début du culte idolâtrique marial (18).
Notre
Dame du Pilier
II.
Autres
observations non moins importantes
Les reliques
Les
évangiles
rapportent que les malades qui touchaient le Seigneur
Jésus-Christ
étaient tous
guéris. Plus tard, ses apôtres ont manifesté ces
mêmes dons de
puissance car,
même les objets les ayant touchés guérissaient des
malades et
chassaient les
démons lorsque ces objets leur étaient appliqués
(acte des apôtres 19 :
11).
Même leur silhouette guérissait les malades (actes 5 :
15). On pourra
aussi
citer l’exemple des ossements du prophète Élysée
qui redonnèrent la vie
à un
défunt lorsque ce dernier le toucha par hasard. Cela
démontre la
puissance de
Dieu et témoigne que l’Esprit Saint est présent dans ces
corps même
s’ils sont
morts. Et par là, nous avons l’assurance que ce même
Esprit Saint
redonnera vie
à ces corps à la résurrection des morts. De
même, dans le catholicisme,
les
vêtements des saints sont découpés en miniatures,
enveloppés dans des
plastiques et distribués dans le monde entier à toute
personne qui
désirerait
les porter sur soi. Ces reliques auraient le pouvoir de
protéger, de
guérir
tous ceux qui les porteront. C’est cela le pouvoir des reliques et ces
pratiques sont quelque peu analogues à celles des
chrétiens des temps
apostoliques. Mais comme toujours, le malin a su corrompre ces œuvres
par des
déviations pseudo-chrétiennes en introduisant dans
l’église une autre
forme de
vénération de relique qui n’est rien que du paganisme et
de la
sorcellerie
moderne. Des choses exagérées en grandeur nature et qui
ne bénéficient
pas du
témoignage du peuple hébreu ni de celui des apôtres
du Christ. En
effet, la
dépouille des saints de l’église catholique fait l’objet
d’une nouvelle
forme
de culte jamais vue, ni même imaginée. Le
phénomène a pris une tournure
dangereuse au cours des siècles et ce qui se passe sous nos yeux
n’est
plus du
christianisme. Pour preuve, les dépouilles des saints du
catholicisme
sont
démembrées, découpées en morceaux et
discrètement expédiées à d’autres
églises
pour être exposées et vénérées par
les fidèles. Jusqu’au quatrième
siècle,
aucune église de l’empire romain ne pouvait être
consacrée sans qu’il
n’y ait
de telles reliques. Par exemple, le corps incorruptible de Bernadette
Soubirous
a été ouvert et ses organes retranchés et
distribués à des églises
environnantes pour être enterrés ou
vénérés. La tête de Sainte
Catherine de
Sienne est exposée dans une vitrine devant laquelle des
fidèles se
rassemblent
pour prier tandis que les autres parties de son corps se retrouvent
éparpillées
dans le monde. Les ossements de Saint Calixte sont exposés dans
une
vitrine en
république Tchèque et des milliers de personnes
s’agenouillent devant
ces
reliques pour prier ; dans l’église « Chiesa del
gesù » à Rome est
exposée pour
vénération la main de Saint Francis tandis que la
moitié de son bras se
retrouve au Singapour, à Hanoï, etc. Selon un ancien
Évêque catholique,
ces
reliques sont discrètement enterrées sur l’autel
où les messes sont
célébrées.
Par principe, la paroisse qui abrite la relique porte le nom du saint
dont la
relique se trouve enterrée. Le rôle de la relique à
cet endroit de
l’autel est
de communiquer son pouvoir ou sa sainteté au prêtre qui
célèbre la
messe.
Finalement, la messe elle-même devient un acte magique (30).
Lorsque vous
lisez les témoignages des magiciens convertis au christianisme,
vous
verrez que
ces mêmes reliques sont aussi utilisées par les
prêtres catholiques
pour
rentrer en contact avec le monde invisible des démons (22). Nous
sommes
allés
trop loin parce que nous n’avons pas gardé les yeux sur les
Saintes
Écritures.
Nous pratiquons de la sorcellerie dans sa forme la plus avancée
et
personne ne
s’en aperçoit. Si les autres religions découpaient leurs
morts en
morceaux et
se les distribuaient, cela nous aurait sauté
à l’œil.
Si les religions qui nous entourent se volaient les cadavres de
quelques
illuminés comme nous le faisons,
nous
aurions honte.
Mais nous pratiquons ces choses sans nous gêner. Par
conséquent, nous
pratiquons tranquillement un christianisme non biblique et dangereux
que
j’appelle « un christianisme satanique ».
Il faut
noter
que la vénération des dépouilles des saints du
catholicisme, la forme
la plus
dangereuse a commencé aux environs des années 156
après le martyre de Saint Polycarpe
de Smyrne et s’identifie
aux pratiques païennes en cours avant la naissance du
christianisme. Je
citerai
l’exemple des supposés restes d’Oedipus et Theseus qui faisaient
l’objet de
vénération à Athènes longtemps avant
l’ère chrétienne. Il y a aussi les
ossements ou cendres de Aesculapius, l’affaire de la distribution des
reliques
de Bouddha juste après sa mort (aux environs de 400 avant
Jésus-Christ)
etc.
(5), qui relevaient clairement du paganisme avant de faire leur
entrée
en force
dans le catholicisme et malheureusement considérés comme
des pratiques
chrétiennes.
St
François d’Assise Ste Catherine St
Francis
Que
dire du purgatoire
catholique ?
Toutes les
Bibles (catholique, protestante et celle des Témoins de
Jéhovah) sont
absolument
muettes sur le sujet du purgatoire. Ce mot n’existe sur aucune des
pages de nos
Bibles. Cette doctrine est encore un mensonge du diable subtilement
introduit
dans l’église catholique dans le but d’endormir les
fidèles dans leur
foi.
Aucun patriarche, aucun prophète, aucun roi des temps bibliques
n’a
enseigné
cela. Le Seigneur Jésus ou ses apôtres n’ont pas
mentionné ce mot. Par
conséquent, il n’y a pas de chance qu’un tel endroit puisse
exister.
Dans nos
églises catholiques, les prêtres nous recommandent
vivement de prier
pour le
repos des âmes de nos parents défunts. Ils nous
conseillent aussi de
prier pour
les âmes du purgatoire et beaucoup de messes sont
célébrées tous les
jours dans
les églises catholiques du monde entier pour le repos des
âmes. On nous
enseigne de même que les âmes du purgatoire peuvent
intercéder de
manière
efficace en notre faveur. Étant donné qu’ils sont dans la
souffrance
transitoire, leurs prières s’avéreraient efficaces.
À mon avis, cela
ressemble
plutôt à une invocation des morts. Cet enseignement n’est
pas biblique,
par
conséquent il n’est pas chrétien.
Adam et
Ève
ont-ils prié pour le repos de l’âme de leur
bien-aimé Abel ? Noé a-t-il
prié
pour les âmes éplorées du déluge ? Le roi
Saul et ses enfants, Samson
et bien
d’autres soldats moururent sur le champ d’honneur sans qu’une messe ne
soit
célébrée pour le repos de leurs âmes. Dans
l’histoire de la Bible, seul
Judas
Macchabée a violé cette loi de Dieu et nous, en tant que
catholiques
l’avons
imité par amour pour nos chers défunts. Pensez-vous aimer
ces âmes plus
que
celui qui les a créées ?
La Bible
enseigne que l’obéissance
docile est préférable aux sacrifices des bêtes les
plus
grasses. En effet, la désobéissance est aussi grave que
la divination,
et l’insoumission
aussi grave que l’idolâtrie. (1 Samuel 15 : 22 -23). La
désobéissance en Éden a
fait de notre monde l’enfer que nous vivons aujourd’hui. La
désobéissance des
Hébreux a fait qu’ils ont aussi été temporairement
abandonnés par leur
Dieu et
sont en permanence sous la menace de l’extermination. Ces deux exemples
ne sont
pas suffisants pour certains chrétiens qui continuent
d’enfreindre les
préceptes de Dieu en interrogeant des médiums ou des
esprits de mort
dans le
but d’acquérir de la connaissance. C’est de là que
viennent la plupart
des
doctrines sur le purgatoire. Exemple : Meinrad P. Hebga dans «
Sorcelleries et
prières de délivrance » (page 110), Inades
Édition.
Dans
Lévitique
19 : 31 le Seigneur a interdit tout contact avec les morts. Avez-vous
respecté
cela ? Comment osez-vous employer des méthodes anti-bibliques et
non
chrétiennes pour aboutir à des résultats
chrétiens ? Êtes-vous sûr que
les
informations reçues du monde invisible proviennent de Dieu et
approuvées par
lui ? La Bible enseigne qu’après la mort la situation des
esprits est
irréversible. Mais l’église catholique enseigne qu’il y a
un purgatoire
qui est
un lieu de rachat. Si le purgatoire existe tel qu’on nous l’enseigne
dans
l’église catholique, il doit réussir surtout aux hommes
riches. Parce
que pour
sortir du purgatoire il faudrait célébrer beaucoup de
messes et des
fois des
neuvaines de messes. Et si vous n’avez pas laissé une fortune
à votre
veuve et
à vos orphelins, vous risquez de poiroter longtemps dans cet
endroit
car les
messes ne sont pas gratuites : les hommes pensent qu’ils peuvent muter
les lois
du monde spirituel à coup de messes. Pour ma part, l’idée
du purgatoire
semble
un instrument pour la perte des âmes car la possibilité
d’être racheté
après la
mort, à coup de messes, encourage certains catholiques à
dormir dans
leur foi
ou à s’enliser dans leurs péchés au lieu de se
battre pour les vaincre.
Surtout, nous savons que le péché est bon, étant
le reflet de notre
nature
pécheresse, qui s’efforcerait ou se priverait de quelques
plaisirs !
Soyez
avisé : c’est ici sur terre que se décide votre
éternité. À la mort,
Jésus-Christ ne peut plus rien faire pour vous. Il n’y a pas de
pardon
dans le
séjour des morts. Vous trouverez des témoignages
très édifiants sur les
réalités
de l’après-vie à travers les sites Internet suivants :
www.ciel-et-enfer.skyrock.com ; www.gedeonchampion.com ; www.dailymotion.com (au niveau de
recherche,
écrire : enfer et paradis).
Satan,
peut-il
recevoir les prières adressées à Dieu ?
Peut-on
prier
Dieu et être exhaussé par un démon ? S’il s’agit du
Dieu d’Abraham, la
réponse
est oui. Parce que c’est un Dieu qui sait boucher ses oreilles et
l’histoire du
peuple juif est bondée d’exemples de ce type (Isaïe 1 :
15). Il exige
une
discipline de fer et recommande d’être adoré d’une
manière très
particulière.
Mais si vous violez un tant soit peu le principe par lequel il veut
être adoré,
alors, il se détournera de vous. Surtout si vous abritez des
idoles
dans votre
maison ou dans vos lieux de culte comme l’ont fait les
Israélites du
temps de
l’exode, à coup sûr, ce Dieu vous tournera le dos et les
démons
religieux se
joueront de vous.
Pour
illustrer
le fait que vos prières peuvent être déviées
avec succès à l’adresse
d’un autre
dieu ou d’un démon, je citerai l’exemple d’Isaac et ses deux
fils :
frappé par
le poids de l’âge, le patriarche Isaac avait perdu la vue.
Lorsqu’il
bénissait
Jacob, il pensait au fond de son cœur que c’était bien son fils
aîné
Ésaü qui
se tenait devant lui. Alors, il prononça la
bénédiction. Mais en
réalité,
c’était Jacob qui, par la duperie a détourné les
bénédictions de son
frère.
Lorsqu’Ésaü arriva, la chose était
irrémédiable et le patriarche Isaac
reconnut
que Jacob a usurpé la bénédiction de son
frère et que par conséquent,
il
restera béni. Comprenez-vous enfin ce fait bizarre ? Une
bénédiction ou
une
prière mal placée va toujours à la mauvaise
adresse. Lorsque Ésaü
implora une
bénédiction quelconque, son vieux père lui
répondit qu’il ne pouvait
rien faire
(Genèse 27). Le monde spirituel possède alors ses lois et
principes qui
échappent à la raison humaine. Il ne s’agit donc pas de
prier à votre
propre
manière. Il faut être sûr de prier selon la bonne
manière sinon, c’est
le malin
qui recevra votre louange en lieu et place du bon Dieu. Si vous pensez
que tous
les miracles qui s’opèrent dans vos prières sont un signe
d’approbation
de
Dieu, vous vous trompez car les démons religieux sont aussi de
grands
faiseurs
de miracles.
Les
noms de Dieu
Il m’est
arrivé de consulter les dirigeants locaux de certaines religions
pour
régler un
problème. Ils m’ont alors donné des noms à
réciter communément appelés
« les
noms de Dieu ». Je devais réciter ces noms cent cinquante
à deux cents
fois
toutes les nuits avant de m’endormir. Il y a environ cinquante noms.
Vous
verrez autour de vous des gens qui, à l’aide d’un chapelet,
récitent
continuellement un nom et qui comptent en égrainant leur
chapelet. Il y
a un
nom pour chaque difficulté de la vie, pour les affaires, pour la
protection,
etc. et l’invocation de ce nom est très efficace. Curieusement,
ces
noms de
Dieu ne se trouvent inscrits ni dans la Torah des Hébreux, ni
dans la
Bible des
chrétiens, ni dans le Coran des musulmans. En
réalité, ce sont des noms
d’anges
rebelles de Dieu qui se mettent au service des êtres humains.
Si vous
observez les objets de cultes récupérés lors des
fouilles
archéologiques des
temples égyptiens (21), vous retrouverez les mêmes
chapelets utilisés
dans le
catholicisme, dans l’islam et par certains bouddhistes. La taille des
chapelets
peut varier suivant les civilisations mais c’est toujours les
mêmes. Je
dois
avouer que les divinités d’Égypte et de l’Inde ont
trouvé le moyen de
s’exprimer de nouveau dans ce siècle au travers de nos religions
et
cultures.
Ils ont simplement changé de nom…
Chrétien :
dizainier sept
douleurs Islamic
Le mala boudique ou hindou Chaplete
egyptien
Observation
Dans ce
document, je ne fais pas mention de la transformation que ces
thaumaturges
catholiques ont apportée dans leur milieu à travers leurs
efforts, leur
charité
et leurs souffrances. Je ne parle pas non plus des efforts immenses que
le
catholicisme a tant déployés pour soulager la
misère des hommes en
transformant
positivement le monde à travers leurs institutions. Non. Ici, je
stipule d’une
manière spécifique sur l’origine et le fondement
spirituel de ces
phénomènes et
miracles catholiques à la lumière de La Parole de Dieu.
CHAPITRE
IV
CRITIQUES DE FAITS HISTORIQUES DE
L’ÉGLISE
CATHOLIQUE
Après
l’étude
des corps incorruptibles, des stigmatisés, des apparitions
mariales,
etc., on
peut dire sans se tromper que le catholicisme n’est pas biblique et par
conséquent, il n’est pas une religion chrétienne. On peut
aussi
parvenir à
cette conclusion par l’étude de l’histoire du christianisme. Il
s’agira
d’arborer la nature des fruits spirituels produits par l’église
papale.
Le
Seigneur Jésus-Christ disait en effet qu’on
reconnaît l’arbre
par ses fruits car un bon arbre produit toujours
de
bons fruits. Au
préambule, il est
indispensable de faire un rappel, un résumé succinct de
quelques faits
historiques notoires.
Les guerres
saintes
Les
croisades
En 627,
l’église catholique avait expulsé les Juifs de la Terre
Sainte. Mais
cela leur
apporta un grand malheur car dix ans plus tard, les musulmans
assiégèrent
Jérusalem et imposèrent l’Islam. L’objectif de
l’église était
d’expulser les
musulmans de Jérusalem. Pour ce faire, le pape Urbain inventa
une
nouvelle
stratégie qui sera la guerre sainte. Pour le salut des
âmes, pour le
pardon des
péchés, les catholiques devaient prendre
l’épée de guerre et combattre
les
musulmans jusqu’à ce qu’ils soient expulsés de
Jérusalem. La guerre
tarda à
commencer mais finit par éclater en 1099. Musulmans, Juifs,
Catholiques,
Turcs…périrent par millions au nom de Dieu et pour la
prépondérance de
l’église
catholique. L’église semblait avoir gagné la guerre
malgré les
nombreuses
pertes en vies humaines. Mais en 1169, Saladin prit le contrôle
des
forces de
l’Islam et récupéra pour l’Islam tous les lieux de
prière. C’est la
capture de
Jérusalem qui restera pour toujours dans les mains des
musulmans. Cette
guerre
sainte lancée par le pape fut alors un total échec… Une
troisième
croisade fut
lancée en vain en 1191. Puis une quatrième croisade dix
ans plus tard
par le
Pape Innocent II. Celle-ci fut catastrophique et tourna contre
l’église
byzantine : la majestueuse cité chrétienne de
Constantinople fut
ravagée par
les guerriers catholiques et d’autres croisades meurtrières se
sont
succédées
au cours des siècles.
Les
guerres saintes
L’inquisition
Après
les
guerres saintes, il y eut aussi les guerres contre ceux qui ne
croyaient pas à
la manière catholique. Il s’agissait de faire une enquête
sur la foi
d’un
individu afin de s’assurer qu’il croyait selon la doctrine catholique.
Ce fut
la période des dénonciations secrètes et les
suspects devaient se
repentir ou
mourir. On essayait d’abord de les convertir par des arguments, on les
faisant
porter des habits jaunes pour les différencier, et en cas de
récidive
ou de
refus, une mort ignoble dans le feu. C’est cela la Sainte Inquisition
dont le
but était d’exterminer les prétendus
hérétiques. Parmi les victimes des
inquisitions, on peut citer les Cathares qui payèrent un grand
prix.
Sous
l’ordre du Pape Innocent II, quatre à cinq mille personnes
furent
massacrées
dans l’église Sainte Marie-Madeleine le jour de la fête de
Sainte
Marie-Madeleine y compris de vrais catholiques venus participer
à la
messe. Une
tuerie aveugle. Il fallait tuer tout le monde sans exception et le bon
Dieu
choisirait ceux qui lui appartenaient ; tel était le cri de
cette
expédition
militaire. La croisade continua de cité en cité. Ceux qui
refusaient
d’embrasser la foi catholique périrent dans le feu. En 1202 en
France,
deux
cents personnes furent brûlées ensemble. Elles
chantèrent joyeusement
en
rentrant dans les flammes qui les dévorèrent tous. En
1244, le dernier
bastion
de Cathares se réfugia dans sa forteresse située sur une
colline. Après
un
siège de dix mois, deux cent cinq personnes furent
capturées et
exécutées sans
procès… Dans l’inquisition espagnole les juifs furent contraints
de se
convertir au catholicisme. Mais on retrouva chez certains d’entre eux
des
documents de la Pâques juive. Ils furent alors
considérés comme des
traîtres et
des blasphémateurs. En 1478, des milliers et des milliers de
juifs
furent
torturés et brûlés sur ordre de la papauté.
On estime que 40 millions
de
personnes furent torturées et massacrées par la sainte
Inquisition et
des
centaines de milliers lors des guerres saintes. Les croisades ont
été
toutes
des échecs et les conséquences sont énormes et
irréparables : des
millions de
pertes en vies humaines avec leurs conséquences sociales, la
haine
permanente
entre chrétiens et musulmans, entre catholiques et protestants,
l’écart
entre
chrétiens et juifs qui ont pourtant la même racine, etc.,
et l’église
catholique en est responsable. Il a fallu attendre plus de sept
siècles
(1978)
jusqu’à l’élection d’un grand pape au grand cœur : Jean
Paul II. Il
présenta au
monde entier des excuses pour les erreurs d’antan commises par
l’église
catholique, il fit un pas de réconciliation vers les juifs en
rentrant
dans les
synagogues, il voyagea à travers le monde pour prêcher la
réconciliation, la paix et la tolérance.
Les
tortures de la sainte inquisition
Une
église qui
tue ses enfants
Girolamo
Savonarola
Cet homme
fut
un prêtre catholique et un grand réformateur qui apparut
en 1480 dans
la ville
de florence en Italie. Il était outragé par les critiques
acerbes
faites sur
l’église catholique de l’époque. La papauté
s’était enfoncée dans la
luxure et
était accusée de corruption. On parlait aussi de scandale
sexuel et
d’abus
financier. Alors Savonarola se mit à dénoncer ces
exactions de
l’église,
critiqua les peintures scandaleuses de la renaissance sur la
nudité. Il
trouva
aussi que la Vierge Marie était habillée de
manière grotesque comme une
prostituée à travers la peinture et les statues. Alors,
il alluma un
feu de
vanité dans la ville en 1497 et la population y jeta tout objet
de
vanité et de
luxure : les statues, les objets d’art, les jeux de cartes, les livres
hérétiques de grande valeur, etc., furent jetés
pour être brûlés en
signe de
repentance et de conversion. Il devint une force politique et un
symbole de
justice… La papauté et les hommes riches de la renaissance se
sentaient
visés
et ils réagirent en conséquence : Savonarola fut
excommunié, tué et
brûlé avec
ses deux compagnons en plein centre de Florence à l’endroit
même où il
alluma
naguère le feu de vanité. Ses cendres furent ensuite
récupérées et
éparpillées
dans un cours d’eau afin que plus rien de lui ne subsistât. Il
fut donc
discrédité par l’église catholique.
Martin Luther
Comme
toujours, la semence incorruptible semée dans le cœur des hommes
va
encore
germer : un autre prêtre catholique, un moine allemand rentra en
scène
et
réussit à défier cette puissante organisation
religieuse qui se disait
chrétienne. Il s’agit de Martin Luther. Le dilemme
commença en 1505 à
l’époque
où le Pape Julien II décida de terrasser la vieille
basilique de Rome
pour
bâtir un édifice majestueux qui deviendra la Basilique
Saint Pierre de
Rome que
nous avons aujourd’hui. Une telle entreprise nécessite beaucoup
de
finances et
ce pape inventa « les indulgences
» afin
de thésauriser l’argent nécessaire pour la
réalisation de cette
gigantesque
oeuvre de foi. Il s’agit du salut à prix d’argent pour ceux qui
peuvent
se
l’acheter : avez-vous commis un péché et voulez-vous le
pardon ? Alors,
vous
payez et vous êtes indulgencié. Voulez-vous aller au ciel,
alors, payez
de
l’argent et nous signons une indulgence en votre faveur. Le pape
détiendrait ce
pouvoir du Christ, étant le vicaire du Seigneur Jésus sur
terre. En
effet, Le
Christ Jésus, avait accordé une puissante autorité
spirituelle à ses
apôtres
lorsqu’il leur dit : « Je
vous le déclare, c’est la vérité : tout ce
que vous exclurez sur terre sera exclu dans le ciel ; tout ce que vous
accueillerez sur terre sera accueilli dans le ciel. » (Mathieu 18
:
18). De
même, après sa
résurrection, lorsqu’il apparut à ses disciples, il leur
dit :
« Ceux à qui vous
pardonnerez leurs péchés obtiendront le pardon ; ceux
à qui vous
refuserez le
pardon ne l’obtiendront pas. » (Jean 20 : 23)…
Alors, le pape, nanti de
ce pouvoir, délie les péchés et offre le ciel
à prix d’argent à celui
qui peut
se l’acheter. Ce sont des faits historiques irréfutables et
aucun
catholique
instruit ne peut les contester à moins de vouloir jouer à
l’avocat du
diable.
Je dois souligner que ces pouvoirs de pardonner et de délier,
pouvoirs
accordés
aux apôtres, auraient dû s’exercer suivant la
volonté de Dieu et selon
son plan
d’amour pour les hommes. Jésus-Christ n’a tué personne et
n’a escroqué
personne. À juste titre, Luther considéra les indulgences
comme une
insulte à
la grâce de Dieu car La Bible enseigne que le salut de
l’âme s’obtient
gratuitement par la foi en christ Jésus (Romains 3 : 21-24).
Alors, il
accusa
le pape d’être lui-même un hérétique et
publia plusieurs écrits dans
lesquels
il qualifia le pape de démon et démontra que
l’église catholique était
«
Babylone la grande », c’est-à-dire, la mère de
toutes les impudicités
et des
abominations de la terre. L’imprimerie de Jean Gutenberg venait de
naître et
contribua grandement à la publication et à une large
distribution des
œuvres de
Luther qui gagna une grande audience en Europe. La Bible fut alors
traduite en
français, en anglais et en allemand et fut accessible pour la
première
fois au
commun des mortels. Le jour de la Toussaint, le 31 octobre 1517, il
cloua à la
porte de son église une bulle relevant quatre-vingt-dix points
de
désaccords
avec l’église catholique et par cet acte symbolique de
protestation, il
marqua
le début de la réforme : la naissance du protestantisme.
Ce mouvement
déclenché
par Luther se répandit en Allemagne, en Suisse et attira
d’autres
libres penseurs
qui étaient tous décidés à défier
l’autorité pontificale : c’est ainsi
que
commença la réforme protestante qui gagnera toute
l’Europe. En Suisse,
à
Genève, Jean Calvin employa la méthode biblique
professée par Luther.
Dans les
églises, la musique profane est bannie, le luxe est
écarté, les statues
sont
brûlées. Les peintures des saints sont effacées,
les icônes sont
détruites, les
bougies, les fresques, toute idole ou décoration distractive
sont
reléguées… La
France, l’Angleterre, la Scandinavie adoptent la réforme. Par
rapport à
cela,
la papauté réagit contre Martin Luther. Elle lui accorda
un délai pour
se
repentir et de renoncer à ses propos. Mais Martin demeura
inébranlable
et
refusa de coopérer à moins d’être convaincu par les
Saintes Écritures.
Par
bonheur, comme une grâce providentielle, un de ses amis le cacha
dans
un
château sauvant ainsi sa vie du bûcher.
Le
Saint-Siège
de Rome convoqua alors le concile de trente en Italie (1545-1563).
C’est le
concile de la contre-réforme qui rejeta en bloc la
réforme et condamna
les
réformateurs. L’église catholique invita d’abord les
réformateurs à se
repentir
et à rejoindre de nouveau le catholicisme. Ignace de Loyola et
ses
Jésuites
entrèrent en scène et par des écrits et des
enseignements, réussirent à
ramener
au catholicisme beaucoup de réformateurs. Mais en 1572, ceux qui
refusaient de
rejoindre l’église catholique devaient périr par la
guerre et les
premiers
martyrs protestants par milliers tombèrent sous
l’épée de la papauté.
Des
milliers et des milliers de protestants furent sauvagement
massacrés au
nom de
Dieu, au nom de l’unité de la foi catholique. Plus tard, aux
XVIIe et
XVIIIe
siècles, les réformateurs qui fuyaient la
persécution et la machine de
guerre
des papes finirent par trouver asile sur le nouveau continent
américain
qui
était hors de l’emprise de la papauté et où la
liberté religieuse était
tolérée…
William
Tendhall
L’esprit des
grands hommes ne meurt jamais. Après Martin Luther un autre
homme
apparut en
Angleterre et se donna aussi pour tâche de traduire la Bible en
anglais
simple
et accessible. La Bible était jusqu’alors la
propriété et le monopole
du clergé
catholique très instruit. Il réussit son œuvre de
traduction qui
donnera
naissance à cette Bible que nous avons aujourd’hui sous le nom
de « la
Bible du
professeur Thompson ». Il réussit ainsi à mettre
fin au monopole du
clergé
catholique sur l’accès aux Saintes Écritures et à
leurs
interprétations. Alors,
pour avoir divulgué les secrets bibliques, la papauté
réagit
impitoyablement,
l’arrêta, le tua par étranglement et le fit brûler
en public…
Girolamo
Savonarola Martin
Luther
Durant
des siècles, une partie des messes
catholiques était exclusivement réservée à
la malédiction des Juifs
parce que
l’Eglise les accusait d’avoir tué le fils de Dieu. Les Juifs en
ont
souffert et
ce programme ne fut retiré de la liturgie que récemment.
Ceci est une
grosse
erreur historique car les juifs ne sont pas du
tout responsables
de la mort du fils de Dieu. C’est Dieu lui-même qui a
sacrifié son fils
pour le
bénéfice de l’humanité et le fils en toute
liberté a consenti de se
livrer pour
notre bonheur éternel. Écoutons Jésus-Christ :
« Personne ne me
prend la
vie, mais je la donne volontairement. J’ai le pouvoir de la donner et
j’ai le
pouvoir de l’obtenir à nouveau. Cela correspond à l’ordre
que mon père
m’a
donné » (Jean 10 :18). Ce détail confirme
l’ignorance de nos
dirigeants
spirituels de La Bible et de son importance ; et également, leur
ignorance du
plan du salut de Dieu pour les hommes.
Quelques
questions et observations
Le
catholicisme défendu par les papes est celui-là
même dont nous avons
hérité.
Maintenant, nous savons que le catholicisme n’est pas biblique ni
même
chrétien. Si les papes défendaient la Bible, cela serait
compréhensible. Mais
ils n’ont défendu ni la Bible ni le christianisme mais
plutôt un credo
et une
foi catholique non biblique pour l’unité de l’empire romain dont
ils
étaient
les dirigeants. Selon Luther, les papes, en combattant
l’hérésie,
étaient
eux-mêmes des hérétiques qui ont cependant
massacré d’innocentes
personnes qui
cherchaient le vrai Dieu par les vraies méthodes bibliques. Je
partage
ce point
de vue de Luther et je prends la Bible comme mon témoin et mon
avocat
dans
cette étude critique du catholicisme qui est la suivante :
Le Christ et
ses apôtres ont-ils fait la guerre ?
Parlant des
croisades et des inquisitions, imaginez-vous un peu le Seigneur
Jésus-Christ prendre
un sabre et égorger tous ceux qui refusent de croire ou de prier
selon
son
enseignement. À quoi ressemblerait ce Christ ? Pourtant, c’est
exactement ce
que firent les papes du Moyen Âge, eux les «
représentants » de
Jésus-Christ
sur terre. Les apôtres du Christ n’ont pas fait la guerre.
Lorsque dans
le
jardin, Pierre brandit son épée et trancha l’oreille d’un
des soldats,
que lui
dit le Christ ? « Remets
ton épée à sa place car tous ceux qui prennent
l’épée périront par l’épée. »
(Mathieu 26 : 52).
Il est donc clair que la
guerre sainte n’est pas un principe du christianisme. Imaginez des
enfants de
Dieu qui tuent d’autres enfants de Dieu au nom de Dieu. Je me pose la
question
suivante : « Au nom de quel Dieu ? Au nom du doux Jésus ?
»
Pourquoi
avoir
attaqué les musulmans qui ont occupé Jérusalem ?
Si Dieu a jugé bon de
livrer
la Ville Sainte aux mains des musulmans, que peut faire un homme contre
la
volonté du Tout-Puissant ? Si vous lisez les écrits
accablants du livre
de
Jérémie, vous verrez que c’est Dieu qui a livré
son peuple à la
déportation et
à l’esclavage. C’est encore lui qui a permis de brûler
plusieurs fois
le temple
qui lui était consacré ainsi que la ville sainte qui
portait son nom et
personne ne peut évaluer l’immensité de la destruction
causée par Dieu
lorsque
sa colère s’enflamme.
Le Christ
est-il bien mort ?
Une des
raisons qui justifierait le christianisme militarisé serait que
beaucoup de
prêtres catholiques ont trouvé la mort dans l’exercice de
leurs
fonctions. L’exemple
le plus choquant est celui de Saint Boniface qui réussit sa
mission
sacerdotale
en convertissant une multitude au catholicisme mais fut tué par
un
pirate. À
partir de là, on trouva la nécessité d’introduire
l’armée dans le
travail des
missionnaires. Finalement, ce christianisme militarisé a
donné autre
chose. Je
pense que l’introduction des armes dans l’évangélisation
pour la
protection des
missionnaires est une fausse excuse car si vous ne forcez pas les gens
à
adhérer à votre religion, vous n’avez rien à
craindre d’eux. Le
christianisme
se veut une religion de paix et d’amour selon les principes de base
posés par
Jésus-Christ. Et même si vous mourez pour
l’évangile, vous avez répondu
à un
principe chrétien. En effet, le Seigneur Jésus disait :
« Un
élève n’est pas
plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté,
ils vous
persécuteront aussi
». Plus
loin, il dira : « Si
quelqu’un veut venir avec moi, qu’il cesse de penser à
lui-même, qu’il porte sa croix et me suive. En effet, celui qui
veut
sauver sa
vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie pour moi et pour la bonne
nouvelle
la sauvera » (Marc 8 : 34-35).
Le
Maître, Jésus de
Nazareth, est-il bien mort ? Non. Il est mort d’une manière
ignominieuse afin
de nous racheter. Les apôtres et les premiers martyrs
chrétiens,
comment
sont-ils morts ? À l’exception de Jean qui mourut naturellement,
tous
les
apôtres du Christ sont morts d’une manière abjecte
à l’instar de leur
Maître.
Ainsi donc, on peut dire que Saint Boniface est mort d’une bonne mort
car ayant
quitté ce monde à la manière de son maître
et sa mort ne saurait en
aucun cas
justifier un christianisme militarisé.
Crucifiement
St Boniface
Christ
Jésus a-t-il tué
tous les païens de son époque ?
Au nom de
l’unité de l’empire romain et du catholicisme, pour combattre le
fractionnisme
qui menaçait les fondements de l’église, les papes ont
brandi le sabre
de
guerre. Pourtant, il y a des territoires sur cette terre qui ont
refusé
de
recevoir le Christ. Il fut rejeté dans sa propre patrie (Luc 4 :
16-30)
et plus
tard, un village de Samarie refusa de le recevoir de sorte que ses
disciples
proposèrent de faire tomber le feu du ciel sur ce village. Sur
ce fait,
le
Seigneur leur fit des reproches (Luc 9 : 51-54). Ont-ils fait violence
? Non.
Voici l’enseignement du Prince de la Paix : « Partout
où des gens
refuseront de vous accueillir, quittez leur ville et secouez la
poussière de
vos pieds : ce sera un avertissement pour eux. » (Luc 9 : 5). De
même, lorsque le Christ
chassa la légion, les habitants de cette ville vinrent le
supplier de
quitter
leurs territoires (Mathieu 8 : 34). Le Maître a-t-il
refusé et a-t-il
brandi un
sabre de guerre contre ces gens qui le rejetèrent ? Non. Il a
enseigné
la
vérité et l’amour du prochain en tout temps malgré
les oppositions
jusqu’à en
mourir sans jamais tuer. Il n’y a donc aucune raison biblique pour les
papes de
tuer ceux qui refusaient d’embrasser le catholicisme. La guerre sainte
n’est
pas biblique. Elle n’est pas chrétienne. La guerre sainte est un
art du
diable
car il est un meurtrier dès le commencement (Jean 8 : 44) et
ceux qui
pratiquent l’art des armes pour leur religion sont des sectateurs du
meurtrier
original.
Les papes
affirment qu’ils sont les vicaires de Jésus-Christ sur terre.
Mais
lorsque vous
étudiez les caractéristiques qui identifient le Christ,
vous constatez
que nos
papes du Moyen Âge étaient bien loin de remplir les
conditions d’âme du
vrai
Jésus. Le prophète Isaïe nous décrit
l’identité du Sauveur : « Voici
mon serviteur
que j’ai choisi, dit Dieu, celui que j’aime et en qui je mets toute ma
joie. Je
placerai mon esprit sur lui et il annoncera aux nations le droit que
j’instaure. Il ne disputera avec personne et ne criera pas, on ne
l’entendra
pas faire des discours dans les rues. Il
ne cassera pas
le roseau déjà plié et n’éteindra pas la
lampe dont la lumière faiblit.
Il agira ainsi
jusqu’à ce qu’il ait fait triompher le droit ; et toutes les
nations
mettront
leur espoir en lui. » (Mathieu 12 : 18-21). Les
vicaires du doux Jésus
sur terre qui sont nos papes, remplissaient-ils ces critères
lorsqu’ils
tuèrent
tous ceux qui étaient faibles dans la foi ? Tout le Moyen
Âge est
baptisé de «
sombre période » surtout à cause des actes barbares
posés par les
papes. Cela
révèle l’identité réelle de cette
église papale qui porte un manteau
chrétien.
Le Seigneur Jésus disait : « Gardez-vous
des faux prophètes. Ils viennent à
vous déguisés en brebis, mais au-dedans ce sont des loups
féroces. Vous
les
reconnaîtrez à leur conduite… un bon arbre produit de bons
fruits et un
arbre
malade de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut pas produire de mauvais
fruits
ni un arbre malade de bons fruits. » (Mathieu 7 : 15-18).
Le monopole
de
la Bible
La Bible est
la Parole de Dieu et la Parole de Dieu, c’est Jésus-Christ.
Pourquoi le
clergé
catholique a-t-il tenté pendant des siècles de cacher la
Parole de Dieu
au
peuple chrétien ? Cacher la Bible c’est retirer aux hommes la
clef du
savoir
devant conduire au salut de leurs âmes. À juste titre,
l’Éternel Dieu
disait : «
Mon peuple périt
parce qu’il manque de connaissances. » (Osée 4 : 6). Pourquoi
alors tuer ceux qui
ont dévoilé les secrets de la Bible en la traduisant en
langues
vernaculaires,
simples et accessibles ? Ceux qui ont perpétré ces
atrocités démontrent
clairement à travers leurs œuvres qu’ils n’étaient pas
des saints
serviteurs de
Jésus-Christ. Ils ont leurs raisons et ils
révèlent par leurs actes
qu’ils
étaient des ennemis du salut des âmes. Par
conséquent, il n’est pas
exagéré de
conclure qu’ils étaient eux aussi sous la mouvance des
démons religieux.
Rapport sur
la
vie de quelques papes
Les papes se
sont octroyés le titre honorifique
de «
Saint-père ».
Curieusement, Jésus Christ utilise ce même titre divin
lorsqu’il
s’adresse à
son divin Père (Voir Jean 17 :11). De même, les
évêques sont conférés
du titre
de « Mon Seigneur », un titre biblique exclusivement
réservé à Dieu et
à son Messie
que les chrétiens utilisent tous les jours dans leurs
prières. Nos
dirigeants
spirituels, ont-ils manifesté du respect à la
sainteté de Dieu en
s’attribuant
ces titres divins ? La Bible enseigne clairement que tout
chrétien qui
croit à
la manière d’Abraham et qui accepte Jésus-Christ comme
sauveur est
rendu juste
devant Dieu. Un tel chrétien est un saint aux yeux de Dieu
grâce au
substitut
du sacrifice sanglant de Jésus à la croix. Il n’y a donc
pas d’autres
critères
à la sainteté. Et seul Dieu qui sonde les cœurs est
habilité à désigner
les
saints. Malheureusement, nos papes qui sont des humains, donc des
pécheurs par
nature, canonisent des saints selon des critères qui leur sont
propres.
Ils ont
ainsi usurpé à tors le pouvoir et le droit divins en
portant une
atteinte grave
à l’autorité de Dieu. De telles dérogations
spirituelles ne peuvent
manquer de
conséquences alarmantes et voici quelque unes :
–
L’histoire cite l’exemple d’un Pape, Jean XII (955-963)
qui avait un goût raffiné pour les femmes. Des veuves, des
filles
vierges et
des femmes qui venaient en pèlerinage à Saint Pierre de
Rome furent
conduites
de force sur le lit de ce Pape qui mourut finalement dans les bras
d’une de ses
concubines. Il donna le trésor de l’église à ses
enfants illégitimes.
–
Un autre Pape, Urbain VI fut élu en 1378 par un concile
de Rome. Il était remarquablement intelligent mais pour des
raisons
inconnues
il devint comme paranoïaque, emprisonna six de ses cardinaux et
prit le
malsain
plaisir de les tuer par noyade. Pourtant tous les papes sont
appelés du
titre
de « Sa Sainteté le Pape X ». Sont-ce là des
œuvres de sainteté ?
–
Au Xe siècle, il y eut vingt-cinq papes. Onze furent
déposés avec violence, un le fut deux fois. Cinq furent
tués, deux
furent
mutilés, un le fut à titre posthume. En effet, en 896,
Pape Étienne VI
exhuma
les ossements de son rival le Pape Formose neuf mois après son
inhumation. Les
ossements de ce pape devaient alors faire l’objet d’un procès
macabre
car il
était accusé d’hérésie. Il sortit coupable
de cette parodie de procès
et ses
trois doigts qui servaient à la bénédiction papale
furent découpés et
le reste
de son corps jeté dans l’eau du Tibre. Quelques mois plus tard,
Étienne
lui-même fut mis en prison et tué. Son successeur Romain
(897-897) fut
déposé
violemment et son successeur Théodore II (897-897) fut
tué… En 904, le
Pape
Christophe tua le pape Léon 5 (903-903) et fut tué
à son tour, etc.,
etc.
–
Le temps me manque pour parler du pape Julius III qui
avait une passion pour les singes à tel point qu’il promût
son gardien
de
singes au rang de Cardinal. Je ne m’attarderai pas non plus sur le cas
du pape
Alexandre VI (1492-1503) dont le règne fut dominé par la
luxure,
l’avarice et
le népotisme. Il mourut empoisonné en buvant par erreur
dans un verre
empoisonné
qu’il avait préparé pour son hôte, etc., etc. (17).
Ces faits ont été
enregistrés sur les documents de l’histoire du christianisme et
le
Vatican ne
peut les démentir.
–
Le
Pape Grégoire VII imposa le célibat aux
prêtres catholiques et ces derniers, alors mariés, furent
contraints de
répudier leurs femmes. De nos jours, le résultat d’une
telle
imposition, le
poids de ce fardeau a pour conséquences le scandale sexuel des
prêtres
catholiques qui fait la une des journaux. Chaque ville ou chaque
quartier
possède sa propre histoire sur le scandale des prêtres.
Ici aux USA,
pour
l’année 2006-2007, le Cardinal de Washington DC a
déboursé un million
de
dollars et demi pour compenser les victimes de ses prêtres.
Femmes,
jeunes
filles, jeunes hommes et enfants furent dédommagés pour
avoir été
sexuellement
abusés par les prêtres catholiques. À ceci s’ajoute
l’exemple des papes
qui ont
organisé les guerres saintes, les croisades et qui ont
tué des millions
d’âmes
au nom du Seigneur Jésus alors que le Christ a choisi un message
d’amour au
point de mourir pour ceux qu’il aime.
Tous les
exemples ci-dessus cités parmi tant d’autres démontrent
sans ambages
que les
papes du Moyen Âge et l’église catholique étaient
très loin du
christianisme
biblique. Aujourd’hui, l’église catholique tente de s’adapter et
réclame le
titre « d’une église sainte, catholique et apostolique
». Pourtant, je
viens de
démontrer à travers les démons religieux, les
stigmatisés, les corps
incorruptibles, les apparitions mariales et l’histoire du christianisme
que
cette église n’a toujours pas les conditions spirituelles
bibliques
requises
pour être qualifiée de chrétienne. Mais
l’église catholique néanmoins
tente de
s’adapter. Quoi qu’il en soit, c’est toujours les mêmes
démons
religieux avec
leur institution religieuse qui changent constamment de manteaux en
fonction
des civilisations.
Le
procès des ossements du
Pape Formose
Pensez-vous
que ces papes ont fait la rencontre de Jésus-Christ ?
À mon
avis,
ces papes sanguinaires n’ont pas fait la rencontre du Seigneur
Jésus.
Paul
aussi ravageait l’église, torturait les chrétiens et les
jetait en
prison
(actes 8 : 1-3). Il était rempli de zèle pour le
judaïsme. Mais
lorsqu’il
rencontra le Seigneur Jésus sur la route de Damas, il
déposa son sabre
et
retourna son manteau pour mourir décapité au nom de son
Dieu. L’apôtre
Pierre a
aussi brandi l’épée dans le jardin des oliviers lors de
l’arrestation
de son
Maître et le sang a jailli. Mais le Seigneur Jésus lui fit
déposer son
arme
(Jean 18 : 11). Pierre obéit pour finir aussi par une mort
douloureuse
sur la
croix. C’est ainsi le comportement de ceux qui ont fait la rencontre du
Seigneur Jésus. La conversion profonde, une nouvelle naissance
soutenue
par
l’amour du prochain. Ceux qui ont massacré les musulmans, les
juifs,
les
protestants, les Cathares, les gnostiques au nom de Dieu ne semblent
pas avoir
fait la rencontre de Jésus-Christ. Ils ont agi peut-être
par ignorance
des
Saintes Écritures et de ce fait, ils ont agi pour le compte du
malin
même s’ils
pensaient rendre un service à Dieu.
À
travers les
guerres religieuses, des millions de personnes furent massacrées
au nom
de la
foi catholique par les vicaires de Jésus-Christ. Alors, trois
grandes
questions
se posent :
–
Sont-ils de vrais représentants du Doux Jésus, ou se
sont-ils imposé ce titre parce qu’ils en avaient le pouvoir ?
–
Ont-ils représenté avec honneur le christianisme
d’amour pour lequel
Christ
est mort ou l’ont-ils discrédité aux yeux du monde
?
–
Ont-ils
agi sous l’inspiration du Saint-Esprit
ou est-ce là l’œuvre parfaite
des
démons religieux ? C’est à vous de juger.
L’empereur
Constantin a-t-il sauvé le christianisme ?
Lorsque Rome
gouvernait le monde, il y eut des moments où le christianisme
était une
religion interdite. Les empereurs qui se prenaient pour des
divinités
ne
supportaient pas l’idée compétitive d’un autre dieu. Par
conséquent,
tous ceux
qui pratiquaient le christianisme étaient
considérés comme des ennemis
de
l’empire et devaient payer de leur vie. La sentence était une
mort
affreuse. La
mort sur le bûcher, la mort par crucifixion, la mort en
combattant
contre les
gladiateurs ou les animaux sauvages dans les amphithéâtres
de la cité
éternelle,
etc. Curieusement, plus il était persécuté, plus
le christianisme
s’organisait
dans la clandestinité. La persécution était donc
un échec et le sang
des
chrétiens semblait constituer une nouvelle semence pour la
floraison de
cette
religion censurée. Échec pour les empereurs sanguinaires
et surtout
pour le
malin qui utilise les empereurs et leurs armées barbares pour
gommer le
christianisme. Les persécutions prirent fin lorsque Constantin
devint
empereur
de Rome. C’est lui qui rendit le christianisme officiel. Étant
une
religion
persécutée, le christianisme devint alors une religion
prédominante
sous son
instigation. Cet empereur réorganisa le christianisme et
grâce à ses
efforts,
le credo chrétien et la première Bible apparurent. Il fut
un politicien
rusé
qui réussit à concilier politique et christianisme pour
consolider son
règne
impérial : un seul royaume sous la mouvance d’une seule
religion. Il
est
considéré comme un grand saint et une des grandes figures
du
christianisme.
Mais c’est ici que se cache toute la ruse du diable et je vais vous
démontrer
que ce présumé sauveur du christianisme est plutôt
un instrument du
malin qui a
décapité le christianisme. Il n’a point ôté
la vie d’un chrétien mais
il a fait
pire que les autres empereurs sanguinaires. Par une intelligente
manœuvre, il a
tué l’âme du christianisme en échange de
liberté. Je citerai quelques
exemples.
Le repos
sabbatique et le repos au jour de la résurrection
Lorsque
Constantin prit le risque de se faire empereur par un coup
d’état
militaire, il
obtint miraculeusement le soutient du ciel. Oui, avant l’attaque, il
eut une
vision du Seigneur Jésus qui lui aurait apparu dans le soleil et
lui
aurait
recommandé de combattre sous le signe de la croix. Il
obéit aux
instructions de
cette apparition et réussit son coup d’état et devint
empereur de Rome.
Ayant
obtenu la victoire sous le signe de la croix, il rendit le
christianisme
officiel et à partir de ce moment, la persécution des
chrétiens prit
fin pour
de bon. Mais c’est ici que se joue le grand jeu des démons
religieux,
ces
experts des religions, ces experts en sabotage et patrons de la
déception. Ma
tentative est d’attirer votre attention sur un fait bienheureux
d’apparence
mais qui en réalité est une abomination emballée
dans un joli papier de
sainteté.
Depuis quand
un empereur romain a-t-il plié les genoux devant le Dieu des
chrétiens
?
Eux-mêmes prétendaient être des dieux et exigeaient
d’être adorés par
le
peuple. Voici un acte apparemment insignifiant, perpétré
par cet
empereur qui
trahit néanmoins son secret : le sabbat est un jour du Dieu
Jéhovah, un
jour
qui lui est strictement réservé. Il est
célébré le samedi (précisément
dans la
période située entre le vendredi soir au coucher du
soleil et le samedi
soir au
coucher du soleil). Un jour sacré et très spécial
qui possède sa
spécificité et
des lois intransigeantes. Mais que fit l’empereur Constantin ? Il
changea le
jour du repos sabbatique. Au lieu de se reposer le samedi, sous son
instigation, les chrétiens se reposent désormais le
dimanche. Ceci est
une
haute trahison pour le christianisme car le dimanche est le jour
spécial du
dieu soleil, le dieu païen de l’empereur Constantin. Comme
confirmation, durant
le règne de cet empereur, les pièces de monnaie ne
portaient pas
l’effigie de
Jésus-Christ. Elles portaient plutôt l’effigie du dieu
soleil. Ainsi
donc, par
une manœuvre adroite, il a fait du christianisme une religion
païenne.
Comprenez-vous maintenant pourquoi les prêtres catholiques du
monde
entier
portent toujours des habits jaunes pour célébrer la messe
du dimanche ?
La
couleur jaune est celle du dieu soleil.
Comme
toujours, les hommes trouveront des excuses pour se justifier
lorsqu’ils
sabotent les préceptes de Dieu et voici un autre gros mensonge :
les
chrétiens
prétendent adorer le dimanche parce que c’est le jour de la
résurrection du
Christ. Mais vous devez accepter l’amère vérité
que ce choix ne fut pas
ordonné
par le Dieu de la Bible. Ce sont les hommes forts du catholicisme qui
l’ont
imposé à partir de la Phrygie en 364 AD lors du concile
de Laodicée
(Canon
XXIX). Le Dieu des Hébreux depuis toujours veut être
honoré au sabbat
et c’est
que font les juifs depuis des siècles. Même si le Dieu de
la Bible est
maître
du temps, le dimanche depuis la nuit des temps est néanmoins
réservé
pour
l’adoration du dieu soleil et ceux qui adorent ou se reposent le
dimanche,
qu’ils veuillent ou non ne se conforment pas à la volonté
du Dieu des
Hébreux.
Quand bien
même il réorganisa le christianisme, l’empereur Constantin
n’accepta le
baptême
chrétien que sur son lit de mort. Je ne considère pas ce
baptême comme
le signe
d’une véritable conversion car les actes qui
précèdent la mort sont
souvent
minés par la peur bleue de l’inconnu qui se cache après
la mort. À mon
avis,
cet homme fut utilisé par le malin pour réorganiser le
christianisme en
lui
donnant une base fausse pour sa destruction spirituelle.
Rome
était la
capitale de l’empire depuis sa naissance. Mais l’empereur Constantin
décida de
transférer la capitale jusqu’en Turquie et cette nouvelle
capitale
romaine
portera désormais son nom : Constantinople. Quelles que soient
les
raisons
évoquées, cet acte causera plus tard une scission
irréparable dans le
catholicisme : la naissance du catholicisme orthodoxe avec son culte
idolâtrique. De mon point de vue, lui aussi était sous
l’onction des
démons
religieux. Ce n’est pas le Christ Jésus qui lui est apparu dans
le
soleil avant
la bataille lors de son coup d’état militaire mais plutôt
le malin, le
dieu
soleil en personne. De tout temps, Jésus-Christ a rejeté
la guerre et
toute
forme de violence. Il ne peut donc pas se contredire, apparaître
dans
le soleil
et inviter les Romains à se massacrer pour des raisons
politiques. Tout
s’explique par l’infiltration des démons religieux dans le
catholicisme. À
juste titre, la nouvelle structure papale qui émergea plus tard
sous
son
instigation régnera aussi par la terreur, la barbarie et des
guerres
effroyables au Moyen Âge. Voici comment un homme rusé,
l’empereur
Constantin,
par une manœuvre satanique a ôté au christianisme son
âme et fait du
catholicisme un instrument efficace pour la perte des âmes.
Le
Vatican Empereur
Constantin Hagia
Sophia Constantinople
La
Noël, une fête
païenne
Jésus-Christ
de son vivant n’a jamais célébré l’anniversaire de
sa naissance. Mais
il a
toujours fait mention de sa mort et il a vivement recommandé aux
chrétiens de
toujours s’en souvenir. La Pâques devrait alors constituer la
plus
grande fête
chrétienne selon l’enseignement du Seigneur. Malheureusement,
jusqu’à
aujourd’hui, la fête de Pâques passe presque
inaperçue. Par contre, on
passe
des mois à préparer la Noël et on s’en souvient des
mois après.
Observez
partout ce qui se passe à Noël et vous verrez que
Jésus-Christ n’est
pas
pleinement célébré en ce jour. Les magasins sont
remplis des statues du
père
Noël (Saint Nicolas de Turquie), les grottes exposent les statues
de
Marie, du
petit Jésus, de Saint Joseph, des Rois mages, des bergers, des
animaux,
etc.,
la musique et les films sont loin d’être chrétiens… Mais
savez-vous que
le 25
décembre depuis l’antiquité est spécifiquement
réservé au dieu soleil ?
Oui,
partout dans l’empire romain, dans toute l’Europe, longtemps avant la
naissance
du christianisme, on célébrait toujours le 25
décembre la grande fête
du dieu
soleil avec les mêmes rites que nous avons à Noël.
À savoir : l’arbre
de Noël,
les feux ou luminaires qui décorent nos maisons, les cadeaux,
les
réjouissances… L’église catholique, sous prétexte
de combattre cette
fête
païenne aura imposé de célébrer en ce jour la
naissance du Christ et
ainsi elle
a réussi à orienter les chrétiens vers une
fête païenne jamais
mentionnée par
le sauveur. Elle a réussi à conditionner leur
volonté de sorte qu’ils
adorent
Dieu le jour où le dieu soleil reçoit ses honneurs.
Apparemment cela
semble
positif mais au vu de ce qui se passe à Noël vous pouvez
conclure que
les
esprits méchants sont très adroits et savent
réclamer leurs droits.
Maintenant
vous constatez que le Christ n’est pas pleinement honoré en ce
jour de
Noël. À
Noël, les cœurs ne sont pas tournés vers
Jésus-Christ mais plutôt vers
les
réjouissances sarcastiques. C’est encore une manœuvre
réussie des
démons
religieux qui agissent au compte du dieu soleil.
Si vous
étudiez l’histoire de la Rome antique, vous y verrez une
multitude de
faits
émanant du paganisme et qui furent introduits dans le
catholicisme sous
le
couvert d’un manteau chrétien. C’est le cas des images du bon
berger où
Jésus-Christ porte un mouton aux épaules, le cas de la
Vierge Marie
avec le
petit enfant Jésus à ses pieds, le cas où les
reliques sont vénérées de
la
manière la plus dangereuse, etc. Même le chant
grégorien dans toute sa
beauté
est d’origine païenne.
Observations
L’histoire
nous apprend que le christianisme véritable a été
étouffé dès sa
naissance par
les empereurs romains. Le feu, les animaux sauvages
dévorèrent les
chrétiens
sur ordre des empereurs. Mais la nouvelle structure papale qui
remplaça
les
empereurs romains n’agit pas mieux car elle s’est efforcée de
cacher la
Bible
et imposa par la violence un christianisme non biblique. Mais lorsque
la Bible
réapparut à l’ère de l’imprimerie, un nouveau
christianisme biblique
surgit et
les papes, à la manière des empereurs romains
s’opposèrent de nouveau à
ce
christianisme biblique en excommuniant, en brûlant, ceux qui
tentèrent
de
traduire cette bible, provoquant ainsi la séparation de
l’église par la
naissance du protestantisme. De sorte que l’on peut dire sans se
tromper que
les deux mille ans de l’histoire chrétienne déjà
écoulés ne sont rien
d’autre
que « deux mille ans de l’histoire du catholicisme ».
De nos
jours, seules les églises
évangéliques sont restées fidèles à
la doctrine chrétienne contenue
dans la
Sainte Bible. Au vu de l’histoire du christianisme et
particulièrement
celle de
l’église catholique, j’en viens à la conclusion que : ma
très chère et
bien-aimée église catholique n’est pas une église
biblique. Par
conséquent,
elle n’est pas une église chrétienne même si elle
utilise la Bible et
le nom de
Jésus-Christ.
Je n’accuse
personne dans ce procès. Du Saint-Père aux fidèles
catholiques dont je
fais
partie en passant par les cardinaux, évêques et
prêtres, personne ne
porte la
responsabilité. Ce sont nos ancêtres dans la foi
catholique qui se sont
laissé
tromper par le malin et par conséquent, ils nous ont transmis
ces
erreurs. Nous
avons donc hérité et développé
inconsciemment un christianisme
satanique. Nous
sommes tous nés dans l’erreur religieuse et nous sommes tous
nés
trompés. Notre
grand péché est que nous avons fermé les yeux sur
ces vérités bibliques
et à
travers une parodie de réforme, nous maintenons les
fidèles catholiques
dans
l’erreur sans égard pour le salut des âmes. Nous nous
sommes laissé
prendre
dans un engrenage spirituel d’apparitions et de miracles et nous nous
érigeons
maintenant en avocats du diable lorsque nous défendons ces
hérésies et
lorsque
nous formons des intellectuels qui défendent cette religion sans
égard
aux
vérités écriées par la Bible.
CHAPITRE V
LE DYNAMISME DES ANGES DÉCHUS
Le dynamisme
des démons religieux, tel que nous l’avons vu, est une subtile
infiltration des
anges rebelles dans les religions du monde dont le but serait de les
corrompre.
C’est l’attaque stratégique inédite la mieux
réussie. Cette infestation
satanique est opérationnelle dans toutes les religions de la
planète.
Même les
églises chrétiennes issues de la réforme et qui
possèdent une puissante
onction
de l’Esprit Saint n’échappent pas à ces assauts. Ce
chapitre est un
recueil de
témoignages confondus qui aide à mieux appréhender
le stratagème de ces
anges
rebelles de Dieu qui portent toujours un masque de sainteté.
Dans
l’église
catholique
L’observation
des miracles qui s’opèrent dans l’église catholique
témoigne qu’elle
est une
cible privilégiée des démons religieux. Les
apparitions mariales, les
stigmatisés, les incorruptibles sont des exemples réussis
de leurs
supercheries. À ceci s’ajoute une foule d’apparitions
apparemment
sacro-saintes
mais qui sont en réalité des pièges bien
déguisés des démons religieux.
Parmi
ces apparitions, se comptent celles du Seigneur Jésus à
Dozulé
(France), à
Sainte Brigitte qui donna naissance à la prière des
quatorze oraisons
que j’ai
récitées durant des années ; et surtout
(tenez-vous bien) les
apparitions du
Christ Jésus à soeur Faustine qui donnèrent
naissance au culte du «
Sacré-Cœur
de Jésus » et aussi, le culte du « cœur douloureux
et immaculé de Marie
».
Cœur
sacré et miséricordieux
de Jésus/ Cœur douloureux et immaculé de Marie
Le
prophète du renouveau charismatique de ma
paroisse relatait que pendant la communion des fidèles, il
voyait aussi
la
Vierge Marie assise en reine sur un trône et que des anges
l’entouraient et la
nourrissaient… Aussi, un ancien prêtre de ma paroisse (mon cousin
du
pays
Ashanti) m’a relaté le témoignage d’un de ses
fidèles qui était réputé
pour ses
visions. Ce témoignage m’a paru banal à l’époque
mais dix années plus
tard, il
constitue désormais le maillon d’une chaîne : selon lui,
ce fidèle
racontait
que pendant la messe, lors de la consécration, il voyait des
démons
entretenir
des rapports sexuels sur l’autel. Pendant que le prêtre levait le
pain
et le
vin et disait : « Ceci est mon corps, ceci est mon sang… »
; au
moment où le miracle se produisait, à l’instant où
le pain et le vin se
transformaient en corps et sang du Christ ; à ces
précieux moments, ils
se
trouvaient des démons qui s’accouplaient sur ce même autel
de Dieu.
Vous êtes
libres d’interpréter cela selon votre entendement. Mais à
mon avis,
lorsque le
Dieu Saint se manifeste dans un endroit, dans toute sa puissance et sa
sainteté, aucun démon n’est suffisamment fou pour s’en
approcher encore
moins y
pratiquer une intercourse sexuelle. Cet exemple est un
témoignage qui
démontre
l’omniprésence des démons religieux au cœur
de l’église catholique même si nos yeux ne voient
que beauté,
pureté, et
sainteté.
Souvent, les
hommes se livrent eux-mêmes aux démons religieux sans le
savoir.
Lorsque dans
leur zèle ils s’adonnent à des pratiques non bibliques,
les démons
interprètent
cela comme une invitation et en fin de compte, ces personnes deviennent
des
mystiques : par exemple, au cinquième siècle, des hommes
choisirent la
solitude
et l’austérité ; rejetèrent les richesses et le
confort de la vie pour
se
réfugier dans le désert dans le but de prier, de
méditer et de jeûner.
Il
s’agit des moines catholiques qui attirèrent à eux des
centaines
d’ermites tous
décidés de vivre dans la solitude. Certains d’entre eux
furent
canonisés par
l’église catholique. Quand bien même cette vie monastique
s’offrait de
punir le
corps en vue de parvenir à une certaine sanctification, je
noterai
cependant
des attitudes rocambolesques, non-bibliques et qui sortent de
l’ordinaire. Par
exemple, certains moines ont passé toute leur vie,
perchés sur des
arbres.
D’autres vécurent dans des grottes et Saint Antoine
d’Égypte, considéré
comme
le fondateur du mouvement monastique a vécu dix ans dans des
cimetières
et dans
des tombes toujours à la recherche de Dieu. Quel Dieu
pensez-vous
trouver dans
un cimetière? Je citerai aussi le cas de Saint Simon S. qui a
passé une
partie
de sa vie (de 422 à 459) accroché à un
pylône et exposé à toutes les
intempéries du désert de Syrie de nuit comme de jour.
Imaginez-vous un
pilier
d’environ quinze mètres de hauteur et d’un mètre
carré d’épaisseur
taillé
naturellement sur un roc volcanique. Imaginez un être humain qui
s’y
hisse
pendant trente-sept ans sans jamais descendre… Comme
conséquences,
beaucoup
d’entre eux reportent avoir été victimes de terribles
attaques
démoniaques…
Même s’ils pensaient imiter le Christ qui a passé quarante
jours dans
le désert
pour affronter le démon, il faudrait néanmoins remarquer
que
Jésus-Christ
n’était pas un simple être humain et de surcroît, il
était investi
d’une
mission providentielle très spéciale.
Afin de
porter
un jugement critique, je ne manquerai pas de souligner l’exemple de
l’homme du
territoire des Géraséniens qui était
possédé d’une légion de démons et
qui vivait
aussi dans des cimetières (Marc 5 : 1-17). De même, le
Christ Jésus
révèle que
les endroits désertiques sont les lieux de prédilection
des démons (Luc
11 : 24).
Par conséquent, je dois
conclure que ces moines pieux qui vivaient aussi dans les
cimetières,
dans le
désert, sur les pylônes et sur les arbres étaient
eux aussi sous
l’influence
des démons religieux même si leur vie se résumait
à la méditation, aux
jeûnes
et à la prière.
C’est ici que
la réflexion de William B. se confirme : « Vous pouvez
être sérieux
dans la
pratique de votre religion et être sérieusement dans
l’erreur sans même
vous en
rendre compte. »
Dans les
églises protestantes
Même
les
églises évangéliques communément
appelées « Protestantes » n’échappent
pas aux
assauts et aux ruses des démons religieux. Mais là-bas,
ces démons sont
toujours démasqués, expulsés et Dieu se trouve
ainsi glorifié. Le
diable et ses
démons ont miné le terrain de la foi chrétienne.
Ils sont partout et
seule la
présence du vrai Saint-Esprit peut les détecter et les
neutraliser. Ils
ne
cesseront de traumatiser les chrétiens que pendant le
règne millénaire
du
Christ au cours duquel ils seront emprisonnés dans l’abîme
(Apocalypse
20 :
1-3).
Dans
l’église
du pasteur exorciste qui m’a délivré de mes assaillants,
un exemple
riche
d’enseignements mérite d’être mentionné : pendant
que toute l’église
était en
pleine adoration, pendant que l’Esprit de Dieu était à
l’œuvre, deux
femmes se
mirent à prophétiser. La première donna une
prophétie qui fut
interprétée par
la seconde et vice versa. Apparemment, tout était en ordre. Mais
soudain, le
pasteur se leva et dit : « L’Esprit de Dieu vient de me
révéler qu’une
des
femmes a prophétisé sous l’onction d’un esprit de
sorcellerie ». Le
pasteur
demanda alors à l’assemblée de baisser la tête et
de fermer les yeux de
sorte
que la personne concernée puisse lever son petit doigt sans
être vu de personne. Ainsi donc, il pourra prier pour sa
délivrance.
Malgré les efforts du pasteur et de l’assemblée, personne
ne se
manifesta.
Alors, la confusion tourna au ridicule. Qui a menti ? Dieu ? Le
Saint-Esprit ou
le pasteur ? Alors le pasteur pria l’Esprit de Dieu de manifester sa
puissance
et de divulguer l’identité de cette sorcière qui se cache
comme une
louve parmi
les enfants de Dieu. Pendant l’intercession du pasteur, une force
invisible
projeta la femme hors de l’assemblée et, par une danse macabre,
elle
tituba et
finit par s’écrouler devant le pasteur. Après lui avoir
reproché son
entêtement, le pasteur pria pour elle et elle fut
délivrée. Mieux que
ça,
l’Esprit Saint révéla encore que dans sa
progéniture, deux filles
exercent
également ce même pouvoir. Elles furent convoquées
par le pasteur et
reconnurent les faits. Elles avouèrent qu’elles se sont
retrouvées en
train d’exercer
ce pouvoir depuis leur enfance. Alors, le pasteur pria pour elles et
elles
furent aussi délivrées. Si ce pasteur ne priait pas sous
l’onction du
vrai
Saint-Esprit, si cette femme n’avait pas été
démasquée à temps, vous
imaginez
les conséquences de la présence d’une sorcière
dans une église. Les
exemples de
ce genre dans d’autres églises sont innombrables et peuvent
faire
l’objet d’un
autre livre.
À
travers le
Branhamisme
Un grand
homme
fit son apparition dans notre siècle à Jeffersonville
(Indiana USA). À
sa
naissance, un nuage serait entré dans la chambre du
bébé et une voix se
fit
entendre : « Cet enfant a été choisi par Dieu pour
accomplir de grandes
œuvres…
». Il s’agissait de W.M. Branham. En effet, il fut une grande
figure du
christianisme
par ses oeuvres de puissance. Il réussit par la prière
à guérir des
maladies
comme le cancer et à ressusciter des morts. Entre autres, il
reçut la
visite
des anges de Dieu qui lui expliquèrent le livre de l’Apocalypse.
La
visite de
ces êtres célestes dans un trait de lumière fut
photographiée et
exposée au
musée de la photographie à Washington. Après
chaque culte, deux
personnes se
mettaient toujours à sa disposition pour le transporter car il
ne
pouvait plus
marcher. Il contemplait tellement le monde spirituel que cela
l’épuisait. Il
recevait aussi beaucoup de visions à telle enseigne que,
parfois, il ne
parvenait plus à faire une différence entre les visions
et la réalité…
Il
disait qu’il était le dernier prophète du temps de la
fin. Il a
dispensé
beaucoup d’enseignements sur la Bible mais je résumerai
seulement
quelques-unes
pour une étude critique. Par exemple, il a enseigné que
la
désobéissance dans
le jardin d’Éden qui se résumait à la consommation
du fruit de la
connaissance
du bien et du mal n’était rien d’autre qu’un acte sexuel entre
le
diable et
Ève. De cette union serait née Caïn qui était
le fils de Satan et le
premier
meurtrier. De nos jours, cet enseignement a fait son entrée dans
les
églises
reformées et même des chanteurs du monde évoquent
désormais l’acte
sexuel sous
le nom « du fruit défendu. » Il a
démontré que le péché en Éden
était
un péché
de sang et par conséquent, la sanction de Dieu est tombée
sur les
parties du
corps qui ont péché, à savoir : le phallus de
l’homme et le réceptacle
de la
femme. C’est ce qui expliquerait le fait que Dieu annonça
à la femme
qu’elle
accouchera désormais dans la douleur et plus tard, il choisit la
circoncision
comme le signe de son alliance avec Abraham et sa descendance…
Même
étant mort,
W.M.B. est toujours une célébrité du christianisme
aux USA et en
Suisse…
Cependant,
j’ai une observation critique à faire : il faut noter que l’acte
sexuel
entre
les femmes et les anges rebelles de Dieu a certes eu lieu mais pas dans
le
jardin d’Éden. Cet acte eut lieu plus tard et donna naissance
aux
géants de
l’antiquité. Ce fait fut clairement révélé
et enseigné par la Bible
(Genèse 6 :
1-3). Si le diable s’était uni à Ève dans le
jardin d’Éden, la Bible
l’aurait
clairement mentionné. Là où il y eut du sexe, La
Parole de Dieu
enseigne qu’il
y a eu du sexe. Là où il y eut seulement consommation du
fruit de la
connaissance du bien et du mal, la Bible l’a
révélé et clairement
enseigné. Ne
faites donc pas dire à la Bible ce
qu’elle
n’a pas
dit. Cet enseignement de Branham est certes un gros mensonge qu’il
essaie de
nous faire avaler. Voici la preuve biblique. Lorsque notre mère
Ève
consomma le
fruit défendu, l’Éternel dieu lui demanda : « Pourquoi
as-tu fait
cela ? » Elle
répondit : « Le serpent m’a trompée, et j’ai
mangé du fruit. » (Genèse
3 : 13).
Vous constaterez que de cette tromperie du serpent, aucun enfant n’est
venu au
monde. Ensuite, ils furent chassés du jardin et un temps
s’écoula. Plus
tard,
la Bible précise : « De
son union avec Adam son mari, Ève devint
enceinte. Elle mit au monde Caïn
et
dit alors :
j’ai
fait un homme
grâce au Seigneur. » (Genèse 4 : 1).
Le premier fils de la race humaine était
bien le fils d’Adam. Un enfant conçu de parents pécheurs.
W.M.B. a
prophétisé qu’il sera martyrisé. Il
prophétisa que quelqu’un l’abattra
d’un
coup de feu à la sortie de son église. Mais cela n’arriva
pas. Il
mourut des
suites d’un accident de route. [Paix à son âme]. La
prophétie de ce
grand homme
de Dieu ne s’est donc pas réalisée. Pourtant, la parole
de Dieu dit
ceci : « Si
un prophète prophétise sur un événement et
que l’événement n’arrive
pas, alors,
n’ayez pas peur de lui car il ne parle pas en mon nom. »
(Jérémie 28 :
9). Si
nous appliquons cette règle biblique à notre
prophète du temps de la
fin, nous
pouvons conclure sans l’ombre d’un doute qu’il n’a pas parlé de
la part
de
Dieu. Pourtant, il a prophétisé, guéri des
malades, ressuscité des
morts.
À la
mort du
dernier prophète du temps de la fin, il trouva un successeur.
Son
successeur est
également un grand serviteur de Dieu et lui aussi a
prophétisé de la
part de
Dieu qu’une grande famine s’abattra sur l’Europe. En prévision
de cette
famine,
il a amassé une grande quantité de vivres. Mais les gens
attendirent
longtemps
et la famine n’arriva pas. Sa prophétie aussi ne s’est pas
réalisée.
Plus tard,
il trouva une porte de sortie et déclara qu’il ne s’agissait pas
d’une
famine
de nourriture mais plutôt d’une famine de la Parole de Dieu.
Alors, il
s’est
évertué à rassembler tous les enseignements de
W.M.B. et les a diffusés
gratuitement partout dans le monde par la correspondance et sur
Internet. Son
nom est E.F.. Après les
prophéties ratées de
la
famine, il a commencé à nier la doctrine de la Sainte
Trinité, et il
tente
toujours de démontrer que certains passages bibliques sont
erronés. À
mon avis,
il faudrait être un vrai contestataire de la Parole de Dieu pour
nier
l’enseignement chrétien sur La Trinité : trois Dieux
(Père, Fils et
Saint-Esprit) en un seul. Pour lui, c’est le même Dieu qui s’est
présenté dans
l’ancien testament comme Père, qui est venu sous le nom de
Jésus-Christ
et qui
se manifeste maintenant en tant que Saint-Esprit. Pourtant, il y a
beaucoup de
passages bibliques qui démontrent que les trois personnes de La
Trinité
sont différentes.
Je citerai seulement deux exemples. Le Christ disait : «…
Ayez confiance en Dieu
et
ayez aussi
confiance en moi.
Il
y a beaucoup de
places dans la maison de mon
Père.
Père,
l’heure est venue. Manifeste la gloire de ton
fils…
» (Jean 14 : 1-3 ; 17
: 1). Il
enseigne de même que tous les chrétiens baptisés
« au nom du Père et du
Fils et
du Saint-Esprit » portent ainsi la marque de la bête. Pour
lui, seuls
ceux
baptisés « au nom du Seigneur Jésus »
auraient reçu le vrai baptême.
Cela veut
dire clairement que tous les chrétiens des temps apostoliques
jusqu’à
nos jours
sont tous damnés pour avoir reçu le baptême
trinitaire. Pourtant, cet
ordre du
baptême trinitaire fut clairement recommandé par
Jésus-Christ dans
Mathieu 28 :
19. Il est utile de mentionner qu’il y avait au temps du Christ
plusieurs
baptêmes : le baptême de Jean Baptiste qui était un
baptême de
repentance
(Mathieu 3 : 5-6), le baptême au nom du Père et du Fils et
du
Saint-Esprit qui
est un baptême trinitaire (Mathieu 28 : 19), le baptême au
nom du
Seigneur
Jésus (actes 2 : 38), le baptême des morts par lequel les
gens se
faisaient
baptiser au nom de leurs parents défunts (1 Cor 15 : 29).
Voyons si
vous
parvenez à démontrer que des passages de la Bible sont
erronés, alors,
on peut
admettre aussi la possibilité que toute la Bible soit fausse. Et
par
cet acte,
vous vous distinguez des vrais chrétiens qui considèrent
la Bible
entière comme
une révélation incorruptible de Dieu. Si vous faites une
telle
observation sur
le Coran, vous savez très bien ce qui vous arrivera. Alors, ne
donnez
pas
l’occasion aux détracteurs du christianisme de mépriser
la Sainte
Bible. Ainsi
donc, en ce qui concerne les exemples cités, je pense que W.M.B.
et
E.F., ces
célèbres figures du christianisme de ce siècle ont
agi en étant eux
aussi sous
l’inspiration des démons religieux. Les vrais prophètes
ne se trompent
jamais
et lorsqu’ils sont inspirés par Dieu il leur est impossible
d’enseigner
des
hérésies. Un vrai prophète de Dieu ne peut
contester la Bible ou
enseigner des
hérésies.
Dans la vie,
le faux et le vrai marchent toujours de paire et il est difficile de
les
différencier. Il en est de même dans le christianisme
où des fanatiques
en mal
de gloire, des prophètes qui savent distiller le mensonge
égarent la
multitude
par leurs élucubrations fantasmagoriques. Le principal front de
la
guerre est
de nos jours basé sur la littérature et la seule arme
efficace est
l’étude de
la Bible. Un doctorat en théologie ou en christologie ne fera
pas de
vous un
bon chrétien. Par contre, la connaissance des Saintes
Écritures est
l’arme la
plus redoutable dans les mains du chrétien contre les rapaces
spirituels de ce
siècle mauvais. Alors, étudiez votre Bible.
Observations
Après
avoir
parcouru ces lignes, si vous demeurez toujours sceptiques et n’accordez
aucun
crédit à ma plaidoirie, alors, je vous recommande au nom
de Dieu de
consulter
sur le site Internet quelques témoignages de laïcs et de
prêtres
catholiques.
Ils ont quitté l’église catholique grâce aux
révélations de la Parole
de Dieu
qui mirent à nu les erreurs et les origines babyloniennes du
catholicisme :
–
Gérard
Bouffard :
il fut un ancien évêque de
l’église catholique romaine. Docteur en théologie, en
christologie, en
psychologie, etc., il était directeur du Saint-Office au Vatican
et y a
occupé
d’autres hautes fonctions. Il a reçu de nombreuses
décorations et a
accompagné
le pape Jean-Paul II dans ses voyages à travers le monde. Mais
après
avoir
découvert de graves secrets sur les origines sataniques du
catholicisme, il les
dénonça avant de remettre sa soutane et devenir un
évangéliste.
–
Joseph
Tremblay :
ancien prêtre catholique
du Canada 1992 : son message s’intitule « Prêtre mais
inconnu de Dieu
». Sa
conscience était ravagée par des doutes à la suite
des nombreuses et
flagrantes
contradictions entre les enseignements de l’église catholique et
ceux
de la
Bible. Apôtre clairvoyant d’un christianisme biblique, il choisit
d’obéir à la
Parole de Dieu plutôt qu’aux doctrines et traditions des hommes.
Il
abandonna
la soutane et devint un évangéliste.
–
Charles
Chiniquy :
son message s’intitule «
Le don de Dieu ». Prêtre catholique, pendant vingt-cinq
ans, il
démontra que le
culte marial était une erreur. Il était fidèle
à la Parole de Dieu et
fut
considéré comme un prêtre protestant. Entre autre,
son clergé lui
demanda
d’être soumis en tout à l’église catholique
même dans les choses qu’il
ne
comprenait pas. Mais il refusa d’obtempérer, considérant
cela comme un
acte
d’adoration. Et comme le clergé l’obligeait à ne point se
servir de la
Bible
dans ses fonctions sacerdotales, alors, il quitta le catholicisme
à la
tête
d’une importante communauté et tous pratiquent maintenant un
christianisme
biblique.
–
Richard
Bernett :
son message s’intitule «
De la tradition à la vérité ».
Témoignage
d’un ancien prêtre catholique qui parvint tout
seul au salut et abandonna l’église catholique grâce
à la lecture de la
Bible
qui mit en relief les erreurs des enseignements du catholicisme.
–
Du
couvent au salut :
un livre écrit par Soeur
Lutala K. Françoise.
Elle
fut une religieuse catholique. Après avoir été
molestée par des prêtres catholiques, elle fut nuitamment
conduite dans
un
cimetière par des prêtres catholiques pour
célébrer des messes noires à
Satan.
Délivrée et devenue évangéliste, elle
dénonce l’hypocrisie de ces
congrégations
qui offrent une fausse apparence de sainteté.
–
Domitila
Nabibone :
Elle fut une fervente
catholique et apôtre du culte marial que le Christ a
délivré du
catholicisme.
Après avoir passé quatre jours dans la mort, en
état de décomposition,
elle
revint à la vie et témoigne
sur les
réalités de l’au-delà. Entre autre, elle explique
que, non seulement
Dieu
défend le culte marial, mais aussi, il ne reconnaît pas
nos
dénominations.
–
Va
à Bétel :
un livre écrit par un
Zaïrois (Lisungi Mbula) qui fut initié à la magie
par un prêtre
catholique.
Nuitamment, ils se rendaient dans des cimetières (leur quartier
général) pour
servir le diable. Lorsqu’il comprit la supercherie, il abandonna la
magie mais souffrit
beaucoup jusqu’à la mort. Alors, Christ Jésus le
ressuscita et il
devint un
évangéliste qui dénonce maintenant ces
abominations.
–
Rescapé
de l’enfer :
c’est le témoignage de
Baka Jika Muana Nkuba.
Il
fut entraîné dans les profondeurs de la magie par le
Curé de sa paroisse qui était de surcroît le neveu
du Pape Paul XI. Par
des
prières telles que « Jésus, le petit enfant de
Prague ; l’oraison de
Saint
Charlemagne, etc. » ce prêtre catholique le conduisait
nuitamment dans
des
cimetières pour rencontrer de puissants démons tels que
« Le Patron
Bombard ».
Finalement, le Christ brisa ses chaînes et il devint un
évangéliste et
dénonce
au grand jour les œuvres du diable…
Sites
Internet
recommandés : www.ciel-et-enfer.skyrock.com / www.
gedeonchampion.com /
www.
dailymotion.com (enfer et paradis)
Vous pouvez
penser qu’une simple réforme suffira à redorer le blason
du
catholicisme. Mais
ne vous trompez pas, car les esprits qui tiennent les reines de cette
religion
ne permettront pas une réforme profonde. Par conséquent,
il n’y a
qu’une
solution pour tout catholique qui cherche sérieusement le salut,
c’est
de
quitter cette religion selon ce qui est écrit : puis j’entendis
une
autre voix
qui venait du ciel et disait : «
Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin de
ne pas être complice de ses péchés et de ne pas
subir avec elle les
fléaux qui
vont la frapper. Car ses péchés se sont entassés
jusqu’au ciel et Dieu
n’a pas
oublié ses ignobles actions.» apocalypse 18 : 4-5). Ce
passage ne s’adresse pas aux
religions païennes ni aux systèmes politiques de ce monde.
Ici, le
message est
très précis et parle d’une organisation religieuse
chrétienne ou
soi-disant
chrétienne dans laquelle des enfants de Dieu s’y trouveraient.
Cette
fausse
religion se nomme Babylone et elle aurait sur les mains
d’impardonnables
péchés. En connaissez-vous une ? Il n’y a qu’une seule
religion
chrétienne qui
remplit ces critères et l’histoire des guerres saintes et des
inquisitions
indexe l’église papale.
Conclusion
partielle
En tant que
fils de l’église catholique, fier de mon église et
enorgueilli de sa
prépondérance dans le monde, j’avais commencé
à rédiger un livre pour
célébrer
les gloires de maman Marie devant mes amis protestants qui sont
indifférents au
phénomène marial. Mon bouquin s’intitulait : « A u
commencement Jésus
était
Catholique ». Il a fallu seulement une petite rencontre, une
prière de
délivrance qui a duré trois ans (parce que le pasteur
exorciste n’était
pas
constamment disponible) et voici ce à quoi j’ai finalement
abouti : un
renversement total de la situation, la négation de ma foi
catholique.
Cette
expérience sur l’abdication de ma foi, si vous permettez, est
quelque
peu
analogue à celle vécue par l’apôtre Paul sur la
route de Damas.
Dois-je
présenter mes excuses à tous les membres de ma famille
qui sont
toujours dans
le catholicisme ? Mon souhait est qu’ils vivent eux aussi mon
expérience à
l’exception de ces démons qui m’ont tourmenté. Ma
prière est que tous
voient
aussi la même lumière qui m’a ébloui et m’a
contraint à changer de
direction.
Et je mets tout mon coeur dans cette prière.
Je ne peux
plus rentrer dans une église catholique à cause de ces
statues qui
pleurent et
saignent. Je sais sans l’ombre d’un doute qu’elles sont
infestées de
démons. Je
ne vais plus pratiquer le catholicisme car en m’y adonnant avec
zèle,
j’ai été
oppressé par un démon religieux. Je ne voudrais plus
qu’un démon vienne
s’installer de nouveau dans mon corps. J’en ai tellement souffert.
Depuis mon
enfance,
on m’a toujours présenté le protestantisme comme une
bête de somme à
craindre.
Le nom « protestant » qui leur fut attribué par
l’église catholique est
un
titre péjoratif qui donne une impression de répulsion. Le
comble est
que,
lorsque ces gens prient, des fois, ils pleurent et font trop de bruit
qui
décourage ceux qui veulent les approcher. Pourtant, c’est l’un
d’eux
qui m’a
secouru et m’a ouvert les yeux ; et après ce témoignage,
vous êtes bien
placé
pour apprécier tout le jugement étalé dans ce
livre. Il n’est pas
correct de
juger une personne ou un groupe à distance sans comprendre au
fond les
motifs
de leurs actions et j’invite tout un chacun à faire
l’expérience des églises
protestantes dans
lesquelles le Saint-Esprit se manifeste.
Vous
n’avez rien à perdre
après tout car vous êtes libres de rentrer et de sortir
selon vos
loisirs. Il
s’agit avant tout de faire une investigation personnelle et
sérieuse
pour le
salut éternel de votre âme immortelle et il n’y a pas de
prix pour
cela.
Il est très
important de faire de grandes études afin d’avoir un bon travail
qui
vous plaît
et de vous tailler une place au soleil. Mais à quoi tout ceci
vous aura
servi
si finalement votre âme se trouve damnée pour
l’éternité ? L’étude de
la
religion me semble une préoccupation assez sérieuse et je
vous
encourage à
faire des efforts dans ce domaine.